Table des Matieres Anonym Moralische Wochenschriften Klaus-Dieter Ertler Herausgeber Michaela Fischer Mitarbeiter Katharina Jechsmayr Mitarbeiter Sarah Lang Gerlinde Schneider Martina Scholger Johannes Stigler Gunter Vasold Datenmodellierung Applikationsentwicklung Institut für Romanistik, Universität Graz Zentrum für Informationsmodellierung, Universität Graz Graz 25.07.2019 o:mws-119-1257 Anonym: Le Spectateur français ou le Socrate moderne. Paris: Etienne Papillon 1716 Le Spectateur ou le Socrate moderne 1 071 1716 Frankreich Ebene 1 Ebene 2 Ebene 3 Ebene 4 Ebene 5 Ebene 6 Allgemeine Erzählung Selbstportrait Fremdportrait Dialog Allegorisches Erzählen Traumerzählung Fabelerzählung Satirisches Erzählen Exemplarisches Erzählen Utopische Erzählung Metatextualität Zitat/Motto Leserbrief Graz, Austria French France 2.0,46.0

Table des Matieres A.

Accent, chaque Nation a le sien . . . 145

Acrostiche (L’) est simple ou composé . . . 305

Ce jeu d’esprit ne vaut rien, soit qu’il vienne des Wigs ou des Torys . . . 314

Un Corps d’Acrostiches, rangez sur trois colomnes . . . 329

Affectation (L’) prive une belle Femme de sa beauté & donne du ridicule à un Homme d’esprit, . . . 176

Quelle est la cause de ce Vice, . . .177

Il regne dans les Personnes du premier rang, d’un mérite distingué, &c. . . . 178, 179

Albert le Grand prétendoit avoir vû la Forme substantielle de l’Aiman, . . . 277

Alexandre le Grand panchoit la tête, &c. . . . 160

Allegorie raisonnée sur le Crédit de la Nation, . . . 19, -23

sur la Molesse & l’Avarice, . . . 274 ,-276

sur les differentes sortes d’Esprit, . . . 327, -334

sur la Peinture, . . . 427, -431

Allemans (Les) sont grands Inventeurs de Chronogrammes, . . . 305, 306

Amans qui se païent de bagatelles, . . . 151

Un Amant qui perdit l’esprit pour n’avoir pas réussi dans l’Anagramme de sa Maîtresse, . . . 304

Il y en a qui se plaignent, se vangent & meurent sans dire mot, . . . 439

Ambition (L’) est le foible des plus grand Genies, . . . 376

Americains (Les) s’imaginent que toutes les Creatures ont des ames, &c. . . . 276, -283

Vision de Marraton, . . . 278 ,-285

Ami, les differentes qualitez d’un bon Ami, . . . 362

Amitié (L’) augmente le bonheut & diminue la misere, . . . 258

Le Chev. Fr. Bacon en a décrit tous les avantages, . . . ibid.

L’Auteur de l’Ecclesiastique a de beaux traits là-dessus, . . . 259, -362

L’Amitié qui ne se contracte que par les yeux est sans bornes, . . . 404

Amour (L’) de la Gloire ne doit pas être découragé à tous égards, . . . 376

Ample (Madame) craint trop engraisser, . . . 159

Anagrammes (Les) doivent leur origine au Siecle ténèbreux de l’ignorance Monastique, . . . 303

On doit les condamner, soit qu’ils viennent Whigs ou des Torys, . . . 314

Un Regiment qui fait l’Exercice, . . . 329

Anciens (Les) comparez avec les Modernes, . . . 312

André (L’Evêque) prodiguoit les Quolibets dans les Sermons, . . . 311

Angleterre (L’) ne seroit qu’un misérable Païs sans le Commerce,. . . 367, 368

Anglois (Les) sont polis, mais corrompus à l`´egard des Mœurs, . . . 43

L’Impudence d’un Anglois est fiere & chagrine, . . . 99

Ils devroient imiter à certains égards l’usage du Théatre François, . . . 192

Autrefois ils avoient des Fous dans leurs grandes Maisons, &c. . . . 224

L’idée que des Rois Indiens en ont, . . . 240

Leur goût pour la Poësie est fort Gothique, . . . 324

Un Anglois qui négocie convertit l’Etain de son Païs en Or, &c. . . . 369

Presque tous les Gentilshommes sont endettez de Pere en Fils . . . 423, 424

Angloises (Les Dames) distinguées en Pictes, & en Bretonnes. . . . 184

Elles se piquoient autrefois d’avoir des Valets de chambre, & de recevoir des Visites au Lit, . . . 210, 211

Des airs qu’une de ces Dame se donnoit à la Comédie, . . . 214

Il y en a qui voïagent sans se gâter l’esprit, &c. . . . 215

L’Idée qu’en ont des Rois Indiens, . . . 241

On a tort de ne pas les traiter en Creatures raisonnables, . . . 257

Elles se distinguent en Whigs ou Torys, par la différente situation de leurs moches, . . . 414

Ce qu’une Dame a exigé là-dessu dans son Contrat de mariage. . . . 415

Elles devroient suivre l’exemple des Romaines, . . . 417, -419

Andromaque (Une) Campagnarde, qui affecte les airs & les manieres des Hommes, . . . 284, 285

Anna Bella est pour le Commerce des Hommes polis, . . . 260

Antitheses (Les) roulent sur l’opposition des idées, . . . 326

Apparitions d’Esprit, les Contes qu’on en fait laissent de fâcheuses impressions, . . . 69, 70

Architecture (L’) doit tirer ses Regles du Sens commun & du Goût général, . . . 149

Celles des Goths est extravagante, . . . 323

Aretin se vantoit d’avoir mis sous contributions le grand Sophi de Perse, . . . 340

Arietta, dont le caractère est celui d’une drole d’esprit & de bon goût . . . 58

Elle défend son Sexe contre les reproches des Hommes, . . . 60 ,-65

Aristenetus cité pour l’Eloge qu’il faisoit d’une belle Femme, . . . 315

Aristote a fait une remarque sur les Ecrivains ordinaires de la Tragedie, . . . 189

Il met certains Quolibets entre les beautez du Discours, . . . 310

Aristoteliciens (Les) raisonnent en l’air sur les Formes substantielles, . . . 277

Aritifices choquants que les Poëtes Anglois emploïent dans la Tragedie, . . . 189, -192

On peut s’en servir quelquefois à propos, ou en abuser, . . . 101, -205. 209

Atheniens (Les) plus polis & moins vertueux que les Lacedemoniens, . . . 44

Les premiers se signalent dans une Bataille contre les autres, . . . 419

Avare (L’) Peintre qui croque ses Ouvrages, . . . 429

Avarice (L’) & la Mollesse agitent le même cœr, . . . 271, 272

Elles se font une guerre mortelle, & s’accordent à la fin, . . . 274, 276

Avocats (Les) sont en trop grand nombre en Angleterre, & de quelle manière on peut les distinguer entr’eux, . . . 102, 103

Aurelie, Dame d’une vertu solide, . . . 75

B.

Bacon (Le Chev. François) remarque en quel tems l’œil malin cause plus de préjudice, . . . 90

Il a joliment décrit tous les avantages de l’Amitié, . . . 358

Badaut impudent qui détourne l’attention des Auditeurs dans les Eglises, . . . 96, 97

L’Enseigne du Badaut commune à Amsterdam, . . . 224

Barbades (Relation des) par Ligon, . . . 61

Baron, fameux Acteur François. . . . 214

Beauté (La) fait la passion dominante des Femmes, . . . 166

Les moïens qu’il y auroit d’en relever l’éclat, . . . 167, -169

Beaux Esprits (Les Ouvrages des Prétendus) corrompent le goût & les mœurs du Public, . . . 39

Il leur étoit permis autrefois de se masquer, . . . 162

Betterton, Acteur Anglois, . . . 214

Blackmorre (Le Chev. Rich.) Auteur d’un Poëme Anglois, & sa Pensée sur l’abus que les Poëtes font de leur Esprit, . . . 42

Blenheim (Palais de) deshonoré par un relief de mauvais goût, . . . 300, 301

Bohun (Mad. Marie) étoit une des plus grandes Beautez de son Siecle, . . . 304

Boileau (Mr.) cité, . . . 225

Il rejette l’Esprit mixte avec dedain, . . . 319

Il a soutenu par-tout qu’une Pensée, qui n’est pas juste, ne sauroit être belle, . . . 323

Bonheur veritable & chimerique . . . 74, 75

Boufons de Théatre que chaque Nation appelle du Nom du plat qu’elle aime le mieux, . . . 225

Bouhours (Le P.) a fait voir qu’une Pensée qui n’est pas juste, ne sauroit être belle, . . . 323

Bouts Rimez (Les) ont été cheris en France,  . . 306

Exemple tiré du Mercure Galant du mois de Novembre 1710, . . . 307

Bretonnes (Les) ont l’air vif & animé, &c. . . . 184

Elles doivent s’éloigner des Pictes, . . . 187

Brisket (Mad. van) Beauté des Provinces Unies, . . . 159

Brunette & Phils, inséparables dès leur enfance, devinrent Ennemies mortelles, à l’occasion de leur beauté & de leur ajustemens, . . . . 408, -410

Philis se marie avec un Anglois des Barbades, où elle est transportée, . . . 411

Brunette épouse un Gentilhomme de la même Isle, . . . Ibid. &c.

Philis fait un Habit d’un Brocard magnifique, . . . 412

Brunette donne une Jupe de ce même Brocard à une jolie Négre qui la servoit, . . . ibid.

Philis s’évanouit, de chagrin à la vûe de ce spectacle, & s’en retourne en Angleterre, ibid. . . . 413

Bruyere (Mr. de la) nous a donné le caractère d’un Homme distrait, sous le nom de Monalque, avec autant d’esprit que de vivacité, . . . 398

Brunet (Le Dr. Th.) a indiqué la source de l’affectation, . . . 177

C.

L’auteur désigné par cette Lettre à la fin des Discours donne son caractére, . . . 2,-7

A quelle occasion il change de logis à Londres, & de quelle manière il en agit là où il demeure, . . . 66, -68

Son dessein est d’attaquer le Vice en général, & non pas les Vicieux en particulier, 80, 81

Il excepte de cette Regle les Ecrivains satiriques, . . . 175

Il veut observer la Neutralité entre les Whigs, & les Toris, . . . 81, 82

Il veut guérir les Femmes de l’esprit de Parti, . . . 285

Il rend visite à une Dame, grande Partisane du Dr. Oates, . . . 288, 289

Il se propose de bannir le Vice, & l’Ignorance de son Païs, . . . 290

Il craint le retour du Quolibetisme, . . . 215

Il n’en juge point par esprit de Parti, . . . 314

Il se plaît à visiter le Change de Londres, . . . 364, -366

Il se divertit à voir les Tableaux, & le Songe qu’il eut à cette occasion, . . . 426,-431

Il est fort disposé à juger des Hommes par leur Physionomie, . . . 439

Il trouve certaines Laides qu’il y a plus aimables qu’une insolente Beauté. . . . 441

Camille, une des Heroïnes de Virgile, . . . 76, 77

Dame Angloise, animé de l’esprit de Parti, . . . 286

Candle, sorte de Boisson Angloise, . . . 284

Capitaine (Le) d’un Vaisseau de guerre Anglois, qui se laissa brûler, . . . 378

Carrache (Haunibal) Peintre Fameux, . . . 430

Catilina convoitoit le bien des autres, pendant qu’il prodiguoit le sien, . . . 273

Catulle n’a pas le moindre trait de l’Esprit mixte, . . . 319

Censeur de Bagatelles, que l’Auteur vouloit établir, . . . 79

Charles I. Son estampe, qu’on voit à Oxford, est une Pièce curieuse, . . . 294, 295

Chaucer, Auteur Anglois, qui a écrit des Contes, . . . 379

Chinois (Les) maltraitent quelquefois leurs Idoles, . . . 379

Chronogramme singulier sur une Médaille de Gustave Adolphe, . . . 305, 306

Deux ou trois Files de Chronogrammes, . . . 330

Ciceron fut ainsi appellé du Fondateur de la Famille, qui avoit un Pois-chiebe sur le nez, . . . 299

Ses Ouvrages sont pleins de Quolibets, . . . 310

Sa remarque sur l’Amitié, . . . 358

Sa remarque sur l’Ambition . . . 376

Clarinde est une des plus grandes Idoles, qu’il y ait entre les Modernes, . . . 380

Cléanthe (L’infortunée) sacrifie son Amour à l’éclat des riches, . . . 72

Cléomire se fait remarquer par son bon air & par sa Venu, . . . 351

Comédiens (Troupe de) Campagnars fort mal équipée, . . . 234, 235

Commerce (Le) ne demande pas tant de genier, que l’étude des Sciences, . . . 105, &c.

On ne sauroit y emploïer trop de monde, . . . 106

De celui qui se fait à Londres, . . . 365, -370

Il est fondé sur les differentes Dentées, qui croissent en divers Païs, . . . 367

Il a donné aux Anglois une espéce de nouvel Empire, . . . 370

Conversation (La) est plus ou moins interessante suivant le nombre & la qualité de Personnes, . . . 358

Cordonnier (Le) qui paroît dans la Comédie de Fopling est un franc Athée, . . . 345

Correggio, Peintre fameux, . . . 430

Corsaire (Le) Comédie écrite par une Femme, . . . 246

Coterie (La) des gras & des maigres, . . . 52

des Rois . . . 53

de St. George, . . . ibid.

des Voisins logez dans la même Rue, . . . ibid.

