Table des Matieres Anonym Moralische Wochenschriften Klaus-Dieter Ertler Herausgeber Michaela Fischer-Pernkopf Herausgeber Katharina Jechsmayr Mitarbeiter Stefanie Lenzenweger Mitarbeiter Martin Stocker Mitarbeiter Sarah Lang Gerlinde Schneider Martina Scholger Johannes Stigler Gunter Vasold Datenmodellierung Applikationsentwicklung Institut für Romanistik, Universität Graz Zentrum für Informationsmodellierung, Universität Graz Graz 24.05.2019 o:mws.431 Anonym: Le Spectateur français ou le Socrate moderne. Paris: Etienne Papillon 1716, 453-480 Le Spectateur ou le Socrate moderne 2 071 1716 Frankreich Ebene 1 Ebene 2 Ebene 3 Ebene 4 Ebene 5 Ebene 6 Allgemeine Erzählung Selbstportrait Fremdportrait Dialog Allegorisches Erzählen Traumerzählung Fabelerzählung Satirisches Erzählen Exemplarisches Erzählen Utopische Erzählung Metatextualität Zitat/Motto Leserbrief Graz, Austria French France 2.0,46.0

Table des Matieres A.

Ainez de Familles riches sont d’ordinaire des Enfans gâtez, . . . 134

Alcibiade Le.) ou de la Priere, Dialogue de Platon abrégé, . . . 444 - 449

Alcoran cité sur le voïage de Mahomet dans les Cieux, &c. . . . 19

Alexandre le Grand a voulu insinuer à la posterité qu’il avoit commandé une Armée de Géans, . . . 163

Allegorie sur le Plaisir & la Douleur, . . . 339 - 341

Ami bourru & aussi variable que le Tems, . . . 395, 396

Amour produit l’Amour, une des meilleures Pieces, qui ait paru sur le Théatre Anglois, . . . 368

Ane indéterminé entre deux bottes de soin, . . . 372

Animositez qui regnent en Angleterre, . . . 56

Apparition des Esprits n’est point chimerique, . . . 99

Arable (Babe) riche Heritiere, . . . 176

Argenson (Brigide) possede à fond l’exercice de l’Eventail, . . . 408

Elle est indéterminée entre ses deux Amans, Chruson & Galix’e, . . . 409

Argentré (D’) a écrit l’Histoire de Bretagne, . . . 42

Ariste & Aspatie fournissent un Exemple d’un Mariage bien assorti, . . . 170

Aristote étoit un grand Génie du second ordre, . . . 226

Il a dit que le Monde est une Copie des Idées, qui sont dans l’Entendement Divin, &c. . . . 249

Athée amoureux de ses Ouvrages jusques à la Mort, . . . 253

Athées zélez pour leur Dogme tombent dans des absurditez ridicules, . . . 350 – 352, 353

On ne sauroit se fier à eux, . . . 354

Ceux d’Angleterre ont embrassé le Déisme, . . . 355

Atheniens consultent l’Oracle de Jupiter Ammon, . . . 447

La Réponse qu’ils en reçurent, . . . 448

Avanture de Pontignan avec deux Dames . . . 10 – 13

d’un Seigneur Anglois à Paris, . . . 47

de 2 Cavaliers de la même Nation, . . . 199

de Constance & de Théodose, . . . 240 - 249

d’un Irlandois Suborneur d’une jeune Aprentisse, . . . 329 - 333

d’un Galand avec plusieurs de ses Maîtresses, . . . 362 - 365

d’un Castillan & de sa Femme, . . . 421 - 424

Aulu-Gelle cité, . . . 432

Avocats qui n’emploient leur Eloquence qu’à défendre la Justice, sont en petit nombre, . . . 282

plaident sur tout ce qui s’offre, &c. . . . 421 - 414

Auteurs de Feuilles volantes n’ont pas le même avantage que ceux qui écrivent de gros Volumes, . . . 141

En général les Auteurs sont des Taupes, les uns à l’égard des autres, . . . 145

Ils ont un grand avantage sur les Maîtres de tous les beaux Arts, . . . 251

Ceux qui répandent le Vice & l’Erreur sont les Ennemis du Genre Humain. . . . 252

Ceux, dont la Morale est severe, rebutent certains Lecteurs, . . . 315

B.

Baaillement pratiqué le jour des Rois en Angleterre, . . . 320

Bacon (Le Chev. François) étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226

Ce qu’il dit d’un Sollicitent rusé, . . . 301

Banquerote, à quoi attribuée en Hollande, . . . 226

Bareface est le Favori des Dames, . . . 209, 210

Bayle (Pierre) a publié une Dissertation sur l’Ame des Bêtes, . . . 126

Beau Genie & grand Genie, Titres qu’on prodigue à l’égard de certains Auteurs, . . . 221

Bel Esprit, ce que les François entendent par-là, . . . 222

Bequetez de la Poule, ou Maris gouvernez par leurs Femmes, . . . 293 - 299

Berger, qui se divertissoit à faire sauter des Œufs en l’air, &c. . . . 227

Bêtes, dont l’Instinct est borné à un petit nombre d’Objets, . . . 123, 124

Elles possedent les Passions & les Sensations, dans un degré plus éminent que nous-mêmes, . . . 127

Elles se bornent à un seul mets, . . . 400

Biblis, Rusée, qui est la Rivale de toutes les Femmes, . . . 365

Bienséance que les Anciens n’observoient pas dans leurs Similitudes, . . . 223

C’est une Découverte moderne, . . . 224

Boileau est le Poëte le plus châtié qu’il y ait entre les Modernes, . . . 336

Bonheur ne peut s’atteindre dans cette Vie, . . . 404

Bonne Education n’est que le Singe du bon Naturel, . . . 256

Bon Naturel merite d’être encouragé, . . . 256 - 260

C’est le fruit d’un heureux Temperament, . . . 257

D’où vient la fausse idée qu’on s’en fait dans le Monde, . . . 259

C’est aussi une Vertu morale, . . . 300

Il y a trois moïens pour la distinguer de l’autre, . . . 301

Bonté du cœur, source infinie de plaisirs, . . . 407

Boyle (Robert) cité à l’occasion d’un certain Mineral, . . . 26

Sur ce qu’il dit des yeux de la Taupe, . . . 130

Brown (Le Chev. Tho.) Auteur du Livre intitulé la Religion du Medecin, . . . 304

Burnet (Th.) cité sur les occupations de la Vie, . . . 188

C.

L’Auteur, qui se désigne par cette Lettre, souhaiteroit que tous les honnêtes Gens se liguassent ensemble, . . . 151

Il leur propose la signature d’un Formulaire, . . . 153

Il n’oublie rien pour éteindre l’Esprit de Faction, . . . 155

Quel est l’embarras où il se trouve à la Ville & la Campagne, . . . 171

Les différentes idées qu’on a de lui à la Campagne, . . . 172, 173, 177

Calcul est la mesure de tout ce qu’on estime dans le monde, . . . 289, 191

Calixte, Amant bienfait & poli de Brig. Argenson, . . . 409

Capitaine qui faisoit des Recruës, se donne des airs imperieux, . . . 177

Il fait sotement l’agréable, . . . 178

Il est relevé par un Quakre, . . . 179

Il ne se déconcerte point pour cela, . . . 180

Cardan cité par le Dr. Moor sur le Méchanisme de la Taupe, . . . 129

Castillan, qui eut un triste sort, . . . 411 – 424

Catholiques Romains ont une idée singuliere sur les peines des Ecrivains d’une Morale relâchée, . . . 252

Cato, la plus insigne Rusée qu’il y eut de son tems, . . . 362, 363

Caton imprime plutôt le respect que l’Amour par sa grande severité, . . . 258

Celestin possede une égalité d’ame à toute epreuve, . . . 185

Celinde affligé d’avoir un Mari débauché, 308 - 311

Cérémonies superstitieuses introduites dans l’Eglise, . . . 430. 457

Cesar avoit un grand fonds de bon naturel, . . . 28

Son affectation de vouloir dicter à trois personnes à la fois étoit puerile, . . . 391

