Zitiervorschlag: Anonyme (Charles de Fieux de Mouhy) (Hrsg.): "No. 38.", in: La Bigarure, Vol.2\038 (1749), S. 145-152, ediert in: Ertler, Klaus-Dieter / Hobisch, Elisabeth (Hrsg.): Die "Spectators" im internationalen Kontext. Digitale Edition, Graz 2011- . hdl.handle.net/11471/513.20.4923 [aufgerufen am: ].


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N°. 38.

Ebene 2► Brief/Leserbrief► Toujours languissante, & presqu’à l’Agonie, nottre <sic> Littérature ne nous offre plus aujourd’hui que de foibles restes de ce qu’elle étoit il y a quelques années. Vous en jugerez vous-même, Monsieur, par ce que je vous envoye. Ce sont les seules Nouveautez dont nos Libraires nous régalent ici, en attendant que Messieurs nos Sçavants (car nous en avons sans doute encore quoiqu’on ne sache, ni où ils sont, ni ces qu’ils font) leur fournissent quelque chose de meilleur.

Il y a environ trente ans que Monsieur de Mairan, le plus grand Physicien, Cartésien, que nous ayons en France, publia une Dissertation sur la Glace, qui fut couronnée par l’Académie de Bourdeaux. Cette Dissertation vient de reparoitre avec des augmentations si considérables, qu’on peut la regarder comme un Traité complet sur cette matière. En voici l’idée.

Pour faire de la glace, il ne s’agit que de chasser une partie de la Matière Subtile qui coule entre les interstices du Liquide, de diminuer son mouvement, ou affoiblir son élasticité, ensorte qu’elle ne puisse plus vaincre le <sic> résistance des parties intégrantes ; C’est ce que fait le Froid. Pour changer une <sic> corps dur en liquide, ou le dégeler, il ne faut qu’introduire une quantité sufisante de Matière Subtile dans ses pores, ou augmenter assez le mouvement & le ressort de celle qui s’y trouve enfermée, pour qu’elle puisse séparer les parties qui s’unissent par leurs surfaces, ou débarasser celles qui s’entrelacent par leurs rameaux ; & c’est ce que produit la Chaleur.

Tout cela ne paroit pas bien difficile à concevoir à nos Physiciens aujourd’hui, parce qu’ils le sçavent, mais comme tout le monde n’en est pas instruit com-[146]me eux, on doit sçavoir gré à Mr. de Mairan d’avoir mis, comme il le fait ici, cette matière à la portée de touts ses Lecteurs. Ce Livre est en effet un des meilleurs que nous ayons sur ce sujet. On y voit une Logique admirable dans les raisonnements, une sagacité étonnante dans la discussion des Expériences sur lesquelles son Systême est appuyé, une netteté & une simplicité de stile qui ne sont pas communes. La seule chose qui pourroit faire appréhender à M. de Mairan que son Livre ne fût pas gouté de nos Physiciens Modernes, c’est que la Matière Subtile n’étant plus à la mode depuis quelque tems parmi ces Messieurs, ils n’adopteront peut-être pas son Systême ; Mais ce qu’ils substituent à cette Matière Subtile ne paroissant pas plus solide à bien des gens, il en résulte que l’Ouvrage de Mr. de Mairan est aussi estimable que le peuvent être tous ceux qu’ils ont fait, ou peuvent faire sur ce sujet. Du moins ne pouront-ils nier que, son principe une fois posé, il conduit ses Lecteurs à son but par une suite de conséquences auxquelles un Esprit juste ne sçauroit se réfuser.