Des Nigauds & des Buveurs de Biere de Brunswick, . . . 54

des Duellistes, &c. . . . ibid. 55

des deus sols, avec ses Réglemens, . . . 56, 57

des Laids, établie à Oxford . . . 86, -89

des Gans à frange, . . . 152

Amoureuse, établie à Oxford, . . . 153, -155

Hebdomadaire, établie à Oxford, . . . 194, -198

Eternelle, établie à Londres, . . . 371, 375

De la quantité de Vin, d’Eau-de-vie, &c. qu’elle a bû depuis son Institution, . . . 373

Coverly (Le Chev. Roger de) un des Membres de la Coterie des Auteurs, . . . 8, -10

Son Opinion à l’égard des prétendus beaux Esprits, . . . 39-43

Coutume (La) fait agir les Hommes contres toute sorte de regles, . . . 335

Cowley, fameux Poëte Anglois, . . . 186

Il a plus de traits de l’Esprit mixte, qu’aucun Auteur qu’il y ait jamais eu, . . . 319

Exemple tiré de ce qu’il dit sur l’Amour, . . . 320, 321

Il croïoit qu’il étoit bon de s’attacher un peu à la Danse, . . . 356

Crédti National de la Gr. Bretagne, Allegorie raisonnée là-dessus, . . . 19, 23

Critique du Théatre Anglois, . . . 189, -192. 201, -205, 209, 244, 248

de la Tragedie de Corneille sur les Horaces & les Curiaces, . . . 205, 206

d’un entroit de la Comédie, qui a pour titre, Les Funerailles, . . . 243

d’une Comédie du Chevalier George Ethege, . . . 244

des saletez & des ordures qu’on trouve dans les Pièces du Théatre Anglois, . . . 244, -248

d’une Scène d’Ibrahim, . . . 246

de la Comédie intitulée, Le Corsaire, . . . 246, 247

d’une autre, intitulé, le Chevalier Fopling Flutter, . . . 341 ,-346, 385

Critique (Les anciens) n’ont pas bien distingué les Quolibets des bonnes pointes d’esprit, 313

Croß (Mademoiselle) Beauté Angloise, . . . 159

D.

Danse (La) justifiée contre un Philosophe, . . . 352

Différentes sortes de Danses, & de l’abus qui s’y est glissé, . . . 353, -355

Il est bon de s’y attacher un peu, . . . 356

Les Contredanses peuvent avoir des fuites dangereuses, . . . 357

Daphné, peu favorisée de la Nature, à l’égard du Corps, se rend agréable par l’Esprit, . . . 163, 164

Sa bonne humeur lui procure un Epoux, . . . 165

Débiteur (Un) est dans une triste situation, . . . 422, 423

Défauts (Les) naturels ne doivent point causer de honte à ceux qui les ont, ni exciter la risée des autres, . . . 83

Quand on est disgracié de la Nature, on doit en badiner soi-même, . . . 84

Denham, Poëte Anglois, cité . . . 422

Deuil (Le) à l’égard des Habits, est une partie du Cérémoniel établi entre les Rois & les Princes, . . . 336

Tout le mone les veut imiter là-dessus, . . . 537

Les veritables affligez en ce cas sont les Merciers, &c. . . . 338

La manie de se mettre en Deuil, à l’exemple des Cours, ruine toute subordination, . . . 339

Dévote Presbiterienne, . . . 221, 222

Disctraction (Les) où quelques Hommes tombent, viennent de différentes causes, . . . 356

Domestiques, voïez Valets.

Dorimant, le Heros d’une Comédie, est un veritable Fripon & grossier dans ses manieres, 342, 343, 385

Il paroît plus sot que Fopling, . . . 344

Une certaine Dames est charmée de son Caractere, . . . 382, -384

Duelliste (Le) tue son Ami, par un faux point d’honneur, & il en sent de cruels remords, 437

Dulcianare est insuportable à ses Amis & à ses Domestiques, . . . 407, 408

Dupes (Les) du mois d’Avril, . . . 226

Drugger (Abel) s’acquit de la réputation par ses traits d’esprit sur le nom de Cloche, . . . 141

Dryden (Mr.) fameux Poëte Anglois, Auteur d’un Poëme, intitulé Mac Fleckno, . . . 294

Il a mal défini l’Esprit, . . .322

Il a fait une jolie remarque sur Ovide & Virgile, &c. . . . 323, 324, 325

Dyer (Mr.) Nouvelliste de Londres, . . . 197

E.

Ecclesiastiques (Les) sont en trop grand nombre en Angleterre. . . . 101, &c.

Ecrivain (Un Maître) de Londres a transcrit tout le V. T. sous la forme d’une Perruque, . . . 295

Education (La belle) à l’égard des Dames est aujourd’hui fort vicieuse, . . . 253

La faute où l’on tombe là-dessus à l’égard des Filles & des Carçons, . . . 349, -351

Eglise de S. Paul à Londres décrite par des Rois Indiens, . . . 237, 238

Enëide (L’) refondue en Vers Latins rimez . . . 302

Enseignes (Critique des) de Londres, . . . 138, -142

Celle du Badaut commune à Amsterdam, . . . 224

Envieux (L’) consideré à trois égards, . . . 90, 94

Envieux (L’) peintre, qui veut retoucher les Ouvrages des autres, & qui les gâte, . . . 430

Epaules (Les grosse) étoient à la mode sous Richard III. . . . 160

Epictete a estimé les Femmes leur juste prix, . . . 257

Il est admiré pour ses expressions naïves, . . . 361

Epigrammatistes (Les) Grecs affectent l’Esprit mixte, . . . 319

Epitaphe d’un Valetudinaire Italien . . . 123

Epitaphes qu’on trouve dans l’Eglise de Westminster, . . . 126,-128

Erasme a écrit un Dialogue, où l’Echo est un des Interlocuteurs, . . . 302

Escarboucle (Alex.) Membre de la Societé des Laids à Oxford, . . . 89

Lettre qu’il écrit à l’Auteur R. . . . 156,-162

Qu’elle est la teinture de son visage, . . . 252

Esprit (L’) de mauvais aloi est de differente espèces, . . . 291,-309. 318. 327, -331

de bon aloi, avec ses qualitez essentielles, . . . 317, 318

Le mixte tient de l’un & de l’autre . . . 319

Exemple de cet Esprit mixte, dans ce que les Poëtes disent de l’Amour, . . . 319, -321

Revûe de ses Troupes, 332

de l’Homme est souvent la dupe de son cœur, . . . 402

Esprit (L’) est formé d’une infinité de Passions cruelles & violentes, . . . 285

Il oblige les Dames Angloises à se distinguer par la differente situation de leurs mouches, . . . 413,- 417

Esprit, l’Univers est plein, . . . 71

Esprit (Les grands) ont un grain de folie, . . . 395

Esprit (Les petits) préferent les faux brillant au solide, . . . 325

Esprits lourds qui se mêlent de tout ce qu’ils n’entendent pas, . . . 194, -198

S’ils ont de l’éducation & du loisir, ils deviennent Politiques ou Poëtes, . . . 199

Esprit (Les) satiriques & malins sont fort dangereux dans la Société, . . . 107, &c. 111

On peut leur appliquer une Fable, . . . 112

On doit les traiter suivant les Loi du Talion, . . . 175

Etherege (le Chevalier George) a écrit une Comédie tout à fait impudique, . . . 244

Eucrate, l’Ami du cœur de Pharamond, avoit l’ame nobe sans être ambitieux, . . . 392

Son Caractere plus étendu, . . . 433, 434

Eudosie est une Dame vertueuxe, dont les manieres sont civiles & honnêtes . . . 404

Evremond (M. de S.) dit qu’une belle Femme regrete plus la perte de sa beauté que celle de sa vie, . . . 166

Il a eu une juste idée des Femmes, . . . 257

F.

Facteurs (Les) sont dans le Commerce à peu près ce que sont les Ambassadeurs dans la Politique, . . . 365

Falstaffe & le Pr. Henri dans Shakespear, badine sur leurs défauts naturels, . . . 84

Le Caractère du premier. . . 228, 229

Fantasque (Le) Peintre Italien, . . . 428

Fausses Dévotes qui croїent que tout leur est permis, après avoir lû un certain nombre de Prieres, . . . 405

Caractére de Philautie, de Dulcianare & d’une troisiéme, qu’on peut mettre dans ce rang, . . . 406, -408

Femmes (Lese) sont plus sensibles que les Hommes aux invectives qu’on dit contre leur Sexe, . . . 59

Elles se laissent éblouir par l’éclat exterieur, . . . 72,-74

Il y en des Impertinentes,. . . 117, 118

Elles sont xxxtées de leur beauté, . . . 166

Elles cherchent à gagner le cœur des Hommes, . . . 177

De celles qui se fardent, . . . 183, -187

L’esprit de Parti est le naturel des Femmes, &c., . . . xxx

Elles sont plus dominées de xxx vie de plaire que les Hommes, . . . xxx

Quelles sont les vertues de leur Sexe, . . . ibid. 381

De celles qu’on peut appeler des Idoles, . . . 377, -381

En certains cas elles sont plus sujettes à l’illusion que les Hommes, . . . 402

L’amour de la Vertu leur manque aussi-bien qu’aux Hommes, . . . 404

Il y en a de laides qui sont plus aimables que certaines Belles, . . . 441

Flavie est une belle Danseuse . . . 404

Fopling Flutter (Le Chev.) Comédie du Chevalier Etherege, où Mr. Dorimant & Mademoiselle Harriot soutiennent les principaux Caractères, . . . 341

Toute cette Pièce est contraire aux mœurs au bon sens, &c. . . . 344, 345

Une certaine Dame en a meilleure opinion, . . . 382, -384

Fous, qu’on avoit autrefois dans les grandes Maisons d’Angleterre, & qu’on voit aujourd’hui dans les Cours d’Allemagne, . . . 224

François (Les) sont naturellement Grimaciers, . . . 89

D’une humeur enjouée & badine, . . . 148, 149, 210

Ils ont trop encherie sur la maxime d’Horace à l’égard de la Tragedie, . . . 208

Leurs manieres ne servent qu’à gater le beau Sexe, . . . 215

Ils ont envie de rétablir les Bouts-rimez, . . . 307

Françoises (Les Dames) n’osoient prononcer exactement certains mots difficiles, . . . 215

Elles ont donné occasions aux Bouts-rimez, . . . 308

Freeport (Le Chev. André) troisiéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 12, 13

Ce qu’il dit quelques-uns des Pais où les Anglois négocient, . . . 368

Sa bonne conduite dans le Négoce, . . . 424

Fulvie, Dame qui ne cherche que les plaisirs, . . . 75, 76

Funerailles (Les) ou le Deuil à la mode, Comédie écrite par Mr. Rich. Steele, . . . 243

G.

Goblin (Hugues) Président de la Societé des Laids à Oxford, . . . 255

Grecs (Les) défendoient à leurs emmes d’assister aux Jeux Olympiques, . . . 418

H.

Hamlet, Tragedie écrite par Orway, . . . 201, 202

Harriot (Mad.) qui tient un des principaux rôles dans une Pièce, paroît fort mal élevée, 343, 344

Hecatissa prie l’Auteur R. de la faire admettre dans la Coterie des Laids, . . . 231, 232

On lui applique une Epigr. de Martial, . . . 251

On conseille à l’Aut. R. de l’épouler . . . 250, 254

Elle écrit une autre Lettre au même, . . . 405, 408

Hector renvoïe sa Femme à la Quenouille, . . . 283

Herbert (Mr.) Poëte Anglois, . . . 294

Hesiode joint la Valeur avec la Danse, . . . 252

Hieroglyphe en relief sur deux grandes Portes du Palais de Blenheim, . . . 300

Hobbes a bien décrit la Passion qui excite à rire, . . . 223, 255

Hollandois (Les) ont du goût pour l’Antique, . . . 129

Ils reglent leurs beautez, . . . 159

Ils sont plus industrieux que spirituels, . . . 224

Homere cité, . . . 95, 283, 352

Hommes (Les) tâchent de noircir les Femmes par un esprit de vengeance, . . . 60, 61

Ceux qui sont engagez dans le Monde forment de bonnes résolutions qu’ils n’executent pas, . . . 132, 133

Le moïen de les connoître est d’examiner les Lettres qu’ils écrivent à leurs Amis, . . . 133

Il y en a qui se piquent d’ajustemens comme les Femmes, . . . 177

La plûpart sont trop avides de louanges, . . . 178

Ils se moquent les uns des autres, par un principe d’orgueil, . . . 224, 225, 227

Ils auroient besoin d’une autre meilleure éducation, . . . 258

Les deux principaux ressorts qui les font agir sont l’amour du plaisir & la crainte de la misere, . . . 270 &c.

Caractere d’un Homme qui se mêle de ce qui ne regarde que les Femmes, . . . 284

Ils veulent tous paroître plus qu’ils ne sont, & imiter la Cour, &c., . . . 337

Ils cherchent mal à propos à se faire admirer, . . . 375 &c.

La difference qu’il y a entre les pensées du Sage & celles du Fou, . . . 376

Plus un Homme a de la Vertu, plus il est civil, honnête & agreable, . . . 387, &c.

