Charles Baissac an Hugo Schuchardt (5-B.11.21.1.2.)

von Charles Baissac

an Hugo Schuchardt

Port Louis

01. 10. 1882

language Französisch

Schlagwörter: Katechismuslanguage Französischbasierte Kreolsprache (Mauritius)language Englisch Chrestien, François (1839) Voicu, Mihaela (2002) Chaudenson, Robert (2001)

Zitiervorschlag: Charles Baissac an Hugo Schuchardt (5-B.11.21.1.2.). Port Louis, 01. 10. 1882. Hrsg. von Elisabeth Steiner (2009). In: Bernhard Hurch (Hrsg.): Hugo Schuchardt Archiv. Online unter https://gams.uni-graz.at/o:hsa.letter.44, abgerufen am 28. 03. 2024. Handle: hdl.handle.net/11471/518.10.1.44.

Printedition: Steiner, Elisabeth (2010): 'L'approbation d'un juge come vous est de celles dont on a le droit d'être fier': Der Briefwechsel zwischen Schuchardt und Baissac. In: Grazer Linguistische Studien. Bd. 74., S. 7-62.


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PageLigneCatéchisme Créole (catécisse criole)
1.1 Demande est créole, mais se prononce démande {ou d imande2. Réponse est créole.
5.Ciel, prend toujours l’article léciel ou liciel
Seigneur se prononce seigneir comme page 6, ligne 20.
22chose non, mais çose: ch est impossible en créole; donc chimin p. 6 = cimin.
7 dévré véritable forme conditionnelle. Elle existe couramment aujourd’hui (vous dévré = vous devriez,) mais prend l’auxiliaire . Si le texte est de 1828, le fait est particulièrement original. (Devoir = doit ou doitte. Ex Li doitte laboutique. Il a des dettes. Il prend les auxiliaires; ainsi, mo va doit toi = je te devrai; to té doitte moi = tu me devais, etc.)
18neinque ou néque = ne...que, seulement. Neinque sonne bien mieux que néque à l’oreille créole.
*4 et 5na pas té va yenna, il n’y aurait rien. Voilà bien le conditionnel constitué comme je l’ai dit p. 30.
19.pour nous capave rende service, pour que nous puissions nous rendre utiles. L’expression a bien la saveur des anciens jours.
35à cote, c’est le vrai créole, antérieur au moderne ‘où’ p. 63.
9.zanges, non, mais zanzes: g impossible (au son de j.)
11.condition, bien créole dans cet emploi de mot.
13zote tous content camrades. Ils s’aiment les uns les autres. La périphrase est essentiellement créole pour rendre l’idée de réciprocité. On dirait probablement aujourd’hui: “zote tout content eine à laute.’
41 diables, se prononce diabe: ble final impossible. Ainsi ‘mo va péye toi doube’ je te payerai double; mais ‘ça latouéle la fai be, li bisoin dou blé’ cette toile est faible, il faut la doubler.
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44. son emploi emphatique de l’adjectif possessif. Je l’ai signalé p. 14.
13 conné, de même plus bas; mais à la dernière ligne de la page 6. ‘conne lire
Ici l’accent é conservé pour mieux souligner.
13cé qui, plus souvent ça qui
15 zotre, bien plutôt zote; montre plutôt monte
52coume ça, sonne créole bien mieux que comme ça; coument meilleur que coment.
10péchés, impossible, mais pécés
16langage, impossible, mais langaze
16 nation, c’est le seul mot créole pour ‘peuple’. Nation a aujourd’hui conquis une acception que le français ignore profondément: “Ça malbar la napas voulé manze lavianne bèf, li peir perdi so nation. Ce malabar ne veut pas manger de viande de bœuf, il a peur de perdre sa ‘caste’.”
19 zotre ‘Ils’ ou bien ‘d’autres’? mais plutôt ‘ils’; au sens de ‘d’autres’ ce serait lautre ou laute, en bon créole.
20Jesus, impossible, mais Zézé.
62ide nous, nous aider. Ide est de la bonne vieille langue. J’entends encore aïde-moi, pour aide-moi, tout comme dans les mystères de Raoul Gréban ou de Jehan Michel3; mais nos vieux noirs ont seuls conservé cette prononciation archaïque, les jeunes disent aide-moi.
(5(13li ti vini la haut; li ti vine la haut, i souligne.)
68Bible, = Bibe de même entre, montre = ente, monte, etc
16Esprit, n’est pas créole, c’est bien Siprit comme p. 7. ligne 2.
17Consolateur = consolatère dans la prononciation créole s’entend, car le mot n’existe ni ne peut exister dans le créole.
18Quand zote fine conne lire au lieu de quand zote va fine conne lire; suppression
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de l’auxiliaire va du futur antérieur, l’idée future étant rendue manifeste par le futur simple qui suit: mo va montre zote. De même, page 2. ligne 5, l’auxiliaire va supprimé au conditionnel (qui ti vivant au lieu de qui ti va vivant) le mode étant suffisamment marqué par le verbe qui précède: napas té va yenna narien, il n’y aurait rien (donc ‘qui serait vivant.) Remarquiez page 6. ligne 11: “qui a montre nous bon cimin, au lieu de qui va montre nous. J’ai indiqué le fait p. 123 à la note. Remarquez dans tout le morceau l’emploi bien créole du mot meme, comme particule confirmative.