Je m’étois promis, Monsieur, de vous rendre ici un compte exact & détaillé de trois Lettres de Milord Bullenbrok, qui viennent d’être traduites de l’Anglois par M. le Comte de Bissi. Je l’aurois fait avec d’autant plus de plaisir, que comme ce Livre a fait, il y a quelques années, du bruit en Angleterre, il en fait aussi beaucoup en France ; mais étant assez rare ici, il n’a pu me rester entre les mains qu’autant de tems qu’il m’en a falu pour le parcourir. J’ai remarqué que la première de ces Lettres roule sur l’esprit de Patriotisme. Les devoirs des Citoyens envers leur Patrie m’y ont paru poussez beaucoup plus loin qu’ils ne sont ordinairement, même en Angleterre. La seconde contient le Portrait & les devoirs d’un Roi vraiment Patriote. Si ceux de la Grande-Bretagne suivoient au pied de la Lettre les idées de Milord Bullenbrok sur ce point, ils pourroient avec justice prendre, comme les Papes, le Titre de Serviteurs des Serviteurs de la République Britanni- [147] que *1 . Dans la troisième Lettre il s’agit des partis qui divisoient l’Angleterre lorsque Georges I. monta sur le Trône. Elle me paroit plus intéressante pour les Anglois, que pour aucune autre Nation de l’Europe, & j’en trouve les Maximes aussi propres à boulverser la Société qu’à y maintenir le bon ordre & la tranquilité. Je ne sçai si l’Auteur Anglois n’avoit pas le talent de s’exprimer clairement, mais j’y ai trouvé bien des choses dites d’une manière très obscure. Peut-être craignoit-il d’être trop entendu. Ce qui s’y fait remarquer le plus, est un chagrin pitoyable, une Ambition démesurée ; & l’on y voit partout un Ecrivain désespéré de n’avoir point de part au Gouvernement.

Ces Lettres me rappellent deux traits Historiques dans lesquels on voit que ce Milord ne manquoit ni d’esprit, ni de sincérité. Ebene 3► Allgemeine Erzählung► Un jour qu’on parloit en sa présence du Duc de Marlborough, & qu’on citoient des traits fort marquez de l’avarice de ce fameux Général Anglois, Milord Bullenbrok, qui l’avoit connu particulierement, ayant été prié de dire ce qu’il en pensoit & ce qu’il en sçavoit : C’étoit un si grand homme, répondit il, que j’ai oublié ses vices. Ce Seigneur, s’étant retiré en France, à l’avénement de Georges I. au Trône de la Grande Bretagne, il témoigna à Louis XIV., qui avoit eu une maladie des plus serieuses, combien il étoit charmé de l’en voir parfaitement rétabli ; Je suis d’autant plus flatté de votre Compliment, lui répondit le Monarque François, que les Anglois n’ont pas la réputation d’aimer beaucoup les Rois. . . . Sire, lui répliqua Milord Bullenbrock, Nous aimons tous les Rois ; Il n’y a que le notre que nous détestons. C’est effectivement une des singularitez qui caractérisent & distinguent la Nation Angloise de toutes les autres. ◀Allgemeine Erzählung ◀Ebene 3

Aux Lettres de Milord Bullenbrock je pourois encore ici joindre un autre Livre qui vient de paroitre. C’est un Roman, intitulé L’Enfant Trouvé, lequel a été [148] publié, il y a quelque tems, à Londres, & qui vient d’être traduit en notre langue par Mr. De la Place qui nous a donné le Théatre Anglois ; Mais ces sortes de Production étant plus du goût des Femmes, que du notre, comme d’ailleurs elles se connoissent beaucoup mieux que nous à ces bagatelles, je laisse à ma Sœur le soin d’en rendre compte à vos Dames. Comme nous sommes convenus que nous n’empiéterions point sur les droits l’un de l’autre, & qu’elle s’est réservé ces sortes de matières, je serois très fâché d’avoir avec elle un Procès pour une cause si grave. Vous aurez donc. . Monsieur, la bonté de vous en passer pour aujourd’hui. En revanche je vais vous régaler ici d’une Nouveauté qui vous sera peut être plus de plaisir.