D’où vient l’humeur bizarre & inconstante de certains Hommes, . . . 388, 389

Quelles sont les causes des distractions où quelques-uns tombent, . . . 396

Tous les Hommes s’entendent un peu en Physionomie, . . . 438

Il y en a qui cultivent leur Esprit, malgré leur mauvaise mine, . . . 441

Honeycomb (Mr. Guill.) cinquiéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 15 ,-17

Sa manière de raisonner, . . . 28, 29

Ses Amours avec une Picte, & le tour qu’il lui joua, . . . 185, -187

Il rend visite, avec l’Auteur C, à une Dame, grande Partisane du Dr. Oates, . . . 288, 289

Il décrit la Danse aux baisers, . . . 355, &c.

Exemple fort singuliers de sa distraction, . . . 394, 355, 397, 398

Il prétend qu’une femme qui écrit une Lettre, ne découvre guères sa pensée que dans une apostille, . . . 403

Horace cité, 1. 24. 32. 45. 77. 90. 101. 113. 125. 131. 137. 144. 155. 163. 188. 191. 200. 207. 242. 256. 264. 289. 315. 326. 340. 346. 382. 388. 401. 408.

Il a fort peu d’Esprit mixte, . . . 319

Il est admirable pour ses expressions naïves, . . . 361

Hormus (L’) étoit une Danse des Lacedemoniens, . . . 352

Hudibras a tourné en ridicule la manière de composer des Dialogues où l’Echo est de la partie, . . . 301

Plusieurs de ceux qui admirent sa Poësie, n’en conoissent pas les plus beaux endroits, . . . 309

Hymne extraordinaire à l’honneur de la Sainte Vierge, . . . 302, 303

I.

Ibrahim, Comédie écrite par une Femme, . . . 246

Idoles (Les) qui cherchent par tout des Adorateurs sont de deux différentes sortes, 378, 381

Description d’une de ces Idoles par Chaucer, . . . 379, 380

Divers accidens les font déchoir de leur Divinité, . . . 380, 381

Philautie est une de ces Idoles, . . . 406

Il y en a des Mâles, qui ne sont pas moins insuportables que les Femelles, . . . 444, 445

Elles tiennent des Caffez publics, . . . 447, -449

Idolâtres (Les) des Belles sont d’une humeur tout opposée à celle des autres, . . . 379

L’impatience qu’ils ont de leur offrir leurs Encens, . . . 447

Ce qui est arrivé à deux jeunes Idolâtres, . . . 448

Ignotus soutient par-tout le caractère d’un honnête Homme . . . 386, 387

Importuns qui se fourrent par-tout, . . . 113, &c.

Impudence (L’) d’un Anglois est differente de celle d’un Ecossois & d’un Irlandois, . . . 99

Impudens qui se piquent d’une Effronterie goguenarde, . . . 100

Indiens, voïez Rois.

Indiscret (Un) est plus à craindre qu’un méchant Naturel, . . . 112

Industrieux (L’) Peintre Hollandois, . . . 429

Inkle (Mr. Thom.) jeune Marchant de Londres, s’embarque pour aller aux Barbades, . . . 61

Son Avanture avec une jeune Indienne, & la manière dont il en agit à son égard, 62- 65

Irlandois (Les) sont les plus heureux Effrontez qu’il y ait, . . . 99, &c.

Un Gentilhomme de cette Nation veut s’eriger en Maître Lorhneur, . . . 222, &c.

Isocrate n’est pas exempt des Quolibets, . . . 313

Italiens, (Stile des Auteurs) & la préférence des Anglois, . . . 36

Ce qu’ils apellent la Furberia della Scena, . . . 192, &c.

Ils affectent l’Esprit mixte dans toutes leurs Poësies, . . . 319

J.

Jambes de Fuseau, Sobriquer d’Eduard I., . . . 160

Jacques I. étoit un assez bon Quolibeteur, . . . 110, 111

Jeu de mots, voïez Quolibetisme.

Il fut ramené vers le rétabilissement des belles Lettres, . . . 313

Sa définition, . . . 314

Parti d’Equivoques ou de Jeux de mots, . . . 331

Jeu de rimes (Le) où l’on ne doit jamais repetér celle d’un autre, . . . ibid.

Jesus, Fils de Sirach, Auteur de l’Ecclesiastique, a des maximes admirables sur le chapitre des Amis, . . . 359, -362

Jule Cesar fut gagner l’amitié de Catulle, . . . 109

Son Stratagême lorsqu’il étoit un des Maîtres de l’Hôtel de la Monoïe, &c. . . . 299

Jurisconsulte (Caractère d’un) second Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 10,-12

Juvenal, cité, 8. 38. 51. 58. 82. 210. 283. 335. 429

K.

Kimbow (Mr. Thom.) vieux Garçon bizarre, écrit une Lettre à l’Auteur, . . . 114, -116

L.

Lacedemoniens (Les) plus vertueux & moins polis, que les Atheniens, . . . 44

Ils avoient inventé la Danse, apellée Hormus, . . . 352

Lacs d’or fondu qu’il y a dans l’autre Monde, à ce que croïent les Indiens, &c. . . . 285

Latitia, prévenue de sa beauté, négligé de cultiver son Esprit, . . . 163, 164

Sa fierté la prive de son Amant, . . . 165

Laides aimables, . . . 441

Larvati ou Larvâ donati, des Anciens, . . . 262

Lath (Mr.) Gentilhomme Anglois, mécontent de ses jambes, . . . 159

Lettre d’un Homme d’affaires, qui s’acquite de son devoir en bon Chrétien, . . . 134

- d’un Voluptueux qui a de la peine à se détacher du vice, . . . 135

- d’un Homme de Cour qui se forme de vains projets de s’en retirer, . . . 136

- d’Alex Escarboucle à l’Auteur R. . . . 156, -162

- de R. B. à l’Auteur R. sur la beauté des Femmes, . . . 166, -169

- de l’Auteur R. à un de ses Amis, qui est d’une Affectation insuportable, . . . 180, 181

- d’un Mari qui veut être séparé de sa Femme, à cause du fard dont elle s’étoit déguisée, . . . 182, -184

- d’Abrah. Froth, sur l’Assemblée hebdomadaire établie à Oxford, . . . 194, -198

de R. G. marié à une Dévote, . . . 221, 222

d’un Irlandois qui veut s’ériger en Maître Lorg-neur . . . 222, 223

Rep. de l’Auteur R. à la Coterie des Laids, . . . 230

d’Hecatissa à l’Ateur R. . . . 231, 232

d’un vieux Damoiseau gouteux, . . . 233, &c.

des Magistrats d’Epping dans le voisinage de Londres sur une Bande de Comédiens, . . . 234, 235

d’une jeune Dame à l’Auteur R. sur le Stile trop libre des Comédies, . . . 242, 243

Rép. de la Societé difforme à l’Aut, R. . . . 251 ,-255

de Q. R. à l’Aut. R. sur le 35. Disc. . . . 255

Rep. de l’Aut. R. . . . 256

de R. B. à l’Aut. R. sur le 26. Disc. . . . 257, -259

d’Anna Bella à l’Auteur R. sur le Commerce des Dames & des Messieurs, . . . 259, 260

d’un Gentilhomme rateleux, . . . 260, &c.

d’un autre qui se plaint des Lorgneurs dans les Eglises, . . . 261, -264

écrite de Cambrige sur le Lowgers . . . 265, -268

de Celimène sur l’Education d’une jeune Fille, . . . 347, 348

d’un riche Artisan sur la Danse, . . . 353, -355

d’une jeune Dame, M. T. résolue de se bien divertir, malgré tous les avis de l’Aut. R. . . . 402, 403

d’Hecatissa, sur les occupations des Dames, . . . 405, -408

de Rosalinda, qui veut être admise dans la Coterie des Laids, . . . 446, &c.

de T. T. qui se plaint contre les Idoles, qui tiennent des Caffez publics, . . . 447, -449

de Philo Britannicus sur le chapitre des Valets, . . . 450, 451

Lieux communs (Caractère d’un Partisan de) . . . 58, 59

Lindamíre se farde malgré la beauté de son teint, . . . 187

Lippogrammatistes (Les) de l’Antiquité . . . 297

Livres de Dévotion (Les) doivent inspirer une agréabe indifférence pour le Monde, . . . 406

Il y en a plusieurs qui sont un vrai Galimatias, & dont les titres sont trop bornez, . . . 405, -407

Locke (Mr.) a fait une bonne remarque sur la différence qu’il y en a entre l’Esprit & le Jugement, . . . 315, 316

Addition à cette Remarque, . . . 317

Londres est une espèce de Marché public pour toute la Terre, . . . 365

L’empressement que tout le monde y témoigne pour s’enrichir, . . . 422

Longin a sû distinguer les Quolibets de bonnes Pointes d’esprit, . . . 313

Lorgneur (Maître) Irlandois, . . . 222

Lorgneuses (Les demi-) sont aussi a craindre dans les Eglises que les Lorgneurs, . . . 262, 263

Lowgers (Les) sont une Secte de Philosophes très commune à Cambridge, &c. . . . 265, 266

Leurs Maximes & leurs Exercises, . . . 267, 268

Il y en a beaucoup à Oxford & à Londres, . . . 268, 270

Lucain cité, . . . 276

Lucien cité, . . . 351

Lucrece cité, . . . 18

On ne voit dans ses Ouvrages aucune trace de l’Esprit mixte, . . . 319

Lully (Baptiste) a perfectionné la Musique Françoise, . . . 148

M.

Macebeth, Tragédie écrite par Dryden, . . . 213

Maîtres (Les) de Danse doivent enseigner à se produire de bonne grace en compagnie, . . . 356

Malades imaginaires, qui ruinent leur santé à force de remedes, . . . 123

Marc Aurele, dont la Statue Equestre avoit quelque chose de singulier, . . . 299

Marchands (Les) sont les Membres les plus utiles qu’il y ait dans la Societé, . . . 369

Mardi (Marie) le Nom supposé d’une Dame, qui écrit uen Lettre à l’Auteur, . . . 117, 118

Marraton, Indien, eut une Vision, pendant laquelle il fut à l’autre Monde, . . . 278, 283

Martial cité, . . . 154. 170. 175. 223. 251. 363. 394. 440.

Il est tout plein d’Esprit mixte, . . . 319

Mathematicien (Un) fort habile ne savoit quelle posture tenir pendant qu’un Seigneur buvoit à sa santé, . . . 356

Mazarin (Le Cardinal) en agit d’une Manière fort honnête envers le savant Quillet, . . . 109

Médicine (La) fleurit aujourd’hui dans le Nord, . . . 104

Medecins (Les) sont trop nombreux en Angleterre, . . . ibid.

Mémoire que l’Auteur C. laissa tomber dans le Caffé de Lloyd, . . . 217, -219

Les Conjectures qu’on fit sur ce Papier, . . . 219, &c.

Menage (Mr.) parle trop serieusement des Boutsrimez, . . . 308

Ménalque est sujet à mille distractions impertinentes, . . . 398, -401

Mensonge (Le Dieu du) regne dans le Païs de l’Esprit faux, . . . 327

Il disparoît à l’approche de la Verité, . . . 333

Marion est appellé un beau Danseur, par Homere, . . . 352

Milton, fameux Poëte Anglois, . . . 169

Il avoit un genie fort au dessus de ce qu’on appelle Esprit mixte, . . . 319

Modernes (Les) comparez avec les Anciens, . . . 312

Monument (Le) dressé à l’honneur du Chevalier Showel n’est pas de bon goût, . . . 128

Moore (Le Cr.) a écrit un beau Traité de Morale, . . . 443

Mouches (Les) différemment placées sur le visage, servent à distinguer les Dames du Parti des Whigs, & de celui des Torys, . . . 413,- 417

Musée a quelque traits de l’Esprit mixte, . . . 319

Musicien (Un) doit s’accomoder au genie de sa Nation, . . . 147

Musique (La) Angloise auroit besoin d’être adoucie par l’Italienne, . . . ibid.

- Françoise est parfaite en sou genre, . . . 148

- doit tirer ses Regles du Sens commun, . . . 149

N.

Nez (Les) Romains ou Aquilins ont eu autrefois la vogue, . . . 160

Newberry (Mr.) Auteur d’une plaisante Enseigne où son Nom étoit en figure hieroglyphe, 300

Nicharagua, jeune Prince Indien, . . .280

Nigranilla, Partisane des Torys, a un bouton, qui la force de mettre une mouche sur le côté Whig de son visage, . . . 416

O.

Oates (Le Dr. Titus) triompha de ses Ennemis, . . . 88

Opera François critiqué, . . . 148, 149

Opera Italien (Critique d’un) . . . 32, -38

Orgueil (L’) Peintre François, . . . 427, &c.

Ovide cité, . . . 22. 71. 182. 216. 229. 357. 438.

Il a beaucoup de l’Esprit mixte, . . . 319

Son Art d’aimer est une espéce de Rituel, &c. . . . 378

P.

Paragrammes (Les) sont une espèce de Quolibets, . . . 310

Passion (Chaque) donne un air tout particulier au visage, . . . 438, 439

Pately (Marion) Air de Danse, . . . 355

Peintres modernes, morts & vivans,. . ., -431

Les Noms des vivans sont l’Orgueil vêtu à la Françoise, &c. . . . 427, &c.

Le Stupide, habillé en Alleman, . . . 428

Le Fantasque, mis en Scramouche Venitien, . . . ibid.

