Amusement XXIV. Laurent Angliviel de la Beaumelle Moralische Wochenschriften Klaus-Dieter Ertler Herausgeber Hannah Bakanitsch Mitarbeiter Karin Heiling Mitarbeiter Elisabeth Hobisch Herausgeber Mario Müller Mitarbeiter Sarah Lang Gerlinde Schneider Martina Scholger Johannes Stigler Gunter Vasold Datenmodellierung Applikationsentwicklung Institut für Romanistik, Universität Graz Zentrum für Informationsmodellierung, Universität Graz Graz 19.04.2018 o:mws.6604 La Beaumelle, Laurent Angliviel de: La Spectatrice danoise, ou l'Aspasie moderne, ouvrage hebdomadaire. Tome I. Copenhague: s.i. 1749, 185-192 La Spectatrice danoise 1 024 1748 Dänemark Ebene 1 Ebene 2 Ebene 3 Ebene 4 Ebene 5 Ebene 6 Allgemeine Erzählung Selbstportrait Fremdportrait Dialog Allegorisches Erzählen Traumerzählung Fabelerzählung Satirisches Erzählen Exemplarisches Erzählen Utopische Erzählung Metatextualität Zitat/Motto Leserbrief Graz, Austria French Theater Literatur Kunst Teatro Letteratura Arte Theatre Literature Arts Teatro Literatura Arte Théâtre Littérature Art Religion Religione Religion Religión Religion Philosophie Filosofia Philosophy Filosofía Philosophie Denmark 10.0,56.0 United Kingdom London London -0.12574,51.50853 United Kingdom Wales Wales -3.5,52.5 France 2.0,46.0

Amusement XXIV.

Nous suivons, il est vrai, des sentiers peu battus,Nous aimons à bâtir ; mais tous nos EdificesSont ou des prisons pour les vices,Ou des Temples pour les vertus.

Procope.

Made. la Spectatrice ;

Des vers françois faits en Dannemarc sont quelque chose d’assez rare, ce me semble, pour avoir place dans vos Feüilles. Vous ne trouverez donc pas mauvais, que je vous envoïe une Ode, que j’ai composée sur la Franche-Maçonnerie. Cet Ordre est assez avant dans vos bonnes graces, pour que vous ne lui refusiez pas les moïens de guérir les non-Initiés de leurs Préjugés défavorables, quand l’occasion s’en présente. Nos Loges conserveront une éternelle reconnoissance de l’Apologie, dont vous avez honoré notre Société. Nous l’enverrons à la grande-Loge de Londres, pour y être placée dans les Archives Maçonnes, comme un Monument immortel de notre innocence. Je suis &c.

