Henri Gaidoz an Hugo Schuchardt (038-03241)

von Henri Gaidoz

an Hugo Schuchardt

Paris

26. 02. 1884

language Französisch

Schlagwörter: Mélusine. Recueil de mythologie, littérature populaire, traditions et usages. Kontaktvermittlung Uncle Remus (Joel Chandler Harris) Märchen

Zitiervorschlag: Henri Gaidoz an Hugo Schuchardt (038-03241). Paris, 26. 02. 1884. Hrsg. von Magdalena Rattey (2017). In: Bernhard Hurch (Hrsg.): Hugo Schuchardt Archiv. Online unter https://gams.uni-graz.at/o:hsa.letter.5191, abgerufen am 29. 03. 2024. Handle: hdl.handle.net/11471/518.10.1.5191.


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Paris, le 26/2 1884

Cher Monsieur

Je copie et j’envoie à M. S. le passage de votre lettre relatif aux Contes d’Alibée Féry.1 Pour la suite, s’il y a lieu, veuillez lui exprimer directement vos intentions et d’une façon qui ne prête pas aux malentendus.

Je suis bien malheureux que vous ne puissiez rien me dire sur |2| l’arc-en-ciel pas plus que sur la Grande Ourse.2

J’ai vu chez un libraire « Uncle Remus »3, mais je ne l’ai pas acheté, parce que cela m’a semblé d’une lecture bien difficile. Peut-être pourtant m’y essaierai-je un jour.

Vous voyez par l’en-tête de cette lettre que Mélusine va reparaitre.4 Vous m’obligerez beaucoup en me donnant le nom et les adresses de vos correspondants transatlantiques qui s’occupent de Folk Lore pour que je leur adresse des prospectus. Le Prospectus s’imprime et sera prêt, j’espère, la semaine prochaine.

A vous

HGaidoz


1 Eine Antwort auf diesen Brief ist vermutlich Sébillots Brief vom 5. März 1884 ( 10462).

2 In einem späteren Brief (040-03243) vom 23. März 1884 allerdings dankt Gaidoz Schuchardt für die „noms de l’arc-en-ciel“.

3 Harris, Joel Chandler. 1881. Uncle Remus, his songs and his sayings. New York: D. Appleton and Co. Die Uncle Remus Bände stellen Sammlungen afro-amerikanischer Fabeln dar.

4 Wie bereits in einer Anmerkung zum Brief vom 24. April 1882 ( 027-03233) erwähnt, erschien die Mélusine 1884 unter der Leitung von Gaidoz und Rolland wieder. Im Vorwort „A nos lecteurs“ (März 1884) des 2. Bandes der Mélusine (1884-1885) ist folgender Satz zu lesen (3. Absatz): „Mais il nous semble que les forces commencent à s’éparpiller, que les publications qui se multiplient n’apportent pas toutes du nouveau, que certaines branches du folk-lore – les contes, par exemple – se sont développées à l’excès, tandis que d’autres sont laissés dans l’ombre.“ Ein Seitenhieb auf Rolland? Vgl. hierzu die Ausgabe der Mélusine in Gallica und vgl. weiter Voisenat (2008): Hier wird eine Stellte aus einem Brief (18. März 1884) von Gaidoz an François-Marie Luzel zitiert, in der ersterer von „considérations personnelles“ spricht, die ihm Anlass boten, die Auflage der Mélusine wieder ins Leben zu rufen. In diesem Zusammenhang weist er besonders auf den eben erwähnten dritten Paragraphen im „prospectus“ hin.

Faksimiles: Universitätsbibliothek Graz Abteilung für Sondersammlungen, Creative commons CC BY-NC https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ (Sig. 03241)