Charité qu’on doit aux Pauvres, . . . 302

De quelle maniere pratiquée par Eugene, . . . 303

On peut l’exercer sans s’incommoder, . . . 304

J.C. encherit sur la pensée de Salomon à cet égard, . . . 305

Charlemagne voit sa Fille Imma porter Ingehart sur le dos, . . . 326

Il opine dans un Conseil à les marier ensemble, . . . 327

Chasse est un trafic, dont les avantages n’approchent pas de la perte, . . . 291

Chinois punissent avec severité les Enfans rebelles, . . . 371

Chloé, Rusée la plus inconstante du monde, . . . 365

Elle a un air libre & familier, . . . 440

Christianisme ne rend qu’au bonheur des Particuliers & de la Societé, . . . 356, 357

Chruson, Amant fort riche Brig. Angenson, . . . 409

Ciceron dit qu’un Agneau n’est pas plutôt né, qu’il s’attache à la terre de sa mere, . . . 126

Il nous a donné une ébauche d’Histoire naturelle, &c. . . . 132

Cité, . . . 176. 189. 201. 206. 279

Il étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226

L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 357

Cinna cherche trop à se faire applaudir, . . . 440

Coifure des Dames hausse & baisse . . . 38, - 42

Combat d’un Homme avec son Ombre, sorte d’exercice, . . . 117

Commode le plus infame de tous les Tyrans, . . . 169

Complimens condamnez dans un Sermon de l’Archevêque Tilotson, . . . 67, 71

Conecte (Th.) Moine, fronda les hautes Coifures, qui étoient en vogue dans le 14 Siecle, . . . 41

Constance, Maîtresse de Théodose, a le chagrin de voir que son pere le veut marier à un autre, . . . 241

Elle renonce à ce Mariage, & se fait Religieuse, . . . 243

Elle se confesse á Théodose, ou au P. François, . . . 245, 246

Elle en reçut un Billet & plusieurs Lettres, . . . 247, 248

Elle fut enterrée auprès de lui, . . . 249

Conte Turc sur un Sultan d’Egypte & un Docteur Mahometan, . . . 29, - 31

Contentement de l’Esprit est tout ce qu’on peut attendre ici bas, . . . 234

Contradictions où les Hommes tombent á l’égard de la brieveté de la Vie, . . . 21

à l’égard de leurs desseins, . . . 231

Conversation, où il n’y a rien que d’exquis, approche de la vie des Anges, . . . 53

Celle des Gens de guerre est fort agreable, . . . 195

Coquette doit-être regardée avec mépris, . . . 280

Corinne, vieille Rusée, qui a perdu ses charmes, . . . 361

Elle n’a point de complaisance pour son Mari, . . . 393

Cornaro (Louis) Noble Venitien, rétablit sa santé délabrée par son grand régime, &c.

Corneille vit avec ses Fils comme s’il étoit leur Frere aîné, . . . 382

Cottile ne se plaint jamais, . . . 184

Coverly (M. le Chev. de) fait venire du Posset à ceux qui se plaignent d’être malades en Compagnie, . . . 50

De quelles gens est composée sa Famille, . . . 78

Eloge de son Chapelain, . . . 80, - 82

Ses Domestiques s’empressent à le servir & à le voir, . . . 79, - 84

De quelle maniere il en use avec eux, . . . 79. 85, - 88

Sa Maison de Campagne avoit la réputation d’être hantée de quelque Esprit, . . . 98

Il s’est bien exercé à la Chasse, . . . 116

De quelle maniere il fut traité par deux Hommes de differens Partis, . . . 146

Il est plus zelé Tory à la Campagne qu’à la Ville, . . . 156

Il chasse loin de ses terres, . . . 171

Il accuse les Marchands de n’avoir en vûe que leur profit à tort & à travers, . . . 285, 286

Quel profit lui revient de la Chasse, . . . 291

Courtisans qui manquent de paroles ne devroient pas être plus estimez que de faux Témoins, . . . 282

Ils sont Esclaves des Grands & se repaissent de fumée, . . . 385, 386

Couturier (Alix) débauchée par un Fripon, . . . 329

Elle découvre l’Intrigue d’un Irlandois avec une de ses Apprentisses, . . . 330

Elle le fait arrêter pour vol, . . . 331

Elle se désiste de le poursuivre en Justice, moïennant 50 L. sterl. Qu’il lui païa, . . . 332

Cowley, fameux Poëte Anglois, méprisoit les Richesses, . . . 111

Il dit qu’on ne doit plus s’amuser à des bagatelles, d’abord qu’on est parvenu à l’âge de 40 ans, . . . 135

Son Poëme sur la Résurrection cité, . . . 250

Culte religieux distingue les Hommes des Bêtes, & peut avoir plus d’un Principe, . . . 453

D.

Dampier dit qu’on ne risque point à manger du Fruit bequeté par les Oiseaux, . . . 226

Défaut de certains Hommes qui ne parlent en compagnie que de leurs maux, . . . 50. 182, 183

de ceux qui vivent dans l’indolence, . . . 51. 184

attaché aux differentes Professions que les Hommes embrassent, . . . 411, 412

Devin qui avoit un plaisant stratagême, . . . 387

Dévotion est l’ame de toutes les vertus, & doit être inculquée de bonne heure, . . . 432

mal-entendue jette dans l’Enthousiasme & la Superstition, . . . 434, 435

Diodore de Sicile, cité sur l’Ichneumon, . . . 154

Diogene empêcha un jeune Homme d’aller à un Festin, . . . 399

Dispute du Capit. Sentry avec un jeune Avocat, . . . 413

de quelques Etudians en Droit, . . . 414

Regles qu’on y doit observer, pour la manier honnêtement, . . . 415, - 418

Docteur en Droit amoureux d’une Indéterminée, . . . 2

Domestiques (Bons) doivent être encouragez, . . . 87

Dons naturels & acquis ne doivent être estimez que par le bon usage qu’on en fait, . . . 279, 282

Douleur tire son origine de l’Enfer, &c. . . . 339, - 341

Dryden a laché un trait satirique contre les Femmes d’une humeur badine, . . . 167

Duels défendus en France par un Edit de Pharamond, . . . 35, - 38

Le moïen de les prévenir seroit de condamner les coupables au Pilori. . . . 48

E.

Economie a le même effet sur les Biens, que la bonne Education sur les manieres d’agir, . . . 107

Ecrivains ont un grand avantage sur les Maîtres de tous les beaux Arts, . . . 251

Ceux qui répandent le Vice & l’Erreur sont les Ennemis du Genre Humain, . . . 252

Ceux qui tâchent de divertir sans blesser personne, méritent beaucoup, . . . 317

Ecrivains de Morale suivent la Methode de Galien, . . . 142

Egalité d’ame est ce qu’on doit rechercher, . . . 187

Eginhart, Secretaire de Charlemagne & amoureux de sa Fille Imma, . . . 325

Il se glisse de nuit à l’Apartement de cette Princesse, . . . 36

Il demande à l’Empereur la permission de se retirer, & il obtient cette Princesse en mariage, . . . 327