La Vertu Maçonne,ou Le Temple de la Franche-Maçonnerie.Ode Puissant Architecte du Monde ! Prête à mon esprit ton flambeau :Qu’une vive clarté secondeUn enthousiasme nouveau.Tu m’entends - - - Ciel - - - Quel feu m’animePour le sujet le plus sublimeIl faut les plus sublimes sons.Mortels ! aux accords de ma LireConnoissez quel Maître m’inspireDes accens dignes des Maçons. Serai-je dévoré sans cesse De désirs toûjours renaissans ?Gloire, Plaisirs, Talens, Richesses !N’êtes-vous que de vains présens ?Mon cœur ne veut plus se repaîtreDe biens qu’un même instant voit naître.Se former, & s’évanoüirFaut-il que mon Ame inquietteEspère, choisisse, rejette,Désire toûjours sans joüir ? Mais que vois-je ? Un céleste Guide Se présente à mes yeux surpris :« Viens, dit-il ; qu’un Bonheur solideRende le calme à tes esprits !Veux-tu voir l’immortelle Astrée ?Ose avec moi tenter l’entrée D’un Sanctüaire ténébreux.Dédaigne un Préjugé frivole.Apprends enfin à cette écoleL’art de vivre & l’art d’être heureux. » Quelle épaisse nuit m’environne ! Bonheur ? fuirois-tu loin de moi ?Que vois-je ? Où suis-je ? Je frissonne.A l’espoir succéde l’effroi.Quelle horreur ! quelle incertitude !Vérité ! mon unique étude,Quels secrets me réserves-tu ?Ah ! je perce enfin le nüage ;Je joüis du rare avantageDe voir & d’aimer la Vertu. Je découvre un auguste Temple, Où sur un Thrône radieuxAvidement je la contemple ;Sur elle s’épuisent mes yeux.Vers cette aimable SouveraineUne invisible main m’entraîne,Que d’attraits ! quels charmes nouveaux ?Vertu ! ta coupable Ennemie,Vénus, sur les bords d’IdalieN’offrit point des traits aussi beaux. « Approchez, mon Fils ! me dit-elle, D’un air vif, d’un ton ingénu.A mes drapeaux soiez fidelle ;Voïez ; le voile est abattu.Je travaille & bâtis sans cesse,Et les raïons de ma sagesseBrillent dans tous mes Nourriçons.Fournissez la même carrière ;Ouvrez votre ame à la lumière ;Mes oracles sont vos leçons. Cet Edifice est mon ouvrage ; C’est ici que je tiens ma Cour,Pour perpétüer d’âge en âgeDes secrets dérobés au jour.La Probité, la Grandeur d’ame,Et ce goût du Beau qui m’enflameEn jettèrent les fondemens.La Sincérité, le Silence,La Fraternité, l’InnocenceEn sont les plus beaux ornemens. Je reçois ici les hommages De mes zélés Adorateurs :Les vrais Maçons sont les vrais Sages,Et mes seuls Sacrificateurs.Oüi ; malgré les traits de l’Envie,Mon Favori m’y sacrifieSes foiblesses & ses penchans.Il sçait triompher de lui-même,Et faire son plaisir suprêmeDe ses vœux & de son encens. J’embrasse dans mon vaste Empire Et tous les tems & tous les lieux.Seule, j’ai toûjours pu suffireA tant de succès glorieux.Le Devoir, la Raison sévèreTient mon esclave volontaireSous mes douces loix enchâiné ;Il joüit d’une paix profonde ;Plus grand que les Maîtres du Monde,Egal au Maçon Couronné. Il conserve sous mes auspices Le trésor de la LibertéEt goûte déjà les prémicesD’une nouvelle Egalité. Dans ses droits j’ai sçu le remettre ;Né Libre, il continüe à l’êtreEt sans efforts & sans projets. ((*) Il parut il y a deux ans un Livre, intitulé : les Francs-Maçons écrasés. L’Imposteur, qui l’a écrit, représente l’Ordre comme fondé par le plus scélérat de tous les hommes, pour détruire tous les Etats, Républiques & Monarchies. L’Empereur, le Roi de France, le Roi de Prusse qui en sont Membres & Protecteurs, le Prince de Galles qui en est Grand-Maître font suffisamment notre Apologie.*)C’est moi qui le forme & l’éclaire ;L’âge d’or, brillante chimêreN’éxista que pour mes sujets. Dans un mistérieux commerce D’esprit, de mœurs, de sentimens,Où tout Franc-Maçon puise & verse,L’Amitié choisit ses Amans.Fier préjugé ! tu le condamnes ;Mais c’est en fuïant les ProfanesQu’il apprend à vivre avec eux.De mes secrets dépositaire ;Dans cet Azile solitaireIl devient Homme, il est Heureux. Epicure à l’appas du vice Doit ses infames Spectateurs :Il les conduit au précipicePar un chemin semé de fleurs :De Zénon la vertu faroucheQue rien n’émeut, que rien ne touche,Brille d’un éclat emprunté,Loin d’ici, Sages, vains fantômes !L’Art Roial rend parfaits les hommesSans immoler l’humanité. La sevère Philosophie Veut priver l’homme de ses sens ;Le Maçon la réconcilieAvec les plaisirs innocens.Le Philosophe se déride ;Avec l’Equerre je présideA ses voluptueux loisirs ;Et, loin des bras de la mollesse,Dans le cercle de la sagesseIl emprisonne ses plaisirs. L’adorable Moitié du Monde N’embellit jamais ces beaux lieux.L’éclair part, le Tonnerre gronde,La foudre éclatte de ses yeuxQuelle fatale destinée ! - - -Pourquoi le Ciel l’a-t-il ornéeDe mille dangereux appas ?Qu’elle en soit à jamais bannie !Francs-Maçons ! auprès de Sylvie,Que vous serviroient vos Compas ? Que vois-je ? Quel zéle barbare, Armé d’un glaive ensanglanté,Pour sauver les Hommes s’empareDes droits de la Divinité ?Est-ce, ô Dieu ! prendre ta défense ?Monstres affreux d’Intolérance !Monstres par les Enfers vomis !Soïez touchés d’un noble éxemple ;Accourez, voïez dans mon TempleEsprits partagé’s, cœurs unis. » A ces mots, s’avance Harpacrate, Couvert de feüilles d’Olivier;Sur son front sa douceur éclate,Il me ceint du sacré Tablier, &c.