Je viens de vous dire un mot, en passant, du caractère singulier des Anglois. Comme nous avons aussi des défauts qui nous sont particuliers, la justice & l’impartialité exigent que nous ne nous fassions pas plus de grace. Dans le grand nombre des singularitez qu’on peut nous reprocher avec beaucoup de raison, il y en a une qui nous doit rendre très ridicules aux yeux des autres Nations de l’Europe. C’est que nous nous passionnons extraordinairement pour de pures Bagatelles. En voici une nouvelle preuve. Tout Paris vient de se partager, avec beaucoup de vivacité, pour une question qui, dans le fonds, n’est qu’une pure Vetille. Il s’agit de sçavoir, si un Livre, qu’il y a près de quatre vingt ans que l’on débite sous le titre de Testament Politique du Cardinal de Richelieu, est réellement l’Ouvrage de ce grand Ministre, ou si c’est un Livre suposé. L’opinion commune l’a attribué jusqu’ici à ce fameux Politique ; mais Mr. de Voltaire, dans une Dissertation intitulée Plaintes sur les Mensonges imprimez, a osé soutenir le contraire, & y démontre, en quelque façon, que le Public a été trompé. Mr. le Duc de Richelieu, loin de se plaindre de cette hardiesse, n’en a fait que plaisanter, pensant, comme il est vrai, qu’il importe fort peu à la gloire de son grand Oncle que cet Ouvrage soit de lui, ou non ; Mais Madame la Duchesse d’Aiguillon a pensé tout autrement, & a cru devoir s’en [149] fâcher. Cette illustre Dame a fait faire une Dissertation dans les formes, qu’elle a opposée à celle de M. de Voltaire ; & dans laquelle on prétend que cet Ouvrage appartient, & doit appartenir au Cardinal, son parent. La preuve qu’on en apporte, c’est qu’il se trouve dans la Bibliothéque de Sorbone une Copie de ce Testament, ecrite de la main du Secrétaire du Cardinal, ce que M. de V. . . . avoit dit hardiment qui ne se trouvoit nulle part. On assure que ce dernier se dispose à répondre à cette Dissertation. Satire► Ne voilà-t-il pas un fait bien interressant pour occuper un aussi beau génie, & pour interresser tout Paris qui prend parti dans cette affaire avec autant de chaleur, que s’il s’agissoit du salut de l’Etat & de la Religion ? . . . ◀Satire

A propos de Mr. de V. . . . & de sa Dissertation, voici une piéce polissonne, faite contre lui par quelqu’un de ses ennemis & envieux, & dont vous sçavez, Monsieur, qu’il y a assez bon nombre. On la sème Manuscripte dans tout Paris ; & je la trouve assez plaisante pour vous amuser un moment.

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Lettre D’Aggrégation

De l’Académie des Anes.

Brief/Leserbrief► « Gilles, Blaise, Job, Martin, par la grace d’Apulée, & sous l’autorité de Midas, Grand-Maitre de l’Ordre, Société, Suprême Tribunal, Protecteurs de l’Académie des Anes du Royaume, à tous nos Sujets, Associez, Freres, Amis, & Confreres en Aneries, & autres qui ces présentes verront, Salut.