Eleonore est inconsolable d’avoir perdu son Amant, . . . 235, - 237

Ennius cité, . . . 234

Enthousiasme est un excès dans la Dévotion, &c. . . . 435, 437

Enthousiaste religieux est un triste Objet, . . . 434, 435

Ephraïm, Quakre, Tuteur de la jeune Arable, . . . 177

Il releve avec esprit un Capitaine qui faisoit le badin, . . . 179

Il lui donne une bonne Leçon, . . . 181

Il Epicuriens soutenoient qu’il y avoit des Dieux, . . . 359

Epitaphe d’une Duchesse de Newcastle, . . . 45

de Théodose & de Constance, . . . 249

d’un Homme charitable, . . . 305

Espagne, de quelle maniere on y fait l’Amour, . . . 46

Esprit de Dispute ordinaire parmi les Avocats, . . . 412, - 414

Esprit de Parti cause de grand maux, . . . 147

Il regne beaucoup dans la Grande Bretagne, . . . 148

Il influe sur les Mœurs & l’Entendement, . . . 149

Il fait tomber dans un Sophisme criminel, . . . 150

Il produit d’étranges effets à la Campagne, . . . 155, 157

Il regne dans la Gr. Bret. entre ceux qui possedent les terres & les Marchands, . . . 285

Esprit satirique fondé sur le méchant Naturel, . . . 259, 260

Esprits ambitieux & rusez produisent les Factions, . . . 151

Il seroit à souhaiter qu’on pût les endormir, . . . 344

Eucrate s’entretient avec Pharamond sur les Duels, . . . 35

Eudoxe, Ami de Leontin, s’éleve à une haute fortune, . . . 135

Il fait un échange de son Fils avec la Fille de Leontin, . . . 136

Il se découvre à son Fils, & il lui donne en mariage Leonilla Fille de Leontin, . . . 139

Eventail (Exercice de l’), . . . 60, - 65

Eugene est d’un naturel bon & charitable, . . . 302. 303

Evremond (S.) voudroit qu’on lût des Auteurs divertissans pour se consoler dans les afflictions, . . . 236

Exercice du corps nécessaire pour conserver la santé, . . . 113, - 118. 398

F.

Fables qui renferment des Moralitez, ont toujours été fort estimées, . . . 334

Celles de Jotham & de Nathan font les plus anciennes que nous aïons, . . . 335

Fainéans de Londres qui ne cherchent qu’à corrompres les jeunes Filles, . . . 329

Favoris des Dames sont d’un caractere fort singulier, . . . 208, - 213

Faustine, Epouse de Marc Aurele, étoit d’une humeur volage, . . . 168

Femmes sont d’un naturel plus enjoué que les Hommes, . . . 164

Elles doivent se sentir en garde contre leur panchant naturel, & servir de contrepois aux Hommes, . . . 165

Femmes préferent les Hommes d’une humeur badine à ceux qui ont du bons sens, . . . 167

Leur vivacité ne leur est pas moins fatale après qu’avant le Mariage, . . . 168

Il y en a de si délicates, que tout les rend malades, . . . 186

Celles qui sont galantes ne respirent que la Ja-lousie, . . . 209, 211

De quelle maniere elles doivent se conduire à l’égard de leurs Maris jaloux, . . . 207 – 274

Il y en a qui sont imperieux, &c. envers leurs Maris, . . . 293

Quel est le caractere de celles qu’on appelle Rusées, . . . 360, 361

Il y en a qui ne se mettent pas en peine de ce que leurs Maris croïent de leur conduite, . . . 394

Description de celles qu’on peut nommer des Salamandres, . . . 419

Elles doivent éviter les tentations, . . . 420

Plusieurs d’entr’elles ont un grand desavantage à l’égard de leurs Amans, . . . 425

Feuilles volantes seroient d’un grand usage, si on les empoïoit à ce qu’il faut, . . . 143

Florio, Fils d’Eudoxe, fut élevé chez Leomin, . . . 137

Il devint amoureux de Leonilla, . . . 138

Il obtint pour son Epouse, lorsqu’il s’y attendoit le moins, . . . 139, 139

Foi Carchaginoise, Proverbe Latin, . . . 285, 288

La Fointaine s’est mis en grand vogue par ses Contes, . . . 336

Fourilles (Le Chev. André) n’avoit pas trop bonne opinion du Pr. de Condé . . . 198

François Renégat joue un cruel tour à un Castillan, . . . 422, - 424

Freeport (le Chev. André) défend la Cause des Marchans M. de Coverly, . . . 287, 291

Friandise de nos Repas modernes, . . . 399, 400

G.

Gentilshommes, qui aiment mieux voir périr leurs Enfans de misere, que de les destiner au Négoce, . . . 94

Il y en a qui s’endettent mal à propos, pour soutenir leur rang, . . . 108, 109

Ceux de la campagne se divertissent à éteindre leur Raison, . . . 194

Il y en a plusieurs qui se voïent réduits à ceder leurs Heritages à de nouveaux Maîtres, . . . 291

D’autres passent leur vie à dormir, à boire, &c. . . . 343, 344

Glaphyra, Fille d’Archelaüs, Roi de Cappadoce, eut un Songe extraordinaire, . . . 100

Gosling (George) écrit une Lettre au Spectateur sur le Numéro qu’il avoit choisi dan une Loterie, . . . 375, 376

Grands Genies du premier ordre, . . . 222, - 224

du second ordre, . . . 226

Il y en a qui ne s’amusent qu’à des bagatelles, . . . 227

Italiens se sont appliquez à l’Allegorie, . . . 537

Grands Seigneurs qui donnent audience à leur lever, se produisent de differentes manieres, . . . 388

H.

Hallifax (Le Marquis de) a écrit des Avis d’un Pere à sa Fille, . . . 261

Harington, Auteur d’un Livre Anglois intitulé, La RP. d’Oceana, . . . 297

Hart (Nicolas) fameux Dormeur, . . . 242, 343

Il gagne sa vie à dormir, . . . 344

On travaille à nous donner le détail de ce qu’il a vû en songe, . . . 345, 346

Herode charge son Oncle Joseph de faire mourir Marianne, en cas qu’il périsse en Egypte, . . . 275

A son retour il le fit mourir lui-même, par un principe de jalousie, . . . 276

Il est enragé de voir que Marianne le reçoit avec mépris, . . . 277

Il fit mourir Sohemus & condamner Marianne au dernier suplice, . . . 278

Herodote cité, . . . 47, 371

Heros, dont l’Auteur T. fait le Portrait, . . . 200

Quel est son veritable Caractére, . . . 283, 284

Hesiode cité, . . . 334 – 397

Historien futur pourra décrire au juste ce qui s’est passé sous la Reine Anne, . . . 56, 57

Homere cité, . . . 195, 372

C’étoit un genie du premier ordre, . . . 223

Son Illiade & son Odyssée passent pour des Allegories, . . . 336

Il avoit des Songes d’Or, . . . 345

Hommes, élevez en dignité sont exposez à la Censure & à la Flatterie, . . . 55

On rend justice à leur mérite après leur mort, . . . 55

Il est indigne des Hommes de se fatiguer pour acquerir des richesses, . . . 112

Ils doivent se tenir en garde contre leur penchant naturel, . . . & servir de contrepois aux Femmes, . . . 165

Ce que c’est qu’un Homme d’esprit, qui aime le Plaisir & la Joïe, . . . 189, - 194

Ceux qui sont formez pour le commandement des Armées, ne méprisent la Vie que par réflexion, . . . 197

Vains souhaits des jeunes Etourdis & des Vieux Débauchez, . . . 201, - 204

Ceux qui veulent être vieux long tems, doivent commencer de bonne heure à le devenir, . . . 205

Les Jeunes & les Vieillards ont à peu près les mêmes défauts & les mêmes avantages, . . . 206

Leur inconstance à poursuivre un certain but est la source de leur misere, . . . 229

Ils sont les Créatures les plus inconstantes de l’Univers, . . . 230, - 232

Ils sont industrieux à se tourmenter, . . . 255, - 256

Ils ne sauroient avoir trop de douceur les uns pour les autres, . . . 258

Ils ne doivent être estimez que par l’usage qu’ils font de leurs talens, . . . 281

Quels sont ceux qui méritent le titre de Grands Hommes & de Genies superieurs, . . . 283