L’Avare, qui ne finit aucun de ses Ouvrages, . . . 429

L’Industrieux, vêtu à la Hollandoise, . . . ibid.

L’Envieux, qui gâte tout ce qu’il touche, . . . 430

Les Noms des morts sont Raphael, le Titien, &c.. . . ibid.

Les Ouvrages de ceux-ci n’ont besoin d’être retouchez par le Tems, . . . 431

Peinture (La) doit tirer ses regles du Sens commun & du Goût général, . . . 149

Penthesilée, Dame Angloise, animée de l’Esprit de Parti, . . . 286

Periclès donne un bon conseil aux Atheniennes, . . . 419

Perse cité, . . . 66. 270. 271. 302. 309.

Petrone a inventé les circonstances qui aggravent l’action de la Matrone d’Ephese, . . . 61

Pharamond étoit le Prince le plus humain & le plus agréable qu’il y eut de son tems, . . . 389, 390

Le tour qu’il prenoit pour connoître l’humeur des Hommes, . . . 390

Le discours qu’il tint à Eurcrate, qu’il vouloit choisir pour son Ami, . . . 391

Il s’apelloit quelquefois l’agréable Tyran, . . . ibid.

Il se vantoit de changer toute la masse sang d’un Homme, en lui parlant trois fois, &c. . . . 392, 393

Il ne donnoit les Emplois qu’à ceux qu’il en croïoit bien capables . . . 394

Il se retiroit quelquefois à l’Apartement d’Eucrate, où il donnoit audience à tous les Malheureux, . . . 433

Son entretien avec Eucrate & Spinamont, . . . 434, 435

Philautie est une Idole & une fausse Dévote, . . . 406

Philo-Britannicus écrit à l’Aut. R. pour se plaindre contre les Domestiques Anglois, 450, 451

Philosophes (Les) Européans ont eu diverses Notions peu probables, . . . 271

Un ancien Philosophe se disoit Citoïen du Monde, . . . 366

Un autre disoit à un Etranger, Parlez, afin que je vous voie, . . . 439

Physiciens, qui s’amusent à de plaisantes occupations, . . . 103

Physionomie (La) a été réduite en Art, . . . 439

Pensée d’un Auteur fort ingenieux, qui en a écrit, . . . 440

On ne doit pas se prévenir trop legerement là-dessus, . . . 443

Physionomiste (Un) découvrit, dans Athenes, par les regles de son Art, l’humeur de bien des gens, & en particulier celle de Socrate, . . . 442

Pictes (Les) ont l’air morne & sans action, . . . 184

Portrait d’une certaine Picte, avec le recit d’une de ses avantures, . . . 185, -187

On peut les défigurer en les baisant, . . . 252

Plaisanterie (La bonne) est mal-aisée à définir, . . . 171

La fausse Plaisanterie, l’Origine de l’une & de l’autre, avec leurs effets, . . . 172, -175

Plastron, ceux qui servent de Plaston, dans les bonnes compagnies, ont souvent beaucoup d’esprit, . . . 228

Platon afectoit les Quolibets dans ses Ecrits, . . . 313

Poëmes (Les) en mignature doivent leur origine à l’Esprit de mauvais aloi, . . . 291

De celui qui a la figure d’un œuf, . . . 291, 292

De ceux qui ressemblent à une paire d’Ailes, à une Hache, à un Autel, & au Chalumeau d’un Berger, . . . 292, 293

D’un autre en forme d’un Eventail, . . . 295

Poëtes (Les) qui manquent de genie, ont recours aux équivoques & aux saletez . . . 244, -246, 323

Ils pourroient donner un nouveau tour à la Comédie, & se rendre ainsi utiles au Public, . . . 248, 249

Pointes d’esprit (Les bonnes) doivent être distinguées des Quolibets, . . . 313

Le moïens qu’il y a pour les distinguer, . . . 314, &c.

Politesse de l’Esprit (La) n’est pas toujours accompagnée de celle des mœurs, . . . 41, -43, 44

Politique (La) & la Poësie sont deux amusemens pour les Fous les plus distinguez, . . . 199

Présages (Mauvais) fondez sur la Superstition ou sur une Imagination blessée, . . . 47, -50

Celui qui est bâti sur le nombre de 13 Personnes, qui se trouvent en compagnie, plaisamment éludé, . . . 49

Priere des Sorciers, (La) Epigramme fort grotesque, . . . 313, 314

Prince (Le) Breton, fameux Poëte, qui parut sous Charles II, . . . 199

Princes (Les) sont responsables de toutes les mauvaises Coutumes qui s’introduisent dans leurs Etats, &c. . . . 436, 437

Le fameux Prince de Condé avoit la Physionomie d’un Aigle, . . . 440, 441

Procrustes (Le Tyran) avoit un Lit de fer, &c. . . . 293

Professeur (Un) Scientifique ne savoit comment s’y prendre pour saluer une Dame, . . . 356

Prosopaiepses, Défaut qui porte à juger temerairement sur la simple apparence ou l’exterieur des Personnes, . . . 443

Prosper (Guill.) fait enrager les Envieux qu’il connoît, . . . 91, 92

Il est Ennemi des Impudens, . . . 97

Prosperité (La) plonge les Etats dans le Luxe & l’Avarice, . . . 273

Purcell, Musicien Anglois, qui a composé des Opera, . . . 145, 146

Pyrrhus inventa la danse qui porte son Nom, . . . 352

Q.

Quintilien a bien distingué les Quolibets des bonnes Pointes d’esprit, . . . 313

Quolibetisme (Le) est une méchante Herbe, qui croît dans l’Esprit de tous les Hommes, . . . 310

Il a été en vogue dans une célèbre Université de la Grande Bretagne, . . . 312

D’où vient qu’il ne paroît plus aujourd’hui dans la Rep. Des Lettres, . . . ibid.

R.

L’Auteur designé par cette Lettre à la fin des Discours, décrit son humeur taciturne & son habileté en Physionomie, &c. . . . 25, -31

Son dessein à l’égard des Dames & de leurs Amours, . . . 30, 31

Il fait la description de son visage, . . . 84, 85

Le tour qu’il prend pour se garantir de l’Envie, . . . 94

On l’admet dans la Societé des Laids, . . . 156, 162

Il veut empêcher les Dames de se farder, . . . 187

Il seroit d’avis que chaque Homme aprît un Métier, . . . 200

Ses reflexions sur la Lettre d’une jeune Coquette, . . . 403, 404

De quelle manière il regit ses affaires, . . . 421

Railleurs (Les) de profession, . . . 227

Raphaël, excellent Peintre, . . . 430

Rate (Le mal de) n’est que pour les gens d’esprit, . . . 260, 261

Rébus (Un) consiste à mettre une figure à la place d’un mot, . . . 298

Le grand Magasin de Rébus, . . . 330

Recitation (La) Italienne ne quadre pas avec l’Anglois, . . . 144, -146

musicale doit être aussi differente dans chaque Langue que leur Accent naturel, . . . 145

Rehecrsal, Comedie faite par le dernier Duc de Buckingham, . . . 22

Rêve de la Mere de l’Auteur C. . . . 2

d’une Dame superstitieuse, . . . 45, 46

Rhée (La Déesse) inventa la Danse, . . . 352

Rheni (Gui) Peintre fameux, . . . 430

Rhétoriciens (Les) ont traité fort gravement du Jeu des mots, . . . 311

Rich (Mr.) Proprietaire d’une des Maisons, où on joue la Comedie à Londres, . . . 37

Rigaudon, (Mr.) Maître de Danse, . . . 353

Rire, Ceux qui veulent nous exciter à rire se doivent mettre au dessous de nous, . . . 227

Roger l’Estrange (Le Chev.) a publié une Fable, qu’on peut apliquer aux Esprits Satiriques, . . . 112

Rois Indiens, qui font leurs remarques sur la Ville de Londres, . . . 237, -241

L’idée qu’ils ont des Chaises à Porteurs, des Perruques, & de la Comédie, . . . 240, 241

Romaines (Les) prévinrent une Bataille, qui s’alloit donner entre les Romains & les Sabins, . . . 417

Elles sacrifierent, dans une autre accasion, leurs Bagues & leurs Joïaux pour le service du Public,. . . 418

Rosalinda, celèbre Partisane des Whigs, a un Signe sur le côté Tory de son front, . . . 415

Elle écrit à l’Aut. R. pour demander à être admise dans la Coterie des Laids, . . . 446, &c.

Rubens, Peintre fameux, . . . 430

S.

Sack Posset, sorte de Boisson Angloise, . . . 284

Salluste cité, . . . 273, 351

Sanctorius, inventeur d’une Chaise, qui servoit de Balances, . . . 120

Santé (la) mérite qu’on en prenne un soins raisonnable, . . . 124

Sarasin (Mr.) s’est moqué des Bouts-rimez, . . . 309

Scarron étoit le premier À badiner sur ses défauts, . . . 83

Sciences (Les) ne sont pas propres pour tous les Genies, . . . 105

Segrau (Mr. de) a distingué ceux qui lisent les Poëtes en trois Ordres, . . . 324

Sempronia, grande Admiratrice de la Nation Françoise, . . . 212

Seneque cité, . . . 296

Sentry (Le Capit.) quatriéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 13, -15

Shadwell (Mr.) Poëte Anglois, Mr. Dryden a fait un Poëme contre lui, intitulé Mac Fleckno . . . 84. 147. 193

Shakespear, fameux Poëte Anglois, . . . 84. 147. 193

Ses Tragedies sont pleines de Quolibets, . . . 311

Shovel (Le Chev. Cloudesly) Admiral Anglois, . . . 128

Singes, qui font de jolis tours, . . . 143

Sixte V. punit rigoureusement l’Auteur d’une Pasquinade, . . . 110

Socrate parut sensible à la Satire d’Aristophane, . . . 108, 109

aprit à danser lorsqu’il étoit déjà vieux, . . . 352, &c.

Son penchant naturel le portoit à la débauche, . . . 442

Il ressembloit beaucoup à Siclene pour le visage, . . . ibid, 443

Soldat, qui trembloit à son ombre, &c. . . . 70

Songe ou Vision, voïez Allegorie

Sophocle garde bien le decorum dans sa Médée, . . . 206, 207

Sophronie joint les agrémens de la Vertu à ceux de la Beauté, . . . 169

Spencer, Poëte Anglois, d’un genie fort au-dessus de ce qu’on appelle Esprit mixte, . . . 319

Spinamont se plaint à Pharamond de ce qu’il avoit eu le malheur de tuer en Duel le meilleur de ses Amis, . . . 435, -437

Stace cité, . . . 413

Statire est agréable sans affectation . . . 188

Stupide (Le) Peintre Alleman, . . . 428

Superstition (Plaisans effets de la) . . . 46, -50

Les Vapeurs en sont quelquefois la cause . . . 49

Swan (Mr.) fameux Quolibeteur, . . . 311, 312

T.

Temple (Le Chev. Guill.) auroit pû trouver une meilleure solution à une difficulté qu’il s’étoit proposée, . . . 104

Terreurs paniques de certains Esprits foibles, & le moïens de s’en garantir, . . . 50 50. 70, 71

Théologien (Caractère d’un) Membre de la coterie des Auteurs, . . . 17, 18

Titien (Le) Peintre fameux, . . . 430

Tombeaux (La vûe) des naitre des pensées serieuses & utiles, . . . 129, 130

True love (Mad.) entêtée du Dr. Oates, . . . 288, 289

Truepeny (Janot) est d’un naturel si bon, qu’il s’est ruiné par-là. . . . 425

Ce qu’il écrivit à un de ses Créanciers, . . . ibid. 426

Tryphiodorus, grand Lipogrammatiste, a écrit une Odysée, &c . . . 297, 298

Engagé dans un Bal avec 24 Personnes, . . . 330

V.

Vagellius, qui est un pauvre Avocat, auroit pû devenir un riche Marchand, . . . 106

Valets (Les) sont mieux en Angleterre, & ils servent plus mal, qu’aucune autre part, . . . 450, -456

Quelle est la cause de la licence qui regne parmi eux, . . . 412

Ils se donnent les titres de leurs Maîtres, . . . 453

Quels sont les Lieux de leurs Rendez-vous, . . . 454

Il y en a qui ne manquent pas d’esprit, . . . ibid, 455

Avantures d’un Valet à bonnes Fortunes, . . . 455, 456

Valetudinaire fort singulier, . . . 119-122

Avis que l’Auteur lui donne, . . . 124, 125

Venise sauvée, Pièce écrite par Shakespear . . . 201

Verité (La) est accompagnée de l’Esprit, . . . 332

Le Cortege qui est à leur suite, . . . 334

Vertu (La) mérite un double éloge, lorsqu’elle se trouve dans une Personne mal-bâtic, . . . 441

Vin (Le bon) vaut mieux que le Fard pour les Belles, . . . 252

Virgile cité, . . . 77. 107. 119. 193. 250. 364. 370. 375. 426. 432. 444. 450

On ne voit dans ses Ouvrages aucune trace de l’Esprit mixte, . . . 319

Vision ou Songe, voïez Allegorie

Vocifer est un Impudent, quoiqu’il passe pour un Homme bien fait & poli, . . . 385, 386

Voltager, Prince Breton, . . . 299

W.