En somme la pièce est du meilleur créole que j’aie jamais vu imprimé, et je regrette bien de ne l’avoir pas connue lors de la composition de mon livre dans la seconde édition duquel elle trouvera place, si qua fata sinant!

Il semble que l’orthodoxie du bon abbé Déroullède, auteur du catéchisme, n’ait pu se résigner à habiller à la créole nombre de mots dont la physionomie trop française fait disparate dans son texte: Seigneur, ciel, zanges, diables, péchés, Emmanuel, Jesus Christ, La Bible, bon chimin, Saint Esprit, Consolateur, autant de sons impossibles, à nos organes, pour lesquels ces mots là sont taboués.

Je vous traduis la pièce, non que le sens puisse vous arrêter; mais si vous aviez besoin de la version française, ce serait une économie de temps pour vous.

D. Qui est-ce qui nous a créés, et qui est-ce qui nous fait vivre tous les jours?

R. Notre Père qui est au ciel, notre Seigneur qui seul est Dieu, dans le ciel et sur la terre.

D. Est-ce Dieu qui crée toutes choses?

R. Oui, Dieu crée tout, sans lui il n’y aurait rien de vivant.

D. Quels devraient être nos sentiments envers Dieu?

R. Nous devrions l’aimer de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit, de toutes nos forces.

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D. Pourquoi Dieu nous a-t-il créés? _ R. Pour que nous devenions ses fils, ses enfants, pour que nous l’aimions, pour que nous aimions à faire le bien comme Il n’aime qu’à faire le bien, et pour que nous puissions devenir utiles et conquérir le bonheur par nos bonnes œuvres.

D. Vivrons-nous toujours sur la terre où nous sommes à présent? _ R. Non, nous quitterons un jour cette terre, et si nous sommes bons, nous vivrons comme les anges dans le ciel.

D. Qu’est-ce que le ciel? _ R. Le ciel, c’est l’état où vivent les anges; ils s’aiment tous les uns les autres, et sont tous heureux auprès de leur Père qui est dans le Ciel.

D. Et si nous ne sommes pas bons, où irons-nous? _ R. Nous irons où sont les diables et les mauvais esprits, dans l’enfer.

D. Qu’est-ce que l’enfer? _ R. L’enfer, c’est l’état dans lequel vivent les diables et les mauvais esprits; ils ne peuvent rester avec les bons; ils se sauvent loin de leur Père qui est au ciel.

D. Comment pouvons-nous devenir bons? _ R. Nous pouvons devenir bons en sachant ce que Dieu a dit aux hommes pour les éclairer; puis en faisant ce que nous savons que Dieu nous a dit de faire pour notre bonheur.