Sçavoir faisons que, vû la Requête a Nous présentée par François Marie Arrouet de Voltaire. Peintre, Philosophe, Géometre, Astronome, Poëte, Historien, Grammairien, Académicien, Epicurien, Athée, Payen, Chrétien, Luthérien, Janseniste, Moliniste, Comédien, &c.&c.&c. par laquelle il nous expose que le désir qu’il a d’être Membre de tous les Corps l’ayant engagé à travailler depuis long-tems pour mériter nos sufrages, il a présumé de notre si-[150]lence à son égard que nous ne l’avions pas encore jugé digne d’entrer dans notre illustre Compagnie, mais que ne perdant point de vuë le projet qu’il a formé de devenir, à la fin, notre Confrere, il s’est déterminé à retravailler, repolir, refondre, racommoder, tronquer, mutiler, piller, & remettre sur le Théatre, à l’usage de Nous & des Notres, les Poëmes Tragiques de quelques autres Auteurs, & notamment Semiramis, Electre, Catilina, d’un nomme Crébillon que nous avons toujours méprisé, & qu’il espère qu’un travail aussi singulier, joint à plusieurs autres Aneries recommandables parmi nous, lui mériteroient une place dans notre Acadèmie ; Vû la ditte Requête signée Arrouet de Voltaire, ensemble la représentation de deux des susdites piéces, la Philosophie de Newton mise à notre portée, les deux superbes Temples du Goût & de la Gloire, bâtis par le dit Exposant, & quelques autres Ouvrages de sa façon qui lui ont attiré, de la part des gens de Cour, les Caresses qu’on fait ordinairement à nos Messagers qui ne vont pas assez vîte au Moulin ; Vû son ardeur à poursuivre en justice les impertinents, qui ôsent attaquer sa réputation & critiquer l’embonpoint de son individu ; Vû ses réflexions sur des Véritez reconnuës, & qu’il traite de Mensonges ; Vû enfin mille autres Aneries qu’il a faites & fera, & qui l’ont rendu, le rendent, & le rendront à jamais recommandable parmi Nous.

Oui le raport, ayant égard à la Requête du dit Exposant, & ne pouvant nous refuser à la puissante protection qu’il a employé à cet effet, Nous, de notre certaine ignorance, & pleine puissance, avons admis, & admettons, avons agrégé & agrégeons à notre illustre Compagnie le dit Arrouet de Voltaire, & lui avons donné & donnons, octroyé & octroyons la place de notre Conseiller, Traducteur ancien & Moderne ; Enjoignons à tous les Anes du Royaume, nos Sujets, & Confreres, Associez, Etrangers, ou Regnicoles, de le regarder comme un des Membres de notre Conseil Académique ; leur commandons très [151] expressément de se tenir à la porte des Spectacles six heures avant l’ouverture, les jours qu’ils sçauront qu’on doit représenter ses piéces, de s’emparer de toutes les places, & particulierement du Parterre, d’y donner le ton, d’aplaudir à toute outrance comme s’ils étoient payez pour cela, & ce sans être tenus d’aporter d’autre raison, si non que C’est du Voltaire, en un mot, de le soutenir en toutes les occasions en dépit des siflets, Bronhahas, Petarades, Tintamare, Pasquinades & même en dépit du Bon-sens ; A la charge par lui de ne se point négliger dans les Traductions, Rapsodies, & Corrections nécessaires qu’il nous donnera, & de travailler Catilina comme il a fait Oreste, c’est-à-dire, comme un franc & loyal Ane doit faire. Mandons à tous les Ignorants ayant droit & séance dans nos Justices, & à tous nos Officiers, Associez, Amis & autres, qu’ils ayent à faire observer les présentes, & jouir le dit Arrouet de Voltaire du Privilége & bénéfice d’icelles, non obstant Clameur de Baudet, Chartres Arcadiennes, haussement d’épaules, Sifflets, & Lettres à ce contraires ; Car tel est notre amusement. Donné à Montmatre *2 l’an de notre Regne, l’innombrable. »

Signé Maitre Aliboron
Et plus bas Baudet, Secrétaire. ◀Brief/Leserbrief ◀Ebene 3

Voila, Monsieur, de quelle manière on traite aujourd’hui un homme qu’on ne pouvoit se lasser d’admirer & de louer il y a quelques années. Triste & humiliante Catastrophe ! Il n’y a point à douter que M. de V. n’y soit aussi sensible que le Lion décrépit de la Fable le fut au traitement qu’il reçut de la part des autres Animaux dont il étoit le Roi.

