Portrait de l’Auteur. Son éducation ; sa premiere enfance; ses études; ses voyages. L’objet qu’il eut en parcourant les divers pays du globe. Son séjour à Pag. 1 jusqu’à 9.
Réflexions préliminaires sur la Révolution de .
Elle n’a point d’exemple dans les annales du monde. Ceux qui ont écrit sur celle-ci, ont mal rencontré.
C’est aux regnes dispendieux de
Il s’est donné dans ces deux regnes plus de deux cents batailles rangées, et autant de combats particuliers. Pag. 10 jusq. 15.
Annales politiques.
Guerres de l’empire d’Orient avec celui d’Occident. On se propose dans ce tableau un plus grand objet ; celui de faire connoître les hommes : mais ce qui est encore plus intéressant, le caractere des rois.
Portrait de Pag. 16 jusq. 28.
Portraits de ceux qui sont associés à cet ouvrage. Leur caractere, leurs connoissances, leur savoir dans différens genres d’érudition.
Portrait du galant M. Pag. 29. jusq. 37.
Suite des Réflexions préliminaires sur la Révolution. Pag. 38.
Portrait de Pag. 40 jusq. 51.
Rêve de l’Auteur à l’occasion de la Caisse d’Escompte. Pag. 57 jusq. 82.
Portrait de 58 jusq. 72.
Mélange historique.
Ce n’est point le hasard qui préside aux événemens de ce monde, comme tant de gens le croient. La Fortune n’est qu’un nom. Cette divinité aveugle, à laquelle on a dressé de tout tems des autels, n’existe que dans l’opinion des hommes. Tout est lié par cet enchaînement de causes secondes, qui tiennent à leurs premiers príncipes. Page 63.
Etat de l’Europe. Page 74.
payenne. Pag. 75 et 76.
Des premiers Empereurs.
Page 77.
Établissement du Christianisme.
La religion du Messie donne une nouvelle tournure aux affaires de la politique et de la morale. L’Page 78.
Idem.
. Ce prince fit plus de mal à l’empire par ses foiblesses, que son pere ne lui avoit fait de bien par ses vertus. Page 79.
Les Normands.
Les Normands parurent par-tout, et envahirent tout. Ce n’étoit pas une nation qui cherchoit à faire des conquêtes, mais des brigands qui cherchient <sic> à vivre.
Sur les recherches que l’Auteur fait à l’égard de son Journal.
Il n’y a point de ville au monde où un petit génie puisse devenir plutôt un grand homme d’état qu’à Page 81.
Portrait de . Page 83.
De la . Page 96.
L’. Page 97.
État du Nord. Page 98.
Les Papes. Page 99.
L’. Page 103.
Sur l’économie politique.
Page 105.
Correspondance. Page 116.
Croisades. Page 121.
Des Templiers. Page 123.
. Page 124.
Sur le mépris qu’on fait des Auteurs modernes.
Il y a une grande question parmi les savans, de savoir si les anciens ont plus écrit que les modernes. Page 129.
De la . Page 143.
De , reine de Naples. Page 143.
Du roi . Page 145.
Du . Page 146.
De la . Page 147.
Sur l’Opera.
Sur une adresse singuliere.
Un auteur qui fait de sa maison un bureau de correspondance littéraire, doit recevoir tous les plis qu’on lui envoi pour les faire passer à leur adresse. Page 165.
Entretien aux entre et . Page 166.
Sur le génie des femmes comparé à celui des hommes. Page 181.
. On peut regarder le regne de ce prince comme le précurseur de celui de Page 194.
. Ce monarque qui succéda à Page 195.
Page 181.
Sur les Duels. Page 201.
Page 212.
Sur la réduction des , avec l’abrégé des Belges.
Page 217.
Sur une visite que le à faite à une dame lettrée, où il parle d’un vice attaché au sexe.
J’allai rendre visite ces jours passés à une dame qui loge près du Pag. 232.
Sur l’Agiot, avec des remarques sur les Assignats.
Les anciens ne connoissoient point l’agiotage : tout le commerce se faisoit par des échanges. Page 250.
Sur l’Assemblée nationale ; avec l’état de la
Les finances étoient épuisées, le numéraire manquoit à la circulation. Page 265.
Suite des divisions de l’Assemblée nationale.
Les prêtres étoient toujours séparés du tiers-état, et les nobles ne vouloient point s’y réunir. Pag. 281.
Suite du précédent.
Fin de la Table des matieres.