Waller, Poëte Anglois, a beaucoup de l’Esprit mixte, . . . 319

Whig & Tory, qui se dépeignent l’un l’autre à des Rois Indiens, . . . 239

Il y a une grande secheresse dans les Ecrits de l’un & de l’autre Parti, . . . 314

Les Dames de ces deux Partis se distinguent par la firmation de leurs mouches, . . . 414

Y.

Yaratilda, Femme de Marraton, . . . 281, 282

Yarice, jeune Americaine, amoureuse de Mr. Inkle, & son triste sort, . . . 63, -65

Z.

Zeuxes, ancien Peintre, qui se vantoit de peindre pour l’éternité, . . . 252

F i n.

Table des Matieres A. Accent, chaque Nation a le sien . . . 145 Acrostiche (L’) est simple ou composé . . . 305 Ce jeu d’esprit ne vaut rien, soit qu’il vienne des Wigs ou des Torys . . . 314 Un Corps d’Acrostiches, rangez sur trois colomnes . . . 329 Affectation (L’) prive une belle Femme de sa beauté & donne du ridicule à un Homme d’esprit, . . . 176 Quelle est la cause de ce Vice, . . .177 Il regne dans les Personnes du premier rang, d’un mérite distingué, &c. . . . 178, 179 Albert le Grand prétendoit avoir vû la Forme substantielle de l’Aiman, . . . 277 Alexandre le Grand panchoit la tête, &c. . . . 160 Allegorie raisonnée sur le Crédit de la Nation, . . . 19, -23 sur la Molesse & l’Avarice, . . . 274 ,-276 sur les differentes sortes d’Esprit, . . . 327, -334 sur la Peinture, . . . 427, -431 Allemans (Les) sont grands Inventeurs de Chronogrammes, . . . 305, 306 Amans qui se païent de bagatelles, . . . 151 Un Amant qui perdit l’esprit pour n’avoir pas réussi dans l’Anagramme de sa Maîtresse, . . . 304 Il y en a qui se plaignent, se vangent & meurent sans dire mot, . . . 439 Ambition (L’) est le foible des plus grand Genies, . . . 376 Americains (Les) s’imaginent que toutes les Creatures ont des ames, &c. . . . 276, -283 Vision de Marraton, . . . 278 ,-285 Ami, les differentes qualitez d’un bon Ami, . . . 362 Amitié (L’) augmente le bonheut & diminue la misere, . . . 258 Le Chev. Fr. Bacon en a décrit tous les avantages, . . . ibid. L’Auteur de l’Ecclesiastique a de beaux traits là-dessus, . . . 259, -362 L’Amitié qui ne se contracte que par les yeux est sans bornes, . . . 404 Amour (L’) de la Gloire ne doit pas être découragé à tous égards, . . . 376 Ample (Madame) craint trop engraisser, . . . 159 Anagrammes (Les) doivent leur origine au Siecle ténèbreux de l’ignorance Monastique, . . . 303 On doit les condamner, soit qu’ils viennent Whigs ou des Torys, . . . 314 Un Regiment qui fait l’Exercice, . . . 329 Anciens (Les) comparez avec les Modernes, . . . 312 André (L’Evêque) prodiguoit les Quolibets dans les Sermons, . . . 311 Angleterre (L’) ne seroit qu’un misérable Païs sans le Commerce,. . . 367, 368 Anglois (Les) sont polis, mais corrompus à l`´egard des Mœurs, . . . 43 L’Impudence d’un Anglois est fiere & chagrine, . . . 99 Ils devroient imiter à certains égards l’usage du Théatre François, . . . 192 Autrefois ils avoient des Fous dans leurs grandes Maisons, &c. . . . 224 L’idée que des Rois Indiens en ont, . . . 240 Leur goût pour la Poësie est fort Gothique, . . . 324 Un Anglois qui négocie convertit l’Etain de son Païs en Or, &c. . . . 369 Presque tous les Gentilshommes sont endettez de Pere en Fils . . . 423, 424 Angloises (Les Dames) distinguées en Pictes, & en Bretonnes. . . . 184 Elles se piquoient autrefois d’avoir des Valets de chambre, & de recevoir des Visites au Lit, . . . 210, 211 Des airs qu’une de ces Dame se donnoit à la Comédie, . . . 214 Il y en a qui voïagent sans se gâter l’esprit, &c. . . . 215 L’Idée qu’en ont des Rois Indiens, . . . 241 On a tort de ne pas les traiter en Creatures raisonnables, . . . 257 Elles se distinguent en Whigs ou Torys, par la différente situation de leurs moches, . . . 414 Ce qu’une Dame a exigé là-dessu dans son Contrat de mariage. . . . 415 Elles devroient suivre l’exemple des Romaines, . . . 417, -419 Andromaque (Une) Campagnarde, qui affecte les airs & les manieres des Hommes, . . . 284, 285 Anna Bella est pour le Commerce des Hommes polis, . . . 260 Antitheses (Les) roulent sur l’opposition des idées, . . . 326 Apparitions d’Esprit, les Contes qu’on en fait laissent de fâcheuses impressions, . . . 69, 70 Architecture (L’) doit tirer ses Regles du Sens commun & du Goût général, . . . 149 Celles des Goths est extravagante, . . . 323 Aretin se vantoit d’avoir mis sous contributions le grand Sophi de Perse, . . . 340 Arietta, dont le caractère est celui d’une drole d’esprit & de bon goût . . . 58 Elle défend son Sexe contre les reproches des Hommes, . . . 60 ,-65 Aristenetus cité pour l’Eloge qu’il faisoit d’une belle Femme, . . . 315 Aristote a fait une remarque sur les Ecrivains ordinaires de la Tragedie, . . . 189 Il met certains Quolibets entre les beautez du Discours, . . . 310 Aristoteliciens (Les) raisonnent en l’air sur les Formes substantielles, . . . 277 Aritifices choquants que les Poëtes Anglois emploïent dans la Tragedie, . . . 189, -192 On peut s’en servir quelquefois à propos, ou en abuser, . . . 101, -205. 209 Atheniens (Les) plus polis & moins vertueux que les Lacedemoniens, . . . 44 Les premiers se signalent dans une Bataille contre les autres, . . . 419 Avare (L’) Peintre qui croque ses Ouvrages, . . . 429 Avarice (L’) & la Mollesse agitent le même cœr, . . . 271, 272 Elles se font une guerre mortelle, & s’accordent à la fin, . . . 274, 276 Avocats (Les) sont en trop grand nombre en Angleterre, & de quelle manière on peut les distinguer entr’eux, . . . 102, 103 Aurelie, Dame d’une vertu solide, . . . 75 B. Bacon (Le Chev. François) remarque en quel tems l’œil malin cause plus de préjudice, . . . 90 Il a joliment décrit tous les avantages de l’Amitié, . . . 358 Badaut impudent qui détourne l’attention des Auditeurs dans les Eglises, . . . 96, 97 L’Enseigne du Badaut commune à Amsterdam, . . . 224 Barbades (Relation des) par Ligon, . . . 61 Baron, fameux Acteur François. . . . 214 Beauté (La) fait la passion dominante des Femmes, . . . 166 Les moïens qu’il y auroit d’en relever l’éclat, . . . 167, -169 Beaux Esprits (Les Ouvrages des Prétendus) corrompent le goût & les mœurs du Public, . . . 39 Il leur étoit permis autrefois de se masquer, . . . 162 Betterton, Acteur Anglois, . . . 214 Blackmorre (Le Chev. Rich.) Auteur d’un Poëme Anglois, & sa Pensée sur l’abus que les Poëtes font de leur Esprit, . . . 42 Blenheim (Palais de) deshonoré par un relief de mauvais goût, . . . 300, 301 Bohun (Mad. Marie) étoit une des plus grandes Beautez de son Siecle, . . . 304 Boileau (Mr.) cité, . . . 225 Il rejette l’Esprit mixte avec dedain, . . . 319 Il a soutenu par-tout qu’une Pensée, qui n’est pas juste, ne sauroit être belle, . . . 323 Bonheur veritable & chimerique . . . 74, 75 Boufons de Théatre que chaque Nation appelle du Nom du plat qu’elle aime le mieux, . . . 225 Bouhours (Le P.) a fait voir qu’une Pensée qui n’est pas juste, ne sauroit être belle, . . . 323 Bouts Rimez (Les) ont été cheris en France,  . . 306 Exemple tiré du Mercure Galant du mois de Novembre 1710, . . . 307 Bretonnes (Les) ont l’air vif & animé, &c. . . . 184 Elles doivent s’éloigner des Pictes, . . . 187 Brisket (Mad. van) Beauté des Provinces Unies, . . . 159 Brunette & Phils, inséparables dès leur enfance, devinrent Ennemies mortelles, à l’occasion de leur beauté & de leur ajustemens, . . . . 408, -410 Philis se marie avec un Anglois des Barbades, où elle est transportée, . . . 411 Brunette épouse un Gentilhomme de la même Isle, . . . Ibid. &c. Philis fait un Habit d’un Brocard magnifique, . . . 412 Brunette donne une Jupe de ce même Brocard à une jolie Négre qui la servoit, . . . ibid. Philis s’évanouit, de chagrin à la vûe de ce spectacle, & s’en retourne en Angleterre, ibid. . . . 413 Bruyere (Mr. de la) nous a donné le caractère d’un Homme distrait, sous le nom de Monalque, avec autant d’esprit que de vivacité, . . . 398 Brunet (Le Dr. Th.) a indiqué la source de l’affectation, . . . 177 C. L’auteur désigné par cette Lettre à la fin des Discours donne son caractére, . . . 2,-7 A quelle occasion il change de logis à Londres, & de quelle manière il en agit là où il demeure, . . . 66, -68 Son dessein est d’attaquer le Vice en général, & non pas les Vicieux en particulier, 80, 81 Il excepte de cette Regle les Ecrivains satiriques, . . . 175 Il veut observer la Neutralité entre les Whigs, & les Toris, . . . 81, 82 Il veut guérir les Femmes de l’esprit de Parti, . . . 285 Il rend visite à une Dame, grande Partisane du Dr. Oates, . . . 288, 289 Il se propose de bannir le Vice, & l’Ignorance de son Païs, . . . 290 Il craint le retour du Quolibetisme, . . . 215 Il n’en juge point par esprit de Parti, . . . 314 Il se plaît à visiter le Change de Londres, . . . 364, -366 Il se divertit à voir les Tableaux, & le Songe qu’il eut à cette occasion, . . . 426,-431 Il est fort disposé à juger des Hommes par leur Physionomie, . . . 439 Il trouve certaines Laides qu’il y a plus aimables qu’une insolente Beauté. . . . 441 Camille, une des Heroïnes de Virgile, . . . 76, 77 Dame Angloise, animé de l’esprit de Parti, . . . 286 Candle, sorte de Boisson Angloise, . . . 284 Capitaine (Le) d’un Vaisseau de guerre Anglois, qui se laissa brûler, . . . 378 Carrache (Haunibal) Peintre Fameux, . . . 430 Catilina convoitoit le bien des autres, pendant qu’il prodiguoit le sien, . . . 273 Catulle n’a pas le moindre trait de l’Esprit mixte, . . . 319 Censeur de Bagatelles, que l’Auteur vouloit établir, . . . 79 Charles I. Son estampe, qu’on voit à Oxford, est une Pièce curieuse, . . . 294, 295 Chaucer, Auteur Anglois, qui a écrit des Contes, . . . 379 Chinois (Les) maltraitent quelquefois leurs Idoles, . . . 379 Chronogramme singulier sur une Médaille de Gustave Adolphe, . . . 305, 306 Deux ou trois Files de Chronogrammes, . . . 330 Ciceron fut ainsi appellé du Fondateur de la Famille, qui avoit un Pois-chiebe sur le nez, . . . 299 Ses Ouvrages sont pleins de Quolibets, . . . 310 Sa remarque sur l’Amitié, . . . 358 Sa remarque sur l’Ambition . . . 376 Clarinde est une des plus grandes Idoles, qu’il y ait entre les Modernes, . . . 380 Cléanthe (L’infortunée) sacrifie son Amour à l’éclat des riches, . . . 72 Cléomire se fait remarquer par son bon air & par sa Venu, . . . 351 Comédiens (Troupe de) Campagnars fort mal équipée, . . . 234, 235 Commerce (Le) ne demande pas tant de genier, que l’étude des Sciences, . . . 105, &c. On ne sauroit y emploïer trop de monde, . . . 106 De celui qui se fait à Londres, . . . 365, -370 Il est fondé sur les differentes Dentées, qui croissent en divers Païs, . . . 367 Il a donné aux Anglois une espéce de nouvel Empire, . . . 370 Conversation (La) est plus ou moins interessante suivant le nombre & la qualité de Personnes, . . . 358 Cordonnier (Le) qui paroît dans la Comédie de Fopling est un franc Athée, . . . 345 Correggio, Peintre fameux, . . . 430 Corsaire (Le) Comédie écrite par une Femme, . . . 246 Coterie (La) des gras & des maigres, . . . 52 des Rois . . . 53 de St. George, . . . ibid. des Voisins logez dans la même Rue, . . . ibid. Des Nigauds & des Buveurs de Biere de Brunswick, . . . 