Est et Fideli tuta silentio merces. Horace.

Chanson MaçonneSur l’Air : Adam à sa postérité. I.Le Vénérable. Allons, mes Fréres ! à l’ouvrage. Dérobés aux vulgaires yeux,A l’envi faisons tous usageDe nos Outils mistérieux.Laissons le Guerrier témérairePaïer de son sang ses Lauriers ;Prenons la Trüelle & l’Equerre ;Maîtres ! maçonnez les prémiers. Le Chœur des Maîtres. Maçonnons : La Vertu nous guide ; Que la Paix soit le fondementD’un Palais élevé, solide,Cimenté par le sentiment. II.Le Vénérable. Ramenons la douce harmonie Parmi les farouches Mortels ;Une heureuse Amitié nous lie,Erigeons lui tous des Autels.Des Cimbres imitons l’éxemple ;Leurs Tentes étoient leurs Maisons ;Mais la Concorde avoit un TempleChez ce Peuple de Francs-Maçons. Le Chœur de tous les Fréres. Maçonnons : la vertu nous guide &c. III.Le Vénérable. C’est assez ; qu’au travail, mes Frères ! Succède le délassement.De Nectar emplissons nos verres ;Et vidons les en Maçonnant. Les plaisirs, que le Maçon aime,Sont soumis à la gravité ;Minerve y préside elle-mêmeSous l’habit de la Volupté. Le Chœur. Obéissons au Vénérable ; Sur lui seul fixons tous les yeux ;Réparons nos forces à table ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux.

Par le Frère Balleudannellanvilléamiukel.