Ils sont tous Esclaves de leurs Femmes ou de leurs Maîtresses, . . . 298

Ils suivent plutôt le Caprice que la Raison en certains cas, . . . 373

La plûpart dépensent au-delà de leur revenu, sur des esperances chimeriques, . . . 377

Ils contractent certains défauts, suivant le genre de vie qu’ils embrassent, . . . 411, 412

Ils sont naturellement perfides, &c. à l’égard de leurs Maîtresses, . . . 420

Ils n’ont en vûe que l’intérêt dans le choix de leurs Femmes, . . . 425, 428

Ceux qui ont trop bonne opinion d’eux-mêmes, risquent de se perdre de réputation, . . . 439

Portrait d’un Homme qui modere ses desirs par la Raison, . . . 442

Honeycomb (Mr.) se pique de connoître les Hommes, . . . 72

Quelle idée il a de ce qu’on apelle un galant Homme, . . . 189, 190

Il voudroit qu’on l’estimât à cause de ses bonnes Fortunes, . . . 192

Sa politique pour se faire aimer des pelles, 209

Horace cité, 14. 20. 43. 49. 54. 66. 77 101. 104. 107. 153. 164. 207. 221. 228. 232. 270. 308. 314. 341. 353. 359. 392. 404. 410. 418. 438.

C’est le plus beau Genie qu’il y eut dans le siecle d’Auguste, . . . 335

Il a pris l’Odyssée pour une Allegorie, . . . 336, 337

Hudibras, fameux Poëme Anglois, . . . 414

Hyane, Rusée, qui affecte un air mélancholique & indolent, . . . 364

I.

Ichneumon, petit Animal qui casse les œufs du Crocodile, . . . 154

Imma, Fille de Charlemagne, devient amoureuse d’Egingart, . . . 325

Elle admet de nuit à son Appartement, &c. . . . 326

Elle devient son Epouse, . . . 328

Immortalité de l’Ame prouvée, . . . 102, - 106

Incrédulité fondée sur l’inattention, l’orgeuil, &c. . . . 355, 356, 357

Indéterminées doivent faire trois refléxions, . . . 5

Instinct des Animaux est quelque chose de fort mysterieux, . . . 124, 125

Ses differens effets sur une Poule & une Couvée de Canards, . . . 125, 126

Il leur enseigne à faire usage de leurs armes, . . . 128

Irlandois, qui suborne une jeune Apprentisse de Londres, . . . 329, 330

Il est arrêté pour vol, . . . 331

Il païe 50. L. sterl. pour se tirer d’affaires, . . . 332

Il écrit de sa Prison une Lettre fort gaillarde au Spectateur, . . . 333

Irus, pour éviter la Pauvreté, donne dans une Avarice sordide, . . . 110

J.

Jalousie d’un Mari est fondée sur l’Amour, . . . 261, 262

Quels en sont les tristes effets, . . . 263, 264, 275, 278

C’est une Vice qui regne le plus dans les Païs chauds, . . . 268

Il mérite que la Femme y cherche un prompt remede, . . . 269

Jesus, fils de Sirach, donne un bon Conseil aux Maris, . . . 265

Jeûne est d’un grand secours pour prévenir ou guérir les Maladies, . . . 402

Job étoti fort charitable & d’un bon naturel, . . . 306, - 308

Joseph, Historien des Juifs, cité, . . . 100. 274

Joseph, Oncle d’Herode, découvre à Marianne l’ordre secret qu’il avoit reçu de son Neveu, . . . 275

Il lui en coûta la vie, . . . 276

Juchoir (Nathan) décrit la maniere dont la Femme en use à son égard, . . . 294, - 297

Il exhorte l’Auteur T. à publier une Dissertation en faveur des bequetez de la Poule, . . . 297, - 299

Jupes garnies de cercles de baleine, critiquées, . . . 159, 164

Jupiter Ammon, consulté par les Atheniens, se déclare en faveur des Lacedemoniens, . . . 448

Juvenal cité, . . . 38. 40. 113. 273. 300. 328. 444

Il parle d’un Mari Dormeur, qui fit la Fortune en ronflant, . . . 345

L.

L’Auteur, qui se désigne par cette Lettre répond à Leonor, . . . 15

Il trouve que les Dames ont beaucoup profité de ses speculations, . . . 18

Il a dessein d’exposer à la risée du Public ceux qui cherchent à seduire les Dames, . . . 19

Il décrit ce qu’un Historien futur pourra dire de lui, . . . 58, 59

De quelle maniere il vit à la Maison de Campagne du Chev. De Coverly, . . . 78

Il fait la description d’une Promenade voisine, où il alloit quelquefois, . . . 95, 96

Il conseille a ses Lecteurs d’aller souvent à cheval pour se bien porter, . . . 116

Il s’exerce à tirer une cloche sans batant, &c. . . . 117

Il donne un bon conseil à certains Savans, . . . 118

Ils souhaiteroit que la Societé Roïale de Londres publiât une Histoire naturelle des Animaux, . . . 131

Il est encouragé à poursuivre son dessein par le débit de ses Feuilles, &c. . . . 144

Il n’écrit pas pour les Taupes, . . . 145

Il donne ses avis à Eleonore, pour la consoler dans son affliction, . . . 237, - 239

Il cherche à satisfaire le goût de ses differens Lecteurs, . . . 314, - 316

Il forme une Allegorie sur le Plaisir & la Douleur, . . . 339, - 341

Il reflechit sur la Lettre d’un Pere irrité, . . . 367, - 369

Il justifie ce qu’il a dit dans le LI. Discours, 369, 370

Laërtes, Gentilhomme endetté par une sote vanité, 109, 110

Lecteurs Mercuriens & Saturnins peuvent se plaire à ces Discours, . . . 314, - 316

Leonilla, Fille de Leontin, fut élevée chez Eudoxe, . . . 137

Elle conçut un secret panchant pour Florio, . . . 138

Elle fut mariée avec lui, . . . 139, 140

Leontin, Ami d’Eudoxe, s’applique à cultiver son Esprit, . . . 135

Il fait un échange de sa belle avec le Fils d’Eudoxe, . . . 136

Lèpre d’un Prince Grec guérie d’une plaisante maniere, . . . 397

Lettre de Sam Hopewell à l’Auteur L. sur sa Maîtresse Indéterminée, . . .4

de Leonor au même sur le Catalogue de Livres qu’il avoit promis aux Belles, . . . 14

de M. Wimble au Chev. De Coverly, . . . 90

de M. Honeycomb à l’Auteur C. . . . 174

d’Eléonore à l’Auteur L. . . . 235, - 237

de Nathan Juchoir à l’Auteur T. . . . 292, - 299

de Celinde à l’Auteur T. . . . 308, - 311

d’un Anonyme á l’Auteur L. sur une Partie de Sifleurs, . . . 318, - 320

d’une Dame, qui s’étoit mariée sans l’aveu de son Pere, a l’Auteur L. . . . 321, - 323

d’Alix Conturier, sur un Irlandois, qui avoit suborné son Apprentisse, . . . 328, - 332

de cet Irlandois à l’Auteur, . . . 333

d’un Anonyme à l’Auteur L. sur un insigne Dormeur, . . . 342, - 346

d’un autre Anonyme à l’Auteur T. sur les Filles rusées, . . . 359, - 365

d’un Pere irrité à son Fils, . . . 366, 367

de George Gosling à l’Auteur L. sur le N° qu’il avoit choisi dans une Loterie, . . . 375, 376

de l’Auteur T. à un jeune Homme qui avoit perdu son Pere, . . . 384

d’un Mari, dont la Femme ne lui témoignoit que de l’indifference, . . . 393, - 395

d’un Ami, qui se plaint de la bizarrerie d’un autre, . . . 395, 396

de T. B. sur la Tranquillité de l’Esprit, 404, 407

de Brig. Argenson indéterminée à l’égard de ses deux Amans, . . . 407, - 410

de Statira au Spectateur à l’égard de son Amant, . . . 425, 426

de la même à son Amant Oroondates, 427, - 431

Lever des grands Seigneurs est une pure Farce, . . . 387, - 391

Livres réduits à leur quintessence n’occuperoient guère de place, . . . 142

Ce sont des Legs que les grands Genies laissent à la Posterité, . . . 250

Locke (Mr.) cité sur l’idée que nous avons du tems, . . . 27

sur l’association des Idées, . . . 97

sur le méchanisme d’une Huître, . . . 128

Louis XIV. s’est rendu glorieux pour avoir banni le faux Point d’Honneur de son Royaume, . . . 48

Lucceius a de beaux talens sans aucune ambition, . . . 442, 443

Lucrèce, croïoit l’Apparition des Esprits, . . . 99

Il est cité, . . . 292

M.