D. Qui nous donnera la force de vivre ainsi? _ R. C’est Notre Père qui est au ciel, qui est venu sur la terre, qui a permis aux hommes de le voir dans un corps semblable au corps de l’homme, et qui ainsi a fait ce qu’il fallait pour effacer nos péchés.

D. Comment les hommes ont-ils appelé Dieu quand il est venu sur la terre? _ R. On l’appela Emmanuel, et ce nom dans la langue du peuple qui le vit, veut dire ‘Dieu est toujours avec nous’; puis ils l’appelèrent ‘Notre Seigneur Jésus Christ’.

D. Comment peut-il nous aider à effacer nos péchés, maintenant qu’on ne peut plus le voir? _ Par la parole qu’il a dite et que nous pouvons connaître si nous avons appris à lire La Bible, et par son esprit qui pénètre dans notre âme, pour nous faire comprendre sa parole qui nous enseignera le bon chemin.

D. Comment appelez-vous cet esprit là? _ R. Nous l’appelons St. Esprit, ou bien celui qui nous soulage, Consolateur. Fin.*

Quand vous aurez appris à lire je vous enseignerai autre chose qui est l’esprit même de Jésus Christ ou ce que le Saint Esprit nous a enseigné.

*fin = finition.

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- Scènes populaires de l’Epoque, en Patois créole – 5

Cela est écrit par un homme qui ne savait pas la langue. Voici néanmoins quelques observations sommaires.

Un coin de feu à la Campagne –

p. 5. moi, toi employés comme sujets, c’est toujours mo, to

qui fini cassé son pipe; non mais qui fine casse son pipe

p. 6 eine côté moi bien aise, ce n’est pas créole

Diable! cette interjection n’est pas créole.

çiplique-moi: pas créole

tout d’site non, mais toutsite.

été non, mais ou ti.

p. 7. dormi, c’est dourmi

Faire vous consolé, ce n’est pas créole.

allez-vous causé ensemble, pas créole mais alle cause ensembe

sivre la zistice. pas créole

faire...vous devoirs, pas créole, le mot n’est possible qu’au sens concret; on dirait à un écolier ‘alle faire vous dévoirs.’

- La Veillée de Village –

p 10 besoin, non mais bisoin

p 11. Dié merci, n’est pas créole

ciruziens, c’est sourzins ou sourziens

Travaille zautres tous bien, ce n’est pas une construction créole

souvini zautres, pas davantage.

p 12 camarades non, mais camrades

et qui dire li comme ça, il faut qui dire zaute

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p 12. qui faire vous allé fatigue vous, le créole dirait fatigue vous lécorps.

quand li voulé gagné son l’arzent. partout ici au lieu de li, toujours singulier, il faudrait le pluriel zaute.

l’arzent di mois n’est pas créole, mais larzent zot lémois.

Ma foi, l’exclamation n’est pas créole, pas plus que sacristi.

c’est qui, moins créole encore

ça lé nom-là. pourquoi pas substantif, ce serait d’aussi bonne langue.

- Pierrot dans les embarras de la paternité –

p. 14 marié-moi pas créole, mais marié tout court. sorti est sourti

pourtant est peu créole nonobstant.

travaille dans l’habitation, supprimer dans

cercé à la rigueur, mais bien plutôt rôdé

pét-être, c’est pitéte

autant lassés, c’est si tant lassé.

p. 15 crivains?

C’est franchement mauvais et ne ressemble à rien. La façon dont l’auteur écrit le français donne une idée juste de son savoir faire en créole.

Il n’y a qu’un mot à prendre dans toute la brochure: Avant to touque to paquet. Touquer = prendre par terre quelque chose de lourd ou de difficile à lever. C’est un bon vieux mot qui dit beaucoup dans sa concision. Je doute que ce soit l’anglaistook de to take, car il est certainement antérieur à l’influence anglaise sur notre idiome.

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Un blanc rencontre un noir qui tout en cheminant, danse et chante en s’accompagnant sur une façon de tambour de basque.6

Le blanc. _ Vous bien content donc, papa?7

Le noir. _ . he! hé! pourquoi moi n’a pas content?