54 des Duellistes, &c. . . . ibid. 55 des deus sols, avec ses Réglemens, . . . 56, 57 des Laids, établie à Oxford . . . 86, -89 des Gans à frange, . . . 152 Amoureuse, établie à Oxford, . . . 153, -155 Hebdomadaire, établie à Oxford, . . . 194, -198 Eternelle, établie à Londres, . . . 371, 375 De la quantité de Vin, d’Eau-de-vie, &c. qu’elle a bû depuis son Institution, . . . 373 Coverly (Le Chev. Roger de) un des Membres de la Coterie des Auteurs, . . . 8, -10 Son Opinion à l’égard des prétendus beaux Esprits, . . . 39-43 Coutume (La) fait agir les Hommes contres toute sorte de regles, . . . 335 Cowley, fameux Poëte Anglois, . . . 186 Il a plus de traits de l’Esprit mixte, qu’aucun Auteur qu’il y ait jamais eu, . . . 319 Exemple tiré de ce qu’il dit sur l’Amour, . . . 320, 321 Il croïoit qu’il étoit bon de s’attacher un peu à la Danse, . . . 356 Crédti National de la Gr. Bretagne, Allegorie raisonnée là-dessus, . . . 19, 23 Critique du Théatre Anglois, . . . 189, -192. 201, -205, 209, 244, 248 de la Tragedie de Corneille sur les Horaces & les Curiaces, . . . 205, 206 d’un entroit de la Comédie, qui a pour titre, Les Funerailles, . . . 243 d’une Comédie du Chevalier George Ethege, . . . 244 des saletez & des ordures qu’on trouve dans les Pièces du Théatre Anglois, . . . 244, -248 d’une Scène d’Ibrahim, . . . 246 de la Comédie intitulée, Le Corsaire, . . . 246, 247 d’une autre, intitulé, le Chevalier Fopling Flutter, . . . 341 ,-346, 385 Critique (Les anciens) n’ont pas bien distingué les Quolibets des bonnes pointes d’esprit, 313 Croß (Mademoiselle) Beauté Angloise, . . . 159 D. Danse (La) justifiée contre un Philosophe, . . . 352 Différentes sortes de Danses, & de l’abus qui s’y est glissé, . . . 353, -355 Il est bon de s’y attacher un peu, . . . 356 Les Contredanses peuvent avoir des fuites dangereuses, . . . 357 Daphné, peu favorisée de la Nature, à l’égard du Corps, se rend agréable par l’Esprit, . . . 163, 164 Sa bonne humeur lui procure un Epoux, . . . 165 Débiteur (Un) est dans une triste situation, . . . 422, 423 Défauts (Les) naturels ne doivent point causer de honte à ceux qui les ont, ni exciter la risée des autres, . . . 83 Quand on est disgracié de la Nature, on doit en badiner soi-même, . . . 84 Denham, Poëte Anglois, cité . . . 422 Deuil (Le) à l’égard des Habits, est une partie du Cérémoniel établi entre les Rois & les Princes, . . . 336 Tout le mone les veut imiter là-dessus, . . . 537 Les veritables affligez en ce cas sont les Merciers, &c. . . . 338 La manie de se mettre en Deuil, à l’exemple des Cours, ruine toute subordination, . . . 339 Dévote Presbiterienne, . . . 221, 222 Disctraction (Les) où quelques Hommes tombent, viennent de différentes causes, . . . 356 Domestiques, voïez Valets. Dorimant, le Heros d’une Comédie, est un veritable Fripon & grossier dans ses manieres, 342, 343, 385 Il paroît plus sot que Fopling, . . . 344 Une certaine Dames est charmée de son Caractere, . . . 382, -384 Duelliste (Le) tue son Ami, par un faux point d’honneur, & il en sent de cruels remords, 437 Dulcianare est insuportable à ses Amis & à ses Domestiques, . . . 407, 408 Dupes (Les) du mois d’Avril, . . . 226 Drugger (Abel) s’acquit de la réputation par ses traits d’esprit sur le nom de Cloche, . . . 141 Dryden (Mr.) fameux Poëte Anglois, Auteur d’un Poëme, intitulé Mac Fleckno, . . . 294 Il a mal défini l’Esprit, . . .322 Il a fait une jolie remarque sur Ovide & Virgile, &c. . . . 323, 324, 325 Dyer (Mr.) Nouvelliste de Londres, . . . 197 E. Ecclesiastiques (Les) sont en trop grand nombre en Angleterre. . . . 101, &c. Ecrivain (Un Maître) de Londres a transcrit tout le V. T. sous la forme d’une Perruque, . . . 295 Education (La belle) à l’égard des Dames est aujourd’hui fort vicieuse, . . . 253 La faute où l’on tombe là-dessus à l’égard des Filles & des Carçons, . . . 349, -351 Eglise de S. Paul à Londres décrite par des Rois Indiens, . . . 237, 238 Enëide (L’) refondue en Vers Latins rimez . . . 302 Enseignes (Critique des) de Londres, . . . 138, -142 Celle du Badaut commune à Amsterdam, . . . 224 Envieux (L’) consideré à trois égards, . . . 90, 94 Envieux (L’) peintre, qui veut retoucher les Ouvrages des autres, & qui les gâte, . . . 430 Epaules (Les grosse) étoient à la mode sous Richard III. . . . 160 Epictete a estimé les Femmes leur juste prix, . . . 257 Il est admiré pour ses expressions naïves, . . . 361 Epigrammatistes (Les) Grecs affectent l’Esprit mixte, . . . 319 Epitaphe d’un Valetudinaire Italien . . . 123 Epitaphes qu’on trouve dans l’Eglise de Westminster, . . . 126,-128 Erasme a écrit un Dialogue, où l’Echo est un des Interlocuteurs, . . . 302 Escarboucle (Alex.) Membre de la Societé des Laids à Oxford, . . . 89 Lettre qu’il écrit à l’Auteur R. . . . 156,-162 Qu’elle est la teinture de son visage, . . . 252 Esprit (L’) de mauvais aloi est de differente espèces, . . . 291,-309. 318. 327, -331 de bon aloi, avec ses qualitez essentielles, . . . 317, 318 Le mixte tient de l’un & de l’autre . . . 319 Exemple de cet Esprit mixte, dans ce que les Poëtes disent de l’Amour, . . . 319, -321 Revûe de ses Troupes, 332 de l’Homme est souvent la dupe de son cœur, . . . 402 Esprit (L’) est formé d’une infinité de Passions cruelles & violentes, . . . 285 Il oblige les Dames Angloises à se distinguer par la differente situation de leurs mouches, . . . 413,- 417 Esprit, l’Univers est plein, . . . 71 Esprit (Les grands) ont un grain de folie, . . . 395 Esprit (Les petits) préferent les faux brillant au solide, . . . 325 Esprits lourds qui se mêlent de tout ce qu’ils n’entendent pas, . . . 194, -198 S’ils ont de l’éducation & du loisir, ils deviennent Politiques ou Poëtes, . . . 199 Esprit (Les) satiriques & malins sont fort dangereux dans la Société, . . . 107, &c. 111 On peut leur appliquer une Fable, . . . 112 On doit les traiter suivant les Loi du Talion, . . . 175 Etherege (le Chevalier George) a écrit une Comédie tout à fait impudique, . . . 244 Eucrate, l’Ami du cœur de Pharamond, avoit l’ame nobe sans être ambitieux, . . . 392 Son Caractere plus étendu, . . . 433, 434 Eudosie est une Dame vertueuxe, dont les manieres sont civiles & honnêtes . . . 404 Evremond (M. de S.) dit qu’une belle Femme regrete plus la perte de sa beauté que celle de sa vie, . . . 166 Il a eu une juste idée des Femmes, . . . 257 F. Facteurs (Les) sont dans le Commerce à peu près ce que sont les Ambassadeurs dans la Politique, . . . 365 Falstaffe & le Pr. Henri dans Shakespear, badine sur leurs défauts naturels, . . . 84 Le Caractère du premier. . . 228, 229 Fantasque (Le) Peintre Italien, . . . 428 Fausses Dévotes qui croїent que tout leur est permis, après avoir lû un certain nombre de Prieres, . . . 405 Caractére de Philautie, de Dulcianare & d’une troisiéme, qu’on peut mettre dans ce rang, . . . 406, -408 Femmes (Lese) sont plus sensibles que les Hommes aux invectives qu’on dit contre leur Sexe, . . . 59 Elles se laissent éblouir par l’éclat exterieur, . . . 72,-74 Il y en des Impertinentes,. . . 117, 118 Elles sont xxxtées de leur beauté, . . . 166 Elles cherchent à gagner le cœur des Hommes, . . . 177 De celles qui se fardent, . . . 183, -187 L’esprit de Parti est le naturel des Femmes, &c., . . . xxx Elles sont plus dominées de xxx vie de plaire que les Hommes, . . . xxx Quelles sont les vertues de leur Sexe, . . . ibid. 381 De celles qu’on peut appeler des Idoles, . . . 377, -381 En certains cas elles sont plus sujettes à l’illusion que les Hommes, . . . 402 L’amour de la Vertu leur manque aussi-bien qu’aux Hommes, . . . 404 Il y en a de laides qui sont plus aimables que certaines Belles, . . . 441 Flavie est une belle Danseuse . . . 404 Fopling Flutter (Le Chev.) Comédie du Chevalier Etherege, où Mr. Dorimant & Mademoiselle Harriot soutiennent les principaux Caractères, . . . 341 Toute cette Pièce est contraire aux mœurs au bon sens, &c. . . . 344, 345 Une certaine Dame en a meilleure opinion, . . . 382, -384 Fous, qu’on avoit autrefois dans les grandes Maisons d’Angleterre, & qu’on voit aujourd’hui dans les Cours d’Allemagne, . . . 224 François (Les) sont naturellement Grimaciers, . . . 89 D’une humeur enjouée & badine, . . . 148, 149, 210 Ils ont trop encherie sur la maxime d’Horace à l’égard de la Tragedie, . . . 208 Leurs manieres ne servent qu’à gater le beau Sexe, . . . 215 Ils ont envie de rétablir les Bouts-rimez, . . . 307 Françoises (Les Dames) n’osoient prononcer exactement certains mots difficiles, . . . 215 Elles ont donné occasions aux Bouts-rimez, . . . 308 Freeport (Le Chev. André) troisiéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 12, 13 Ce qu’il dit quelques-uns des Pais où les Anglois négocient, . . . 368 Sa bonne conduite dans le Négoce, . . . 424 Fulvie, Dame qui ne cherche que les plaisirs, . . . 75, 76 Funerailles (Les) ou le Deuil à la mode, Comédie écrite par Mr. Rich. Steele, . . . 243 G. Goblin (Hugues) Président de la Societé des Laids à Oxford, . . . 255 Grecs (Les) défendoient à leurs emmes d’assister aux Jeux Olympiques, . . . 418 H. Hamlet, Tragedie écrite par Orway, . . . 201, 202 Harriot (Mad.) qui tient un des principaux rôles dans une Pièce, paroît fort mal élevée, 343, 344 Hecatissa prie l’Auteur R. de la faire admettre dans la Coterie des Laids, . . . 231, 232 On lui applique une Epigr. de Martial, . . . 251 On conseille à l’Aut. R. de l’épouler . . . 250, 254 Elle écrit une autre Lettre au même, . . . 405, 408 Hector renvoïe sa Femme à la Quenouille, . . . 283 Herbert (Mr.) Poëte Anglois, . . . 294 Hesiode joint la Valeur avec la Danse, . . . 252 Hieroglyphe en relief sur deux grandes Portes du Palais de Blenheim, . . . 300 Hobbes a bien décrit la Passion qui excite à rire, . . . 223, 255 Hollandois (Les) ont du goût pour l’Antique, . . . 129 Ils reglent leurs beautez, . . . 159 Ils sont plus industrieux que spirituels, . . . 224 Homere cité, . . . 95, 283, 352 Hommes (Les) tâchent de noircir les Femmes par un esprit de vengeance, . . . 60, 61 Ceux qui sont engagez dans le Monde forment de bonnes résolutions qu’ils n’executent pas, . . . 132, 133 Le moïen de les connoître est d’examiner les Lettres qu’ils écrivent à leurs Amis, . . . 133 Il y en a qui se piquent d’ajustemens comme les Femmes, . . . 177 La plûpart sont trop avides de louanges, . . . 178 Ils se moquent les uns des autres, par un principe d’orgueil, . . . 224, 225, 227 Ils auroient besoin d’une autre meilleure éducation, . . . 258 Les deux principaux ressorts qui les font agir sont l’amour du plaisir & la crainte de la misere, . . . 270 &c. Caractere d’un Homme qui se mêle de ce qui ne regarde que les Femmes, . . . 284 Ils veulent tous paroître plus qu’ils ne sont, & imiter la Cour, &c., . . . 337 Ils cherchent mal à propos à se faire admirer, . . . 375 &c. La difference qu’il y a entre les pensées du Sage & celles du Fou, . . . 376 Plus un Homme a de la Vertu, plus il est civil, honnête & agreable, . . . 387, &c. D’où vient l’humeur bizarre & inconstante de certains Hommes, . . . 388, 389 Quelles sont les causes des distractions où quelques-uns tombent, . . . 