Macbeth, Tragedie de Shakespear, . . . 441

Mahomet, son voyage dans les Cieux, &c. . . . 29

Malebranche cité sur les differentes idées que diverses Creatures peuvent avoir du Tems, . . . 28

Marc Antoine somme Herode qu’il ait à se rendre en Egypte, . . . 275

Marc Aurele, un des plus sages Empereurs Romains, . . . 287, - 291

Mariage mal assorti d’une Coquette & d’un Rustre, . . . 169

Celui d’Ariste & d’Aspatie est bien essorti, . . . 170

Marianne, Epouse d’Herode, étoit une charmante Princesse, . . . 274

Elle eut beaucoup de peine à calmer les soupçons d’Herode, . . . 276

Elle ne répond à ses caresses que par des airs de mépris & des invectives, . . . 277

Elle est condamnée à la mort, . . . 278

Maris jaloux regrettent beaucoup la perte de leurs Femmes, . . . 265

On peut les distinguer en trois classes, . . . 266, - 268

Ils sont vifs dans leurs applications, &c. . . . 270, 271

Ils ont de l’antipatie pour tout ce qui leur paroît mysterieux, . . . 272

Il y en a de bons, qu’on appelle bequetez de la Poule, . . . 293

Exemple d’un bon Mari, . . . 312

Les Débauchez ne doivent point attendre que leurs Femmes leur soient fidèles, . . . 313

Martial cité, . . . 26, 182

Mathematiciens ne veulent admettre que des Démonstrations, . . . 411

Mauvais Goût qui regne dans le monde à l’égard de l’usage qu’on y fait de ses talens, . . . 281, 282

Medecins sont souvent      Docteurs en Compagnie, . . . 412

Medecina Gymnastica, Titre d’un Livre Anglois, . . . 117

Mérite est toujours exposé à la Censure du Public, . . . 54

Mesnager (Marthe) écrit un Billet à son Epoux, . . . 313

Ministre d’Etat, qui faisoit de plaisantes Questions à ses Courtisans, . . . 389

Mirtoline observe une trop grande régularité dans sa démarche, . . . 400

Mirza, Voïez Vision.

Modestie consiste à n’avoir qu’une médiocre opinion de soi-même. . . . 438, 439

C’est la plus desirable de toutes les qualitez, . . . 441

N.

Newton (M. le Chev.) son calcul sur la Comete qui parut en 1680, . . . 56

Nigidus a fait une remarque sur les Mots Latins, terminez en osus, . . . 435

Nouveaux Convertis de toutes les sortes sont méprisez des honêtes Gens, . . . 228

Numeros que certains Personnes choisissent dans une Loterie, . . . 373, - 375

O.

Oiseaux, dont chaque espèce suit un certain Plan pour la structure de son Nid, . . . 120

Il n’y a que les Males qui chantent, . . . 166

Oroondates, Amant de Statira, . . . 426

Orpheline (L’) Tragedie de Mr. Otway, . . . 420

Ovide cité, . . . 249. 269. 348. 425.

P.

Paiens ont cru les tourmens d’une autre Vie, . . . 9

Paradin a décrit la haute Coifure qui étoit à la mode dans le 14 Siecle, . . . 41, 42

Pédans de plusieurs sortes, . . . 74, - 77

Peres & Meres doivent pardonner les bévuës de leurs Enfans qui s’en repentent, . . . 323 – 325

Exemple d’une Pere dénaturé, . . . 366, 367

d’un Pere tendre & raisonnable, . . . 278, 378. 382

Portrait d’n bon Pere, . . . 380, 382, - 384

Perse cité, . . . 1. 158

Persans instruisoient leurs Fils de 3 choses, . . . 47

Ils ne croïoient pas qu’un Fils legitime pût être Parricide, . . . 370

Petits Maîtres en veulent à l’honneur de toutes les Belles, . . . 210

Pharamond s’entretient avec Eucrate sur les Duels, . . . 33

Il publia un Edit contre les Duels, . . . 35, - 38

Phedre cité, . . . 60. 85. 89

Philandre amoureux de Sylvie, . . . 3

Philosophes anciens ont vêcu long-tems, &c. . . . 402

Pindare tire son origine du Ciel, &c. . . . 339, - 341

Charnel dégoûte par la jouissance, . . . 428, 429

Plaisirs utiles & innocens qui peuvent servir à desenuïer les Hommes, . . . 24, 25

Platon a cru que l’Ame séparée du corps retient les passions qu’elle a eues durant cette vie, . . . 7

C’étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226

L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 357

Ce qu’il dit de Socrate, . . . 338

Il a écrit un Dialogue de la Priere, . . . 444

Plaute cité, . . . 145

Plutarque a dit qu’on ne doit pas haïr ses Ennemis, . . . 148

Poëtes modernes s’efforcent en vain d’imiter Pindars, . . . 225

Point d’honneur dans les Hommes & dans les Femmes, . . . 44

Le plus grand affront, qu’on puisse faire à un Homme, consiste à lui donner un démenti, . . . 46

Pontignan emmailloté par deux Dames, . . . 10, - 13

Priere (De la ) ou le 2 Alcibiade, Dialogue de Platon abregé, . . . 444, - 449

Celle d’un Poëte Grec & des Lacedemoniens, . . . 447

La derniere est approuvée par l’Oracle de Jupiter Ammon, . . . 448

Dominicale, comparée avec les Maximes de So-crate, . . . 450, 451

Prodicus, Inventeur de la Fable, où il supose qu’Hercule rencontra le Plaisir & la Vertu, . . . 337

Proverbe Espagnol contre les Fripons, . . . 151

Latin, Foi Carthaginoise, . . . 285, 288

Grec, sur ce que chacun engendre son fou semblable, . . . 369

Italien, sur l’esperance mal-fondée, . . . 377

Providence Divine peut se démontrer par l’Histoire naturelle des Animaux, . . . 119. 121

En particulier, par le méchanisme de la Taupe, . . . 129

Pyrrhoniens ont tort d’attribuer de la Raison aux Bêtes, . . . 122

Pythagone enseignoit à honorer les Dieux, &c. . . . 358

Q.

Question ridicule de certains Scolastiques, . . . 272

Quickly Mad. Rebecca) & son Epoux s’ennuïent ensemble, . . . 51

Quicket (Mr.) Consin de Mad. Arable, . . . 176

R.

Raison donné aux Hommes pour leur servir de Guide, . . . 434

Religion Catholique Romaine est un amas de Superstitions, . . . 436

Remedes ne servent qu’au défaut de l’Exercice & de la Temperance, . . . 399

Romains, généreux aux dépens des autres Nations, . . . 288

Romans, dont les Avantures roulent sur la Chasteté des Dames & de la Bravoure des Hommes, . . . 45, 46

Roxane exige de trop grands respects, . . . 440

Ruricola, plein d’esprit & de vertu, a laissé un Fils d’un caractere tout opposé, . . . 381

Il avoit eu trop de severité à son égard, . . . 382

Rusées, quel est leur Caractere, . . . 360, 361

S.