B. _ Qui bon nouvelle donc faire vous content comme ça?

N. _ Ah bin! moi connais nouvelle moi? moi content comme ça même.

B. _ Où vous couri, papa?

N. _ Moi couri bitation, donc.

B. _ Vous maître li bon, hem papa?

N. _ Ah!... oui va, li bon.

B. _ Vous n’a pas gagné coups de fouette?

N. _ Coups de fouette! di monde faire son l’ouvrage, li gagné coups de fouette! moi n’a pas volor, moi; moi n’a pas marron, pourquoi moi gagné coups de fouette?

B. _ Vous gagné bien manzé, papa?

N. _ Moi gagné mayoc, moi gagné maye.

B. _ Ça même?

N. _ Qui encore va gagné?

B. _ Vous manzé mayoc sec, donc?

N. _ Ah! bien, moi ramasse 1. bredes. A soir n’a pas couri la pesse? moi gagné posson, gagné sévrettes. N’a pas zardin? gagné zanimaux, gagné bananes.

B. _ Mais, papa, vous n’a pas cimise, don? vous n’a pas Kilotte, n’a rien?

N. _ Si fait va, la case moi y en a.

B. _ Qui donne2 vous ça?

N. _ Quéque fois Msié li donné, quéquefois moi assetté.

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B. _ Où vous gagné l’arzent pour assetté?

N. _ hé hé! vandé cosson, vendé tabac; dimanse travaille3 pour di monde.

B. _ Mais, papa, quand vous malade, qui sogn e4 vous?

N. _ Ah! bien, n’a pas l’optal? n’a pas sourzin?

B. _ Vous noir bitation, ou bien vous commandor?

N. _ Moi noir bitation.

B. _ Vous n’a pas envie vini commandor?

N. _ Ma foi non, moi n’a pas bisoin ça, moi.

B. _ Papa, vous y en a femme, ou bien vous soldar?

N. _ Moi y en a femme.

B. _ Li zoli vous femme?

N. _ hé hé ......blanc là!

B. _ Dire don, li zoli hein?

N. _ Moi trouve4 li zoli, va.

B. _ Vous connais bondié, papa?

N. _ hé, hé! moi n’a pas connai bondié pour blanc moi, moi connai bondié qui dans mon peye.

B. _ Li bon ça bondié là qui dans vous peye, hein?

N. _ Y en a ça qui bon, y en a ça qui mauvais.

B. _ Vous pour ça bondié là qui mauvais? (ou plutôt vous peir)

N. _ Non va; quand ça qui bon li content moi, ça qui mauvais n’a pas capabe faire moi di mal.

B. _ Qui li va donné vous ça bondié là qui bon?

N. _ Ah bin! li n’a pas donné moi n’a rien: li empesse5 moi gagné grand malhor; quand moi mort, li faire moi arrive6 dans mon peye.

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B. _ Vous bien content vous peye don, papa?

N. _ ha! sourement moi bien content.

B. _ Qui meyor, vous peye ou bien Maurice?

N. _ hé! Maurice bon, mon peye li bon aussi.

B. _ Mais, papa: quand vous capabe quitté Maurice pour allé dans vous peye, vous va allé?

N. _ hé hé! moi n’a pas pense 7 ça, moi. Qui moi va faire dans mon peye? moi n’a pas saclave? (n’y serais-je pas esclave?)

B. _ Ah bin! quand vous arrive8 dans vous peye, vous n’a pas libre, donc?

N. _ Non va! moi saclave la guerre; quand moi arrive9 là, zaute prend moi encore pour vendé moi. Quand moi mort, moi allé dans mon peye, à vla tout.

B. _ Comment zaute faire la guerre dans vous peye?

N. _ hé! Msié, li tard, oui, laisse10 moi allé.

B. _ Allons, bon soir, papa.

N. _ A ça, bonsoir, Msié.

B. _ Bon soir.

(Séance du 6 Ventôse, an 14.)