Amusement XXIV. Nous suivons, il est vrai, des sentiers peu battus,Nous aimons à bâtir ; mais tous nos EdificesSont ou des prisons pour les vices,Ou des Temples pour les vertus. Procope. Made. la Spectatrice ; Des vers françois faits en Dannemarc sont quelque chose d’assez rare, ce me semble, pour avoir place dans vos Feüilles. Vous ne trouverez donc pas mauvais, que je vous envoïe une Ode, que j’ai composée sur la Franche-Maçonnerie. Cet Ordre est assez avant dans vos bonnes graces, pour que vous ne lui refusiez pas les moïens de guérir les non-Initiés de leurs Préjugés défavorables, quand l’occasion s’en présente. Nos Loges conserveront une éternelle reconnoissance de l’Apologie, dont vous avez honoré notre Société. Nous l’enverrons à la grande-Loge de Londres, pour y être placée dans les Archives Maçonnes, comme un Monument immortel de notre innocence. Je suis &c. La Vertu Maçonne,ou Le Temple de la Franche-Maçonnerie.Ode Puissant Architecte du Monde ! Prête à mon esprit ton flambeau :Qu’une vive clarté secondeUn enthousiasme nouveau.Tu m’entends - - - Ciel - - - Quel feu m’animePour le sujet le plus sublimeIl faut les plus sublimes sons.Mortels ! aux accords de ma LireConnoissez quel Maître m’inspireDes accens dignes des Maçons. Serai-je dévoré sans cesse De désirs toûjours renaissans ?Gloire, Plaisirs, Talens, Richesses !N’êtes-vous que de vains présens ?Mon cœur ne veut plus se repaîtreDe biens qu’un même instant voit naître.Se former, & s’évanoüirFaut-il que mon Ame inquietteEspère, choisisse, rejette,Désire toûjours sans joüir ? Mais que vois-je ? Un céleste Guide Se présente à mes yeux surpris :« Viens, dit-il ; qu’un Bonheur solideRende le calme à tes esprits !Veux-tu voir l’immortelle Astrée ?Ose avec moi tenter l’entrée D’un Sanctüaire ténébreux.Dédaigne un Préjugé frivole.Apprends enfin à cette écoleL’art de vivre & l’art d’être heureux. » Quelle épaisse nuit m’environne ! Bonheur ? fuirois-tu loin de moi ?Que vois-je ? Où suis-je ? Je frissonne.A l’espoir succéde l’effroi.Quelle horreur ! quelle incertitude !Vérité ! mon unique étude,Quels secrets me réserves-tu ?Ah ! je perce enfin le nüage ;Je joüis du rare avantageDe voir & d’aimer la Vertu. Je découvre un auguste Temple, Où sur un Thrône radieuxAvidement je la contemple ;Sur elle s’épuisent mes yeux.Vers cette aimable SouveraineUne invisible main m’entraîne,Que d’attraits ! quels charmes nouveaux ?Vertu ! ta coupable Ennemie,Vénus, sur les bords d’IdalieN’offrit point des traits aussi beaux. « Approchez, mon Fils ! me dit-elle, D’un air vif, d’un ton ingénu.A mes drapeaux soiez fidelle ;Voïez ; le voile est abattu.Je travaille & bâtis sans cesse,Et les raïons de ma sagesseBrillent dans tous mes Nourriçons.Fournissez la même carrière ;Ouvrez votre ame à la lumière ;Mes oracles sont vos leçons. Cet Edifice est mon ouvrage ; C’est ici que je tiens ma Cour,Pour perpétüer d’âge en âgeDes secrets dérobés au jour.La Probité, la Grandeur d’ame,Et ce goût du Beau qui m’enflameEn jettèrent les fondemens.La Sincérité, le Silence,La Fraternité, l’InnocenceEn sont les plus beaux ornemens. Je reçois ici les hommages De mes zélés Adorateurs :Les vrais Maçons sont les vrais Sages,Et mes seuls Sacrificateurs.Oüi ; malgré les traits de l’Envie,Mon Favori m’y sacrifieSes foiblesses & ses penchans.Il sçait triompher de lui-même,Et faire son plaisir suprêmeDe ses vœux & de son encens. J’embrasse dans mon vaste Empire Et tous les tems & tous les lieux.Seule, j’ai toûjours pu suffireA tant de succès glorieux.Le Devoir, la Raison sévèreTient mon esclave volontaireSous mes douces loix enchâiné ;Il joüit d’une paix profonde ;Plus grand que les Maîtres