Salamandres, sorte de Femmes, . . . 419

Saluste nous a donné le caractere de Cesar & de Caton, . . . 258

Scholastiques aiment beaucoup les Définitions, . . . 412

Sectes séparées de l’Eglise Anglicane ont une dose d’Enthousiasme, . . . 436

Sedition populaire à Rome calmée par le recit d’une Fable, . . . 335

Seneque cité sur le mauvais usage qu’on fait de la vie, . . . 20

Sens commun ne se trouve guères avec une haute Fortune, . . . 390

Sentry (Le Capit.) raisonne sur le courage machinal des Soldats, . . . 196, - 201

Il combat l’envie qui regne dans le monde, 286

Sa dispute avec un jeune Avocat, . . . 412, - 414

Shakespear étoit un grand Genie du premier ordre, . . . 224

Sifleurs (Partie de) à Bath, . . . 318, 319

Socrate pria ses Amis d’offri un Cocq à Esculape, . . . 358

Il se garantit de la Peste par sa Tempérance, . . . 402

Sa maniere d’argumenter, . . . 416

Son Entretien avec Alcibiade sur la Priere, . . . 445, - 449

Sohemus reçoit un ordre secret d’Herode à l’égard de Marianne, . . . 276

Il le revéle à cette Princesse, . . . 277

Il est condamné à la Mort, . . . 276

Soldats ordinaires n’ont point d’amitié les uns pour les autres, . . . 199

Sophi de Perse se donne une foule de titres pom-peux, . . . 224

Spencier, dont la Reine Enchanteresse est une Allegorie perpetuelle, . . . 337

Statira écrit une Lettre au Spectateur sur le chapitre de son Amant, . . . 425, 426

Elle en écrit une autre à son Amant Oroondates, . . . 427, - 436

Strephon, Amoureux d’une Indéterminée, . . . 3

Sublime qui se trouve dans le V.T. . . . 223

Superstition est un excès de la Religion en général, &c. . . . 435, 437

Sydenham, Médecin Anglois, conseille fort l’exercice d’aller à cheval, . . . 117

T.

Tartares ont une plaisante imagination, . . . 155

Taupe a tous ses membres proportionnez à son état, . . . 129

Elle n’a qu’une seule humeur dans les yeux, . . . 130

Temperance, grand Préservatif de la Santé, . . . 398

Regles qu’on ne pourroit prescrire à l’égard du manger & du boire, . . . 401

Temple en Egypte, où l’on adoroit un petit Singe noir, . . . 163

Temple (Le Chev. Guill.) cité sur les coups qu’on doit boire dans un repas, . . . 401

Tendresse des Animaux pour leurs Petits, . . . 121, - 124

Elle ne monte pas des Petits à ceux qui leur ont donné le jour, . . . 122

Elle a le plus d’étendue dans les Hommes que dans les Bêtes, . . . 324

Celle des Peres l’emporte sur celle des Enfans, . . . 370

Terence cité, . . . 72. 225. 255. 261. 263. 378

Tersett (Mr. Henri) & son Epouse ne peuvent que s’ennuïer ensemble, . . . 51

Théodose, Amant de Constance, lui écrit un Billet d’Adieu, & part de chez lui, . . . 242

Il se fait Religieux, & prend le nom de P. François, . . . 244

Il reçoit la Confession de sa Maîtresse, . . . 245, 246

Il se découvre à elle par un Billet, & lui écrit ensuite plusieurs Lettre, . . . 247, 248

Théologiens Anglois ont fait usage d’une Idée Platonique, . . . 8

Théologiens font souvent les Docteurs en Compagnie, . . . 412

Thyrsis, Amoureux d’une Indéterminée, . . . 3

Tigellius étoit un Homme fort bizarre, . . . 233

Tilloston, Archev. de Cantorbery, cité sur les Complimens, . . . 67, 75

Tranquillité d’Esprit est le but auquel on doit aspirer, . . . 404, 407

V.

Varillas est de si bonne humeur, qu’il fait toujours plaisir à la Compagnie où il se trouve, . . . 52, 53

Vertus, dont l’exercice peut garantir les Hommes de l’Ennui, . . . 22, 23

Vieillese respectable, lorsqu’elle est accompagnée de la Vertu, . . . 205

Virgile cité, . . . 7. 9. 33. 95. 118. 125. 144. 146. 152. 170. 213. 240. 321. 346. 366. 369. 385.

Il a réduit en Allegories la Philosophie Platonique, . . . 9

Il étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226

Vision de Mirza sur la Vie Humaine, . . . 214, 221

Volupteux, en quoi consiste sa punition après la mort, . . .8

W.

Waller cité sur le mérite des Poëtes discrets & modestes, . . . 317

Wimble (M. Guill.) Gentilhomme d’un caractere fort singulier, . . . 91

Il prend l’Auteur C. pour un Fanatique, . . . 158

Il le soupçonne d’avoir tué quelqu’un, . . . 172

X.

Xenophon donne l’idée d’un Prince parfait dans sa Cyropedie, . . . 257

Il devoit avoir lui-même beaucoup d’humanité, . . . 25

L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 337

Il nous dit que son Prince offrit des victimes à Jupiter, &c. . . . 358

Z.