396 Tous les Hommes s’entendent un peu en Physionomie, . . . 438 Il y en a qui cultivent leur Esprit, malgré leur mauvaise mine, . . . 441 Honeycomb (Mr. Guill.) cinquiéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 15 ,-17 Sa manière de raisonner, . . . 28, 29 Ses Amours avec une Picte, & le tour qu’il lui joua, . . . 185, -187 Il rend visite, avec l’Auteur C, à une Dame, grande Partisane du Dr. Oates, . . . 288, 289 Il décrit la Danse aux baisers, . . . 355, &c. Exemple fort singuliers de sa distraction, . . . 394, 355, 397, 398 Il prétend qu’une femme qui écrit une Lettre, ne découvre guères sa pensée que dans une apostille, . . . 403 Horace cité, 1. 24. 32. 45. 77. 90. 101. 113. 125. 131. 137. 144. 155. 163. 188. 191. 200. 207. 242. 256. 264. 289. 315. 326. 340. 346. 382. 388. 401. 408. Il a fort peu d’Esprit mixte, . . . 319 Il est admirable pour ses expressions naïves, . . . 361 Hormus (L’) étoit une Danse des Lacedemoniens, . . . 352 Hudibras a tourné en ridicule la manière de composer des Dialogues où l’Echo est de la partie, . . . 301 Plusieurs de ceux qui admirent sa Poësie, n’en conoissent pas les plus beaux endroits, . . . 309 Hymne extraordinaire à l’honneur de la Sainte Vierge, . . . 302, 303 I. Ibrahim, Comédie écrite par une Femme, . . . 246 Idoles (Les) qui cherchent par tout des Adorateurs sont de deux différentes sortes, 378, 381 Description d’une de ces Idoles par Chaucer, . . . 379, 380 Divers accidens les font déchoir de leur Divinité, . . . 380, 381 Philautie est une de ces Idoles, . . . 406 Il y en a des Mâles, qui ne sont pas moins insuportables que les Femelles, . . . 444, 445 Elles tiennent des Caffez publics, . . . 447, -449 Idolâtres (Les) des Belles sont d’une humeur tout opposée à celle des autres, . . . 379 L’impatience qu’ils ont de leur offrir leurs Encens, . . . 447 Ce qui est arrivé à deux jeunes Idolâtres, . . . 448 Ignotus soutient par-tout le caractère d’un honnête Homme . . . 386, 387 Importuns qui se fourrent par-tout, . . . 113, &c. Impudence (L’) d’un Anglois est differente de celle d’un Ecossois & d’un Irlandois, . . . 99 Impudens qui se piquent d’une Effronterie goguenarde, . . . 100 Indiens, voïez Rois. Indiscret (Un) est plus à craindre qu’un méchant Naturel, . . . 112 Industrieux (L’) Peintre Hollandois, . . . 429 Inkle (Mr. Thom.) jeune Marchant de Londres, s’embarque pour aller aux Barbades, . . . 61 Son Avanture avec une jeune Indienne, & la manière dont il en agit à son égard, 62- 65 Irlandois (Les) sont les plus heureux Effrontez qu’il y ait, . . . 99, &c. Un Gentilhomme de cette Nation veut s’eriger en Maître Lorhneur, . . . 222, &c. Isocrate n’est pas exempt des Quolibets, . . . 313 Italiens, (Stile des Auteurs) & la préférence des Anglois, . . . 36 Ce qu’ils apellent la Furberia della Scena, . . . 192, &c. Ils affectent l’Esprit mixte dans toutes leurs Poësies, . . . 319 J. Jambes de Fuseau, Sobriquer d’Eduard I., . . . 160 Jacques I. étoit un assez bon Quolibeteur, . . . 110, 111 Jeu de mots, voïez Quolibetisme. Il fut ramené vers le rétabilissement des belles Lettres, . . . 313 Sa définition, . . . 314 Parti d’Equivoques ou de Jeux de mots, . . . 331 Jeu de rimes (Le) où l’on ne doit jamais repetér celle d’un autre, . . . ibid. Jesus, Fils de Sirach, Auteur de l’Ecclesiastique, a des maximes admirables sur le chapitre des Amis, . . . 359, -362 Jule Cesar fut gagner l’amitié de Catulle, . . . 109 Son Stratagême lorsqu’il étoit un des Maîtres de l’Hôtel de la Monoïe, &c. . . . 299 Jurisconsulte (Caractère d’un) second Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 10,-12 Juvenal, cité, 8. 38. 51. 58. 82. 210. 283. 335. 429 K. Kimbow (Mr. Thom.) vieux Garçon bizarre, écrit une Lettre à l’Auteur, . . . 114, -116 L. Lacedemoniens (Les) plus vertueux & moins polis, que les Atheniens, . . . 44 Ils avoient inventé la Danse, apellée Hormus, . . . 352 Lacs d’or fondu qu’il y a dans l’autre Monde, à ce que croïent les Indiens, &c. . . . 285 Latitia, prévenue de sa beauté, négligé de cultiver son Esprit, . . . 163, 164 Sa fierté la prive de son Amant, . . . 165 Laides aimables, . . . 441 Larvati ou Larvâ donati, des Anciens, . . . 262 Lath (Mr.) Gentilhomme Anglois, mécontent de ses jambes, . . . 159 Lettre d’un Homme d’affaires, qui s’acquite de son devoir en bon Chrétien, . . . 134 - d’un Voluptueux qui a de la peine à se détacher du vice, . . . 135 - d’un Homme de Cour qui se forme de vains projets de s’en retirer, . . . 136 - d’Alex Escarboucle à l’Auteur R. . . . 156, -162 - de R. B. à l’Auteur R. sur la beauté des Femmes, . . . 166, -169 - de l’Auteur R. à un de ses Amis, qui est d’une Affectation insuportable, . . . 180, 181 - d’un Mari qui veut être séparé de sa Femme, à cause du fard dont elle s’étoit déguisée, . . . 182, -184 - d’Abrah. Froth, sur l’Assemblée hebdomadaire établie à Oxford, . . . 194, -198 de R. G. marié à une Dévote, . . . 221, 222 d’un Irlandois qui veut s’ériger en Maître Lorg-neur . . . 222, 223 Rep. de l’Auteur R. à la Coterie des Laids, . . . 230 d’Hecatissa à l’Ateur R. . . . 231, 232 d’un vieux Damoiseau gouteux, . . . 233, &c. des Magistrats d’Epping dans le voisinage de Londres sur une Bande de Comédiens, . . . 234, 235 d’une jeune Dame à l’Auteur R. sur le Stile trop libre des Comédies, . . . 242, 243 Rép. de la Societé difforme à l’Aut, R. . . . 251 ,-255 de Q. R. à l’Aut. R. sur le 35. Disc. . . . 255 Rep. de l’Aut. R. . . . 256 de R. B. à l’Aut. R. sur le 26. Disc. . . . 257, -259 d’Anna Bella à l’Auteur R. sur le Commerce des Dames & des Messieurs, . . . 259, 260 d’un Gentilhomme rateleux, . . . 260, &c. d’un autre qui se plaint des Lorgneurs dans les Eglises, . . . 261, -264 écrite de Cambrige sur le Lowgers . . . 265, -268 de Celimène sur l’Education d’une jeune Fille, . . . 347, 348 d’un riche Artisan sur la Danse, . . . 353, -355 d’une jeune Dame, M. T. résolue de se bien divertir, malgré tous les avis de l’Aut. R. . . . 402, 403 d’Hecatissa, sur les occupations des Dames, . . . 405, -408 de Rosalinda, qui veut être admise dans la Coterie des Laids, . . . 446, &c. de T. T. qui se plaint contre les Idoles, qui tiennent des Caffez publics, . . . 447, -449 de Philo Britannicus sur le chapitre des Valets, . . . 450, 451 Lieux communs (Caractère d’un Partisan de) . . . 58, 59 Lindamíre se farde malgré la beauté de son teint, . . . 187 Lippogrammatistes (Les) de l’Antiquité . . . 297 Livres de Dévotion (Les) doivent inspirer une agréabe indifférence pour le Monde, . . . 406 Il y en a plusieurs qui sont un vrai Galimatias, & dont les titres sont trop bornez, . . . 405, -407 Locke (Mr.) a fait une bonne remarque sur la différence qu’il y en a entre l’Esprit & le Jugement, . . . 315, 316 Addition à cette Remarque, . . . 317 Londres est une espèce de Marché public pour toute la Terre, . . . 365 L’empressement que tout le monde y témoigne pour s’enrichir, . . . 422 Longin a sû distinguer les Quolibets de bonnes Pointes d’esprit, . . . 313 Lorgneur (Maître) Irlandois, . . . 222 Lorgneuses (Les demi-) sont aussi a craindre dans les Eglises que les Lorgneurs, . . . 262, 263 Lowgers (Les) sont une Secte de Philosophes très commune à Cambridge, &c. . . . 265, 266 Leurs Maximes & leurs Exercises, . . . 267, 268 Il y en a beaucoup à Oxford & à Londres, . . . 268, 270 Lucain cité, . . . 276 Lucien cité, . . . 351 Lucrece cité, . . . 18 On ne voit dans ses Ouvrages aucune trace de l’Esprit mixte, . . . 319 Lully (Baptiste) a perfectionné la Musique Françoise, . . . 148 M. Macebeth, Tragédie écrite par Dryden, . . . 213 Maîtres (Les) de Danse doivent enseigner à se produire de bonne grace en compagnie, . . . 356 Malades imaginaires, qui ruinent leur santé à force de remedes, . . . 123 Marc Aurele, dont la Statue Equestre avoit quelque chose de singulier, . . . 299 Marchands (Les) sont les Membres les plus utiles qu’il y ait dans la Societé, . . . 369 Mardi (Marie) le Nom supposé d’une Dame, qui écrit uen Lettre à l’Auteur, . . . 117, 118 Marraton, Indien, eut une Vision, pendant laquelle il fut à l’autre Monde, . . . 278, 283 Martial cité, . . . 154. 170. 175. 223. 251. 363. 394. 440. Il est tout plein d’Esprit mixte, . . . 319 Mathematicien (Un) fort habile ne savoit quelle posture tenir pendant qu’un Seigneur buvoit à sa santé, . . . 356 Mazarin (Le Cardinal) en agit d’une Manière fort honnête envers le savant Quillet, . . . 109 Médicine (La) fleurit aujourd’hui dans le Nord, . . . 104 Medecins (Les) sont trop nombreux en Angleterre, . . . ibid. Mémoire que l’Auteur C. laissa tomber dans le Caffé de Lloyd, . . . 217, -219 Les Conjectures qu’on fit sur ce Papier, . . . 219, &c. Menage (Mr.) parle trop serieusement des Boutsrimez, . . . 308 Ménalque est sujet à mille distractions impertinentes, . . . 398, -401 Mensonge (Le Dieu du) regne dans le Païs de l’Esprit faux, . . . 327 Il disparoît à l’approche de la Verité, . . . 333 Marion est appellé un beau Danseur, par Homere, . . . 352 Milton, fameux Poëte Anglois, . . . 169 Il avoit un genie fort au dessus de ce qu’on appelle Esprit mixte, . . . 319 Modernes (Les) comparez avec les Anciens, . . . 312 Monument (Le) dressé à l’honneur du Chevalier Showel n’est pas de bon goût, . . . 128 Moore (Le Cr.) a écrit un beau Traité de Morale, . . . 443 Mouches (Les) différemment placées sur le visage, servent à distinguer les Dames du Parti des Whigs, & de celui des Torys, . . . 413,- 417 Musée a quelque traits de l’Esprit mixte, . . . 319 Musicien (Un) doit s’accomoder au genie de sa Nation, . . . 147 Musique (La) Angloise auroit besoin d’être adoucie par l’Italienne, . . . ibid. - Françoise est parfaite en sou genre, . . . 148 - doit tirer ses Regles du Sens commun, . . . 149 N. Nez (Les) Romains ou Aquilins ont eu autrefois la vogue, . . . 160 Newberry (Mr.) Auteur d’une plaisante Enseigne où son Nom étoit en figure hieroglyphe, 300 Nicharagua, jeune Prince Indien, . . .280 Nigranilla, Partisane des Torys, a un bouton, qui la force de mettre une mouche sur le côté Whig de son visage, . . . 416 O. Oates (Le Dr. Titus) triompha de ses Ennemis, . . . 88 Opera François critiqué, . . . 148, 149 Opera Italien (Critique d’un) . . . 32, -38 Orgueil (L’) Peintre François, . . . 427, &c. Ovide cité, . . . 22. 71. 182. 216. 229. 357. 438. Il a beaucoup de l’Esprit mixte, . . . 319 Son Art d’aimer est une espéce de Rituel, &c. . . . 378 P. Paragrammes (Les) sont une espèce de Quolibets, . . . 310 Passion (Chaque) donne un air tout particulier au visage, . . . 438, 439 Pately (Marion) Air de Danse, . . . 355 Peintres modernes, morts & vivans,. . ., -431 Les Noms des vivans sont l’Orgueil vêtu à la Françoise, &c. . . . 427, &c. Le Stupide, habillé en Alleman, . . . 428 Le Fantasque, mis en Scramouche Venitien, . . . ibid. L’Avare, qui ne finit aucun de ses Ouvrages, . . . 429 L’Industrieux, vêtu à la Hollandoise, . . . ibid. L’Envieux, qui gâte tout ce qu’il touche, . . . 430 Les Noms des morts sont Raphael, le Titien, &c.. . . ibid. Les Ouvrages de ceux-ci n’ont besoin d’être retouchez par le Tems, . . . 