Remarques. 1° - Le pronom moi qui devant le verbe, en fonction de sujet, est toujours mo aujourd’hui, est partout moi dans cette pièce.

2° - L’é du verbe que la prononciation change toujours aujourd’hui en e muet quand le verbe n’est pas le dernier mot de la proposition, persiste ici presque partout. Je souligne 10 cas8 où le verbe se comporte comme dans l’usage actuel; - c’était sans doute un acheminement vers la loi existante.

3° - Pas une forme conditionnelle; le futur ou le présent.

4° - Nulle part la forme interrogative esqui (est-ce que); l’inflexion de la voix y supplée.

5° - Un mot bien pittoresque: soldar (soldat) pour ‘célibataire’. Cela se passe de commentaire.

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Cette pièce aurait une bien autre valeur si elle était de la main même de T. Pitot; mais ce n’est qu’une copie insérée dans les procès-verbaux de la “Société d’émulation de l’isle de France” par un secrétaire dont l’insuffisance et la maladresse se révèlent à chaque page de son registre. Quoi qu’il en soit, ce morceau est probablement le plus ancien texte créole qui existe; il est pour nous d’un haut intérêt.

Le Noir de notre dialogue est un Mozambique. Il a pour tout costume un langouti9. Il est né sur la Grand Terre et n’est à Maurice que depuis quelques années. Dans la langue qu’il lui fait parler, T. Pitot a-t-il quelque intention d’indiquer cette nuance? Je serais presque tenté de le croire.

Il y a deux mots: ‘sourement’ et ‘ma foi’ qui sonnent bien peu le créole, le dernier surtout.


1 Baissacs originale Seitennummerierung. Bei diesem Kommentar handelt es sich um einige Erklärungen zur Broschüre Scènes Populaires de l’époque, en patois créole, par François Chrestien. Imprimerie du Cernéen 1839, die sich unter der Nummer B.11.21.1.6. im Nachlass befindet. Die Erfassung unter derselben Nummer wie die Kommentare zum Katechismus wie auch die Beschaffenheit des Papiers und die Faltung legen nahe, dass beide zum gleichen Brief gehörten, auch wenn sich im Text selbst kein Hinweis auf den Kommentar findet.

2 Die Variante wurde später unter der Zeile eingefügt, die Klammer soll im Original die Zugehörigkeit zur oberen Zeile andeuten. Zur Herkunft dieses Textes finden sich keine weiteren Informationen bis auf Baissacs Kommentar am Ende.

3 Raoul Gréban und Jehan Michel, Autoren mittelalterlicher französischer Passions- und Mysterienspiele (vgl. Voicu 2002).

4 Nach diesem Seitenumbruch gibt Baissac die Schreibung in der Tabelle weitgehend auf und verwendet herkömmlichen Fließtext. Diese sind durch hochgestellte Zahlen und Unterstreichung im Text gekennzeichnet.

5 Bei diesem Kommentar handelt es sich um einige Erklärungen zur Broschüre Scènes Populaires de l’époque, en patois créole, par François Chrestien. Imprimerie du Cernéen 1839, die sich unter der Nummer B.11.21.1.6. im Nachlass befindet. Die Erfassung unter derselben Nummer wie die Kommentare zum Katechismus wie auch die Beschaffenheit des Papiers und die Faltung legen nahe, dass beide zum gleichen Brief gehörten, auch wenn sich im Text selbst kein Hinweis auf den Kommentar findet.

6 Zur Herkunft dieses Textes finden sich keine weiteren Informationen bis auf Baissacs Kommentar am Ende.

7 Für den Gebrauch von papa vgl. HSA 00426 Fußnote 8.

8 Diese sind durch hochgestellte Zahlen und Unterstreichung im Text gekennzeichnet.

9 „Indian male garment consisting of a piece of cloth worn around the hips“ (Chaudenson 2001: 281), also anscheinend eine Art Lendenschurz.

Faksimiles: Universitätsbibliothek Graz Abteilung für Sondersammlungen, Creative commons CC BY-NC https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ (Sig. B.11.21.1.2.)