Zele mal entendu est la source de mille maux, . . . 346

Il ne procede souvent que de l’orgueil, &c. . . . 347, - 349

Celui de l’Athéisme est quelque chose de monstrueux & absurde. . . . 350, 352

F i n

Table des Matieres A. Ainez de Familles riches sont d’ordinaire des Enfans gâtez, . . . 134 Alcibiade Le.) ou de la Priere, Dialogue de Platon abrégé, . . . 444 - 449 Alcoran cité sur le voïage de Mahomet dans les Cieux, &c. . . . 19 Alexandre le Grand a voulu insinuer à la posterité qu’il avoit commandé une Armée de Géans, . . . 163 Allegorie sur le Plaisir & la Douleur, . . . 339 - 341 Ami bourru & aussi variable que le Tems, . . . 395, 396 Amour produit l’Amour, une des meilleures Pieces, qui ait paru sur le Théatre Anglois, . . . 368 Ane indéterminé entre deux bottes de soin, . . . 372 Animositez qui regnent en Angleterre, . . . 56 Apparition des Esprits n’est point chimerique, . . . 99 Arable (Babe) riche Heritiere, . . . 176 Argenson (Brigide) possede à fond l’exercice de l’Eventail, . . . 408 Elle est indéterminée entre ses deux Amans, Chruson & Galix’e, . . . 409 Argentré (D’) a écrit l’Histoire de Bretagne, . . . 42 Ariste & Aspatie fournissent un Exemple d’un Mariage bien assorti, . . . 170 Aristote étoit un grand Génie du second ordre, . . . 226 Il a dit que le Monde est une Copie des Idées, qui sont dans l’Entendement Divin, &c. . . . 249 Athée amoureux de ses Ouvrages jusques à la Mort, . . . 253 Athées zélez pour leur Dogme tombent dans des absurditez ridicules, . . . 350 – 352, 353 On ne sauroit se fier à eux, . . . 354 Ceux d’Angleterre ont embrassé le Déisme, . . . 355 Atheniens consultent l’Oracle de Jupiter Ammon, . . . 447 La Réponse qu’ils en reçurent, . . . 448 Avanture de Pontignan avec deux Dames . . . 10 – 13 d’un Seigneur Anglois à Paris, . . . 47 de 2 Cavaliers de la même Nation, . . . 199 de Constance & de Théodose, . . . 240 - 249 d’un Irlandois Suborneur d’une jeune Aprentisse, . . . 329 - 333 d’un Galand avec plusieurs de ses Maîtresses, . . . 362 - 365 d’un Castillan & de sa Femme, . . . 421 - 424 Aulu-Gelle cité, . . . 432 Avocats qui n’emploient leur Eloquence qu’à défendre la Justice, sont en petit nombre, . . . 282 plaident sur tout ce qui s’offre, &c. . . . 421 - 414 Auteurs de Feuilles volantes n’ont pas le même avantage que ceux qui écrivent de gros Volumes, . . . 141 En général les Auteurs sont des Taupes, les uns à l’égard des autres, . . . 145 Ils ont un grand avantage sur les Maîtres de tous les beaux Arts, . . . 251 Ceux qui répandent le Vice & l’Erreur sont les Ennemis du Genre Humain. . . . 252 Ceux, dont la Morale est severe, rebutent certains Lecteurs, . . . 315 B. Baaillement pratiqué le jour des Rois en Angleterre, . . . 320 Bacon (Le Chev. François) étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226 Ce qu’il dit d’un Sollicitent rusé, . . . 301 Banquerote, à quoi attribuée en Hollande, . . . 226 Bareface est le Favori des Dames, . . . 209, 210 Bayle (Pierre) a publié une Dissertation sur l’Ame des Bêtes, . . . 126 Beau Genie & grand Genie, Titres qu’on prodigue à l’égard de certains Auteurs, . . . 221 Bel Esprit, ce que les François entendent par-là, . . . 222 Bequetez de la Poule, ou Maris gouvernez par leurs Femmes, . . . 293 - 299 Berger, qui se divertissoit à faire sauter des Œufs en l’air, &c. . . . 227 Bêtes, dont l’Instinct est borné à un petit nombre d’Objets, . . . 123, 124 Elles possedent les Passions & les Sensations, dans un degré plus éminent que nous-mêmes, . . . 127 Elles se bornent à un seul mets, . . . 400 Biblis, Rusée, qui est la Rivale de toutes les Femmes, . . . 365 Bienséance que les Anciens n’observoient pas dans leurs Similitudes, . . . 223 C’est une Découverte moderne, . . . 224 Boileau est le Poëte le plus châtié qu’il y ait entre les Modernes, . . . 336 Bonheur ne peut s’atteindre dans cette Vie, . . . 404 Bonne Education n’est que le Singe du bon Naturel, . . . 256 Bon Naturel merite d’être encouragé, . . . 256 - 260 C’est le fruit d’un heureux Temperament, . . . 257 D’où vient la fausse idée qu’on s’en fait dans le Monde, . . . 259 C’est aussi une Vertu morale, . . . 300 Il y a trois moïens pour la distinguer de l’autre, . . . 301 Bonté du cœur, source infinie de plaisirs, . . . 407 Boyle (Robert) cité à l’occasion d’un certain Mineral, . . . 26 Sur ce qu’il dit des yeux de la Taupe, . . . 130 Brown (Le Chev. Tho.) Auteur du Livre intitulé la Religion du Medecin, . . . 304 Burnet (Th.) cité sur les occupations de la Vie, . . . 188 C. L’Auteur, qui se désigne par cette Lettre, souhaiteroit que tous les honnêtes Gens se liguassent ensemble, . . . 151 Il leur propose la signature d’un Formulaire, . . . 153 Il n’oublie rien pour éteindre l’Esprit de Faction, . . . 155 Quel est l’embarras où il se trouve à la Ville & la Campagne, . . . 171 Les différentes idées qu’on a de lui à la Campagne, . . . 172, 173, 177 Calcul est la mesure de tout ce qu’on estime dans le monde, . . . 289, 191 Calixte, Amant bienfait & poli de Brig. Argenson, . . . 409 Capitaine qui faisoit des Recruës, se donne des airs imperieux, . . . 177 Il fait sotement l’agréable, . . . 178 Il est relevé par un Quakre, . . . 179 Il ne se déconcerte point pour cela, . . . 180 Cardan cité par le Dr. Moor sur le Méchanisme de la Taupe, . . . 129 Castillan, qui eut un triste sort, . . . 411 – 424 Catholiques Romains ont une idée singuliere sur les peines des Ecrivains d’une Morale relâchée, . . . 252 Cato, la plus insigne Rusée qu’il y eut de son tems, . . . 362, 363 Caton imprime plutôt le respect que l’Amour par sa grande severité, . . . 258 Celestin possede une égalité d’ame à toute epreuve, . . . 185 Celinde affligé d’avoir un Mari débauché, 308 - 311 Cérémonies superstitieuses introduites dans l’Eglise, . . . 430. 457 Cesar avoit un grand fonds de bon naturel, . . . 28 Son affectation de vouloir dicter à trois personnes à la fois étoit puerile, . . . 391 Charité qu’on doit aux Pauvres, . . . 302 De quelle maniere pratiquée par Eugene, . . . 303 On peut l’exercer sans s’incommoder, . . . 304 J.C. encherit sur la pensée de Salomon à cet égard, . . . 305 Charlemagne voit sa Fille Imma porter Ingehart sur le dos, . . . 326 Il opine dans un Conseil à les marier ensemble, . . . 327 Chasse est un trafic, dont les avantages n’approchent pas de la perte, . . . 291 Chinois punissent avec severité les Enfans rebelles, . . . 371 Chloé, Rusée la plus inconstante du monde, . . . 365 Elle a un air libre & familier, . . . 440 Christianisme ne rend qu’au bonheur des Particuliers & de la Societé, . . . 356, 357 Chruson, Amant fort riche Brig. Angenson, . . . 409 Ciceron dit qu’un Agneau n’est pas plutôt né, qu’il s’attache à la terre de sa mere, . . . 126 Il nous a donné une ébauche d’Histoire naturelle, &c. . . . 132 Cité, . . . 176. 189. 201. 206. 279 Il étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226 L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 357 Cinna cherche trop à se faire applaudir, . . . 440 Coifure des Dames hausse & baisse . . . 38, - 42 Combat d’un Homme avec son Ombre, sorte d’exercice, . . . 117 Commode le plus infame de tous les Tyrans, . . . 169 Complimens condamnez dans un Sermon de l’Archevêque Tilotson, . . . 67, 71 Conecte (Th.) Moine, fronda les hautes Coifures, qui étoient en vogue dans le 14 Siecle, . . . 41 Constance, Maîtresse de Théodose, a le chagrin de voir que son pere le veut marier à un autre, . . . 241 Elle renonce à ce Mariage, & se fait Religieuse, . . . 243 Elle se confesse á Théodose, ou au P. François, . . . 245, 246 Elle en reçut un Billet & plusieurs Lettres, . . . 247, 248 Elle fut enterrée auprès de lui, . . . 249 Conte Turc sur un Sultan d’Egypte & un Docteur Mahometan, . . . 