431 Peinture (La) doit tirer ses regles du Sens commun & du Goût général, . . . 149 Penthesilée, Dame Angloise, animée de l’Esprit de Parti, . . . 286 Periclès donne un bon conseil aux Atheniennes, . . . 419 Perse cité, . . . 66. 270. 271. 302. 309. Petrone a inventé les circonstances qui aggravent l’action de la Matrone d’Ephese, . . . 61 Pharamond étoit le Prince le plus humain & le plus agréable qu’il y eut de son tems, . . . 389, 390 Le tour qu’il prenoit pour connoître l’humeur des Hommes, . . . 390 Le discours qu’il tint à Eurcrate, qu’il vouloit choisir pour son Ami, . . . 391 Il s’apelloit quelquefois l’agréable Tyran, . . . ibid. Il se vantoit de changer toute la masse sang d’un Homme, en lui parlant trois fois, &c. . . . 392, 393 Il ne donnoit les Emplois qu’à ceux qu’il en croïoit bien capables . . . 394 Il se retiroit quelquefois à l’Apartement d’Eucrate, où il donnoit audience à tous les Malheureux, . . . 433 Son entretien avec Eucrate & Spinamont, . . . 434, 435 Philautie est une Idole & une fausse Dévote, . . . 406 Philo-Britannicus écrit à l’Aut. R. pour se plaindre contre les Domestiques Anglois, 450, 451 Philosophes (Les) Européans ont eu diverses Notions peu probables, . . . 271 Un ancien Philosophe se disoit Citoïen du Monde, . . . 366 Un autre disoit à un Etranger, Parlez, afin que je vous voie, . . . 439 Physiciens, qui s’amusent à de plaisantes occupations, . . . 103 Physionomie (La) a été réduite en Art, . . . 439 Pensée d’un Auteur fort ingenieux, qui en a écrit, . . . 440 On ne doit pas se prévenir trop legerement là-dessus, . . . 443 Physionomiste (Un) découvrit, dans Athenes, par les regles de son Art, l’humeur de bien des gens, & en particulier celle de Socrate, . . . 442 Pictes (Les) ont l’air morne & sans action, . . . 184 Portrait d’une certaine Picte, avec le recit d’une de ses avantures, . . . 185, -187 On peut les défigurer en les baisant, . . . 252 Plaisanterie (La bonne) est mal-aisée à définir, . . . 171 La fausse Plaisanterie, l’Origine de l’une & de l’autre, avec leurs effets, . . . 172, -175 Plastron, ceux qui servent de Plaston, dans les bonnes compagnies, ont souvent beaucoup d’esprit, . . . 228 Platon afectoit les Quolibets dans ses Ecrits, . . . 313 Poëmes (Les) en mignature doivent leur origine à l’Esprit de mauvais aloi, . . . 291 De celui qui a la figure d’un œuf, . . . 291, 292 De ceux qui ressemblent à une paire d’Ailes, à une Hache, à un Autel, & au Chalumeau d’un Berger, . . . 292, 293 D’un autre en forme d’un Eventail, . . . 295 Poëtes (Les) qui manquent de genie, ont recours aux équivoques & aux saletez . . . 244, -246, 323 Ils pourroient donner un nouveau tour à la Comédie, & se rendre ainsi utiles au Public, . . . 248, 249 Pointes d’esprit (Les bonnes) doivent être distinguées des Quolibets, . . . 313 Le moïens qu’il y a pour les distinguer, . . . 314, &c. Politesse de l’Esprit (La) n’est pas toujours accompagnée de celle des mœurs, . . . 41, -43, 44 Politique (La) & la Poësie sont deux amusemens pour les Fous les plus distinguez, . . . 199 Présages (Mauvais) fondez sur la Superstition ou sur une Imagination blessée, . . . 47, -50 Celui qui est bâti sur le nombre de 13 Personnes, qui se trouvent en compagnie, plaisamment éludé, . . . 49 Priere des Sorciers, (La) Epigramme fort grotesque, . . . 313, 314 Prince (Le) Breton, fameux Poëte, qui parut sous Charles II, . . . 199 Princes (Les) sont responsables de toutes les mauvaises Coutumes qui s’introduisent dans leurs Etats, &c. . . . 436, 437 Le fameux Prince de Condé avoit la Physionomie d’un Aigle, . . . 440, 441 Procrustes (Le Tyran) avoit un Lit de fer, &c. . . . 293 Professeur (Un) Scientifique ne savoit comment s’y prendre pour saluer une Dame, . . . 356 Prosopaiepses, Défaut qui porte à juger temerairement sur la simple apparence ou l’exterieur des Personnes, . . . 443 Prosper (Guill.) fait enrager les Envieux qu’il connoît, . . . 91, 92 Il est Ennemi des Impudens, . . . 97 Prosperité (La) plonge les Etats dans le Luxe & l’Avarice, . . . 273 Purcell, Musicien Anglois, qui a composé des Opera, . . . 145, 146 Pyrrhus inventa la danse qui porte son Nom, . . . 352 Q. Quintilien a bien distingué les Quolibets des bonnes Pointes d’esprit, . . . 313 Quolibetisme (Le) est une méchante Herbe, qui croît dans l’Esprit de tous les Hommes, . . . 310 Il a été en vogue dans une célèbre Université de la Grande Bretagne, . . . 312 D’où vient qu’il ne paroît plus aujourd’hui dans la Rep. Des Lettres, . . . ibid. R. L’Auteur designé par cette Lettre à la fin des Discours, décrit son humeur taciturne & son habileté en Physionomie, &c. . . . 25, -31 Son dessein à l’égard des Dames & de leurs Amours, . . . 30, 31 Il fait la description de son visage, . . . 84, 85 Le tour qu’il prend pour se garantir de l’Envie, . . . 94 On l’admet dans la Societé des Laids, . . . 156, 162 Il veut empêcher les Dames de se farder, . . . 187 Il seroit d’avis que chaque Homme aprît un Métier, . . . 200 Ses reflexions sur la Lettre d’une jeune Coquette, . . . 403, 404 De quelle manière il regit ses affaires, . . . 421 Railleurs (Les) de profession, . . . 227 Raphaël, excellent Peintre, . . . 430 Rate (Le mal de) n’est que pour les gens d’esprit, . . . 260, 261 Rébus (Un) consiste à mettre une figure à la place d’un mot, . . . 298 Le grand Magasin de Rébus, . . . 330 Recitation (La) Italienne ne quadre pas avec l’Anglois, . . . 144, -146 musicale doit être aussi differente dans chaque Langue que leur Accent naturel, . . . 145 Rehecrsal, Comedie faite par le dernier Duc de Buckingham, . . . 22 Rêve de la Mere de l’Auteur C. . . . 2 d’une Dame superstitieuse, . . . 45, 46 Rhée (La Déesse) inventa la Danse, . . . 352 Rheni (Gui) Peintre fameux, . . . 430 Rhétoriciens (Les) ont traité fort gravement du Jeu des mots, . . . 311 Rich (Mr.) Proprietaire d’une des Maisons, où on joue la Comedie à Londres, . . . 37 Rigaudon, (Mr.) Maître de Danse, . . . 353 Rire, Ceux qui veulent nous exciter à rire se doivent mettre au dessous de nous, . . . 227 Roger l’Estrange (Le Chev.) a publié une Fable, qu’on peut apliquer aux Esprits Satiriques, . . . 112 Rois Indiens, qui font leurs remarques sur la Ville de Londres, . . . 237, -241 L’idée qu’ils ont des Chaises à Porteurs, des Perruques, & de la Comédie, . . . 240, 241 Romaines (Les) prévinrent une Bataille, qui s’alloit donner entre les Romains & les Sabins, . . . 417 Elles sacrifierent, dans une autre accasion, leurs Bagues & leurs Joïaux pour le service du Public,. . . 418 Rosalinda, celèbre Partisane des Whigs, a un Signe sur le côté Tory de son front, . . . 415 Elle écrit à l’Aut. R. pour demander à être admise dans la Coterie des Laids, . . . 446, &c. Rubens, Peintre fameux, . . . 430 S. Sack Posset, sorte de Boisson Angloise, . . . 284 Salluste cité, . . . 273, 351 Sanctorius, inventeur d’une Chaise, qui servoit de Balances, . . . 120 Santé (la) mérite qu’on en prenne un soins raisonnable, . . . 124 Sarasin (Mr.) s’est moqué des Bouts-rimez, . . . 309 Scarron étoit le premier À badiner sur ses défauts, . . . 83 Sciences (Les) ne sont pas propres pour tous les Genies, . . . 105 Segrau (Mr. de) a distingué ceux qui lisent les Poëtes en trois Ordres, . . . 324 Sempronia, grande Admiratrice de la Nation Françoise, . . . 212 Seneque cité, . . . 296 Sentry (Le Capit.) quatriéme Membre de la Coterie des Auteurs, . . . 13, -15 Shadwell (Mr.) Poëte Anglois, Mr. Dryden a fait un Poëme contre lui, intitulé Mac Fleckno . . . 84. 147. 193 Shakespear, fameux Poëte Anglois, . . . 84. 147. 193 Ses Tragedies sont pleines de Quolibets, . . . 311 Shovel (Le Chev. Cloudesly) Admiral Anglois, . . . 128 Singes, qui font de jolis tours, . . . 143 Sixte V. punit rigoureusement l’Auteur d’une Pasquinade, . . . 110 Socrate parut sensible à la Satire d’Aristophane, . . . 108, 109 aprit à danser lorsqu’il étoit déjà vieux, . . . 352, &c. Son penchant naturel le portoit à la débauche, . . . 442 Il ressembloit beaucoup à Siclene pour le visage, . . . ibid, 443 Soldat, qui trembloit à son ombre, &c. . . . 70 Songe ou Vision, voïez Allegorie Sophocle garde bien le decorum dans sa Médée, . . . 206, 207 Sophronie joint les agrémens de la Vertu à ceux de la Beauté, . . . 169 Spencer, Poëte Anglois, d’un genie fort au-dessus de ce qu’on appelle Esprit mixte, . . . 319 Spinamont se plaint à Pharamond de ce qu’il avoit eu le malheur de tuer en Duel le meilleur de ses Amis, . . . 435, -437 Stace cité, . . . 413 Statire est agréable sans affectation . . . 188 Stupide (Le) Peintre Alleman, . . . 428 Superstition (Plaisans effets de la) . . . 46, -50 Les Vapeurs en sont quelquefois la cause . . . 49 Swan (Mr.) fameux Quolibeteur, . . . 311, 312 T. Temple (Le Chev. Guill.) auroit pû trouver une meilleure solution à une difficulté qu’il s’étoit proposée, . . . 104 Terreurs paniques de certains Esprits foibles, & le moïens de s’en garantir, . . . 50 50. 70, 71 Théologien (Caractère d’un) Membre de la coterie des Auteurs, . . . 17, 18 Titien (Le) Peintre fameux, . . . 430 Tombeaux (La vûe) des naitre des pensées serieuses & utiles, . . . 129, 130 True love (Mad.) entêtée du Dr. Oates, . . . 288, 289 Truepeny (Janot) est d’un naturel si bon, qu’il s’est ruiné par-là. . . . 425 Ce qu’il écrivit à un de ses Créanciers, . . . ibid. 426 Tryphiodorus, grand Lipogrammatiste, a écrit une Odysée, &c . . . 297, 298 Engagé dans un Bal avec 24 Personnes, . . . 330 V. Vagellius, qui est un pauvre Avocat, auroit pû devenir un riche Marchand, . . . 106 Valets (Les) sont mieux en Angleterre, & ils servent plus mal, qu’aucune autre part, . . . 450, -456 Quelle est la cause de la licence qui regne parmi eux, . . . 412 Ils se donnent les titres de leurs Maîtres, . . . 453 Quels sont les Lieux de leurs Rendez-vous, . . . 454 Il y en a qui ne manquent pas d’esprit, . . . ibid, 455 Avantures d’un Valet à bonnes Fortunes, . . . 455, 456 Valetudinaire fort singulier, . . . 119-122 Avis que l’Auteur lui donne, . . . 124, 125 Venise sauvée, Pièce écrite par Shakespear . . . 201 Verité (La) est accompagnée de l’Esprit, . . . 332 Le Cortege qui est à leur suite, . . . 334 Vertu (La) mérite un double éloge, lorsqu’elle se trouve dans une Personne mal-bâtic, . . . 441 Vin (Le bon) vaut mieux que le Fard pour les Belles, . . . 252 Virgile cité, . . . 77. 107. 119. 193. 250. 364. 370. 375. 426. 432. 444. 450 On ne voit dans ses Ouvrages aucune trace de l’Esprit mixte, . . . 319 Vision ou Songe, voïez Allegorie Vocifer est un Impudent, quoiqu’il passe pour un Homme bien fait & poli, . . . 385, 386 Voltager, Prince Breton, . . . 299 W. Waller, Poëte Anglois, a beaucoup de l’Esprit mixte, . . . 319 Whig & Tory, qui se dépeignent l’un l’autre à des Rois Indiens, . . . 239 Il y a une grande secheresse dans les Ecrits de l’un & de l’autre Parti, . . . 314 Les Dames de ces deux Partis se distinguent par la firmation de leurs mouches, . . . 414 Y. Yaratilda, Femme de Marraton, . . . 281, 282 Yarice, jeune Americaine, amoureuse de Mr. Inkle, & son triste sort, . . . 63, -65 Z. Zeuxes, ancien Peintre, qui se vantoit de peindre pour l’éternité, . . . 252 F i n.