Ebene 3► Le Cheval s’aprochant lui donne un coup de pied,

Le Loup un coup de dent, le Bœuf un coup de corne ;
Le malheureux Lion languissant, triste, & morne,
Peut à peine rugir par l’âge estropié,
Il attend son destin sans faire aucunes plaintes,
Quand voyant l’Ane même à son Antre accourir ;
Ah ! c’est trop, lui dit-il, je voulois bien mourir ;
Mais c’est mourir deux fois que soufrir tes atteintes
(a3 ) ◀Ebene 3

Telle est aujourd’hui la triste situation de M. de V. Ce n’est pas seulement en prose qu’on l’insulte à outrance ; Tous les Bourgeois, & jusqu’aux Grimaux mêmes du Parnasse lui donnent chacun leur coup. Voici encore deux petites piéces de Vers, faites contre lui ; Vous pourez les joindre à celles que ma Sœur m’a dit qu’elle avoit envoyées à vos Dames dans sa dernière Lettre.

[152] Ebene 3► Voltaire qui se croit le sublîme, le rare,

Et dont l’acharnement, aussi fou que bisare,
Veut à force écraser le fameux Crébillon,
N’est qu’un Rimeur pillard, plein de présomtion,
Qu’il faudroit releguer aux Freres Saint-Lazare
(b4 )
Puisque ses Oeuvres sont à la Correction. ◀Ebene 3

Autre

Contre le même.

Malgre votre Témerité,

Vous obtiendrez tous nos sufrages ;
Car le Public a la bonté
De corriger tous vos Ouvrages. ◀Ebene 3

Il n’y a personne, pour peu qu’il s’interesse à la gloire de la République des Lettres & de ceux qui en ont fait l’ornement & le soutien, qui ne doive être fâché de les voir traiter ainsi. Pour moi, Monsieur,

Ebene 3► Zitat/Motto► Il plains le sort de tous Auteur

Que les autres ne plaignent guères,
Si dans ses travaux Littéraires
Il veut goûter quelque douceur,
Il doit fuïr, comme un grand malheur,
Tous les Beaux-Esprits ses Confreres (c5 ) ◀Zitat/Motto ◀Ebene 3

Il semble que, par ce dechainement général contre M. de V. le Public veuille lui rendre les mauvais traitements, qu’il a faits lui-même à un de ses plus respectables Confreres dont, malgré tout ce qu’il en a dit, on admire, & l’on admirera toujours les inimitables Poësies tant qu’on parlera & qu’on entendra la langue François (d6 ) :

Ebene 3► Zitat/Motto► Quiconque ris d’autre
Doit s’attendre, à son tour, que l’on rira de lui,
*7 ◀Zitat/Motto ◀Ebene 3

J’ai l’honneur d’être, &c.

Paris, ce 9 Mars 1750.

◀Brief/Leserbrief ◀Ebene 2

Livres Nouveaux

Qui se vendent à la Haye dans la Boutique de Pierre Gosse, Junior ; Libraire de S. A. R. à la Haye.

L’Amour Devoilé ou Systême des Simpathistes, où l’on explique l’Origine de l’Amour, des Inclinations, des Simpathies, des Aversions, des Antipathies, &c. 12. Paris, 1749.

Eloge Historique & Critique d’Homere, traduite de l’Anglois de Pope, 12. Paris, 1749.

Jeudi le 19 Mars 1750.

◀Ebene 1

1* Les Papes, dans leurs Bulles & Constitutions, qui sont leurs Edits & Ordonnances, prennent l’humble & modeste titre de Serviteurs des Serviteurs de Dieu ; Servus Servorum Dei.

2* Montagne près de Paris, toute couverte de Moulins, & d’Anes qui servent à porter dans cette grande Ville la farine & le plâtre qu’on tire de ses Carrieres.

3(a) La Fontaine, Fable du Lion devenu vieux.

4(b) Maison de correction, située dans un des Fauxbourgs de Paris

5(c)Voltaire, dans son Epitre au Président Hainault.

6(d) Le Poëte Rousseau.

7* Moliere, Ecole des Femmes, Acte I. Scene I.