du Monde,Egal au Maçon Couronné. Il conserve sous mes auspices Le trésor de la LibertéEt goûte déjà les prémicesD’une nouvelle Egalité. Dans ses droits j’ai sçu le remettre ;Né Libre, il continüe à l’êtreEt sans efforts & sans projets. ((*) Il parut il y a deux ans un Livre, intitulé : les Francs-Maçons écrasés. L’Imposteur, qui l’a écrit, représente l’Ordre comme fondé par le plus scélérat de tous les hommes, pour détruire tous les Etats, Républiques & Monarchies. L’Empereur, le Roi de France, le Roi de Prusse qui en sont Membres & Protecteurs, le Prince de Galles qui en est Grand-Maître font suffisamment notre Apologie.*)C’est moi qui le forme & l’éclaire ;L’âge d’or, brillante chimêreN’éxista que pour mes sujets. Dans un mistérieux commerce D’esprit, de mœurs, de sentimens,Où tout Franc-Maçon puise & verse,L’Amitié choisit ses Amans.Fier préjugé ! tu le condamnes ;Mais c’est en fuïant les ProfanesQu’il apprend à vivre avec eux.De mes secrets dépositaire ;Dans cet Azile solitaireIl devient Homme, il est Heureux. Epicure à l’appas du vice Doit ses infames Spectateurs :Il les conduit au précipicePar un chemin semé de fleurs :De Zénon la vertu faroucheQue rien n’émeut, que rien ne touche,Brille d’un éclat emprunté,Loin d’ici, Sages, vains fantômes !L’Art Roial rend parfaits les hommesSans immoler l’humanité. La sevère Philosophie Veut priver l’homme de ses sens ;Le Maçon la réconcilieAvec les plaisirs innocens.Le Philosophe se déride ;Avec l’Equerre je présideA ses voluptueux loisirs ;Et, loin des bras de la mollesse,Dans le cercle de la sagesseIl emprisonne ses plaisirs. L’adorable Moitié du Monde N’embellit jamais ces beaux lieux.L’éclair part, le Tonnerre gronde,La foudre éclatte de ses yeuxQuelle fatale destinée ! - - -Pourquoi le Ciel l’a-t-il ornéeDe mille dangereux appas ?Qu’elle en soit à jamais bannie !Francs-Maçons ! auprès de Sylvie,Que vous serviroient vos Compas ? Que vois-je ? Quel zéle barbare, Armé d’un glaive ensanglanté,Pour sauver les Hommes s’empareDes droits de la Divinité ?Est-ce, ô Dieu ! prendre ta défense ?Monstres affreux d’Intolérance !Monstres par les Enfers vomis !Soïez touchés d’un noble éxemple ;Accourez, voïez dans mon TempleEsprits partagé’s, cœurs unis. » A ces mots, s’avance Harpacrate, Couvert de feüilles d’Olivier;Sur son front sa douceur éclate,Il me ceint du sacré Tablier, &c. Est et Fideli tuta silentio merces. Horace. Chanson MaçonneSur l’Air : Adam à sa postérité. I.Le Vénérable. Allons, mes Fréres ! à l’ouvrage. Dérobés aux vulgaires yeux,A l’envi faisons tous usageDe nos Outils mistérieux.Laissons le Guerrier témérairePaïer de son sang ses Lauriers ;Prenons la Trüelle & l’Equerre ;Maîtres ! maçonnez les prémiers. Le Chœur des Maîtres. Maçonnons : La Vertu nous guide ; Que la Paix soit le fondementD’un Palais élevé, solide,Cimenté par le sentiment. II.Le Vénérable. Ramenons la douce harmonie Parmi les farouches Mortels ;Une heureuse Amitié nous lie,Erigeons lui tous des Autels.Des Cimbres imitons l’éxemple ;Leurs Tentes étoient leurs Maisons ;Mais la Concorde avoit un TempleChez ce Peuple de Francs-Maçons. Le Chœur de tous les Fréres. Maçonnons : la vertu nous guide &c. III.Le Vénérable. C’est assez ; qu’au travail, mes Frères ! Succède le délassement.De Nectar emplissons nos verres ;Et vidons les en Maçonnant. Les plaisirs, que le Maçon aime,Sont soumis à la gravité ;Minerve y préside elle-mêmeSous l’habit de la Volupté. Le Chœur. Obéissons au Vénérable ; Sur lui seul fixons tous les yeux ;Réparons nos forces à table ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux ;Buvons ; nous Maçonnerons mieux. Par le Frère Balleudannellanvilléamiukel.