29, - 31 Contentement de l’Esprit est tout ce qu’on peut attendre ici bas, . . . 234 Contradictions où les Hommes tombent á l’égard de la brieveté de la Vie, . . . 21 à l’égard de leurs desseins, . . . 231 Conversation, où il n’y a rien que d’exquis, approche de la vie des Anges, . . . 53 Celle des Gens de guerre est fort agreable, . . . 195 Coquette doit-être regardée avec mépris, . . . 280 Corinne, vieille Rusée, qui a perdu ses charmes, . . . 361 Elle n’a point de complaisance pour son Mari, . . . 393 Cornaro (Louis) Noble Venitien, rétablit sa santé délabrée par son grand régime, &c. Corneille vit avec ses Fils comme s’il étoit leur Frere aîné, . . . 382 Cottile ne se plaint jamais, . . . 184 Coverly (M. le Chev. de) fait venire du Posset à ceux qui se plaignent d’être malades en Compagnie, . . . 50 De quelles gens est composée sa Famille, . . . 78 Eloge de son Chapelain, . . . 80, - 82 Ses Domestiques s’empressent à le servir & à le voir, . . . 79, - 84 De quelle maniere il en use avec eux, . . . 79. 85, - 88 Sa Maison de Campagne avoit la réputation d’être hantée de quelque Esprit, . . . 98 Il s’est bien exercé à la Chasse, . . . 116 De quelle maniere il fut traité par deux Hommes de differens Partis, . . . 146 Il est plus zelé Tory à la Campagne qu’à la Ville, . . . 156 Il chasse loin de ses terres, . . . 171 Il accuse les Marchands de n’avoir en vûe que leur profit à tort & à travers, . . . 285, 286 Quel profit lui revient de la Chasse, . . . 291 Courtisans qui manquent de paroles ne devroient pas être plus estimez que de faux Témoins, . . . 282 Ils sont Esclaves des Grands & se repaissent de fumée, . . . 385, 386 Couturier (Alix) débauchée par un Fripon, . . . 329 Elle découvre l’Intrigue d’un Irlandois avec une de ses Apprentisses, . . . 330 Elle le fait arrêter pour vol, . . . 331 Elle se désiste de le poursuivre en Justice, moïennant 50 L. sterl. Qu’il lui païa, . . . 332 Cowley, fameux Poëte Anglois, méprisoit les Richesses, . . . 111 Il dit qu’on ne doit plus s’amuser à des bagatelles, d’abord qu’on est parvenu à l’âge de 40 ans, . . . 135 Son Poëme sur la Résurrection cité, . . . 250 Culte religieux distingue les Hommes des Bêtes, & peut avoir plus d’un Principe, . . . 453 D. Dampier dit qu’on ne risque point à manger du Fruit bequeté par les Oiseaux, . . . 226 Défaut de certains Hommes qui ne parlent en compagnie que de leurs maux, . . . 50. 182, 183 de ceux qui vivent dans l’indolence, . . . 51. 184 attaché aux differentes Professions que les Hommes embrassent, . . . 411, 412 Devin qui avoit un plaisant stratagême, . . . 387 Dévotion est l’ame de toutes les vertus, & doit être inculquée de bonne heure, . . . 432 mal-entendue jette dans l’Enthousiasme & la Superstition, . . . 434, 435 Diodore de Sicile, cité sur l’Ichneumon, . . . 154 Diogene empêcha un jeune Homme d’aller à un Festin, . . . 399 Dispute du Capit. Sentry avec un jeune Avocat, . . . 413 de quelques Etudians en Droit, . . . 414 Regles qu’on y doit observer, pour la manier honnêtement, . . . 415, - 418 Docteur en Droit amoureux d’une Indéterminée, . . . 2 Domestiques (Bons) doivent être encouragez, . . . 87 Dons naturels & acquis ne doivent être estimez que par le bon usage qu’on en fait, . . . 279, 282 Douleur tire son origine de l’Enfer, &c. . . . 339, - 341 Dryden a laché un trait satirique contre les Femmes d’une humeur badine, . . . 167 Duels défendus en France par un Edit de Pharamond, . . . 35, - 38 Le moïen de les prévenir seroit de condamner les coupables au Pilori. . . . 48 E. Economie a le même effet sur les Biens, que la bonne Education sur les manieres d’agir, . . . 107 Ecrivains ont un grand avantage sur les Maîtres de tous les beaux Arts, . . . 251 Ceux qui répandent le Vice & l’Erreur sont les Ennemis du Genre Humain, . . . 252 Ceux qui tâchent de divertir sans blesser personne, méritent beaucoup, . . . 317 Ecrivains de Morale suivent la Methode de Galien, . . . 142 Egalité d’ame est ce qu’on doit rechercher, . . . 187 Eginhart, Secretaire de Charlemagne & amoureux de sa Fille Imma, . . . 325 Il se glisse de nuit à l’Apartement de cette Princesse, . . . 36 Il demande à l’Empereur la permission de se retirer, & il obtient cette Princesse en mariage, . . . 327 Eleonore est inconsolable d’avoir perdu son Amant, . . . 235, - 237 Ennius cité, . . . 234 Enthousiasme est un excès dans la Dévotion, &c. . . . 435, 437 Enthousiaste religieux est un triste Objet, . . . 434, 435 Ephraïm, Quakre, Tuteur de la jeune Arable, . . . 177 Il releve avec esprit un Capitaine qui faisoit le badin, . . . 179 Il lui donne une bonne Leçon, . . . 181 Il Epicuriens soutenoient qu’il y avoit des Dieux, . . . 359 Epitaphe d’une Duchesse de Newcastle, . . . 45 de Théodose & de Constance, . . . 249 d’un Homme charitable, . . . 305 Espagne, de quelle maniere on y fait l’Amour, . . . 46 Esprit de Dispute ordinaire parmi les Avocats, . . . 412, - 414 Esprit de Parti cause de grand maux, . . . 147 Il regne beaucoup dans la Grande Bretagne, . . . 148 Il influe sur les Mœurs & l’Entendement, . . . 149 Il fait tomber dans un Sophisme criminel, . . . 150 Il produit d’étranges effets à la Campagne, . . . 155, 157 Il regne dans la Gr. Bret. entre ceux qui possedent les terres & les Marchands, . . . 285 Esprit satirique fondé sur le méchant Naturel, . . . 259, 260 Esprits ambitieux & rusez produisent les Factions, . . . 151 Il seroit à souhaiter qu’on pût les endormir, . . . 344 Eucrate s’entretient avec Pharamond sur les Duels, . . . 35 Eudoxe, Ami de Leontin, s’éleve à une haute fortune, . . . 135 Il fait un échange de son Fils avec la Fille de Leontin, . . . 136 Il se découvre à son Fils, & il lui donne en mariage Leonilla Fille de Leontin, . . . 139 Eventail (Exercice de l’), . . . 60, - 65 Eugene est d’un naturel bon & charitable, . . . 302. 303 Evremond (S.) voudroit qu’on lût des Auteurs divertissans pour se consoler dans les afflictions, . . . 236 Exercice du corps nécessaire pour conserver la santé, . . . 113, - 118. 398 F. Fables qui renferment des Moralitez, ont toujours été fort estimées, . . . 334 Celles de Jotham & de Nathan font les plus anciennes que nous aïons, . . . 335 Fainéans de Londres qui ne cherchent qu’à corrompres les jeunes Filles, . . . 329 Favoris des Dames sont d’un caractere fort singulier, . . . 208, - 213 Faustine, Epouse de Marc Aurele, étoit d’une humeur volage, . . . 168 Femmes sont d’un naturel plus enjoué que les Hommes, . . . 164 Elles doivent se sentir en garde contre leur panchant naturel, & servir de contrepois aux Hommes, . . . 165 Femmes préferent les Hommes d’une humeur badine à ceux qui ont du bons sens, . . . 167 Leur vivacité ne leur est pas moins fatale après qu’avant le Mariage, . . . 168 Il y en a de si délicates, que tout les rend malades, . . . 186 Celles qui sont galantes ne respirent que la Ja-lousie, . . . 209, 211 De quelle maniere elles doivent se conduire à l’égard de leurs Maris jaloux, . . . 207 – 274 Il y en a qui sont imperieux, &c. envers leurs Maris, . . . 293 Quel est le caractere de celles qu’on appelle Rusées, . . . 360, 361 Il y en a qui ne se mettent pas en peine de ce que leurs Maris croïent de leur conduite, . . . 394 Description de celles qu’on peut nommer des Salamandres, . . . 419 Elles doivent éviter les tentations, . . . 420 Plusieurs d’entr’elles ont un grand desavantage à l’égard de leurs Amans, . . . 425 Feuilles volantes seroient d’un grand usage, si on les empoïoit à ce qu’il faut, . . . 143 Florio, Fils d’Eudoxe, fut élevé chez Leomin, . . . 137 Il devint amoureux de Leonilla, . . . 138 Il obtint pour son Epouse, lorsqu’il s’y attendoit le moins, . . . 139, 139 Foi Carchaginoise, Proverbe Latin, . . . 285, 288 La Fointaine s’est mis en grand vogue par ses Contes, . . . 336 Fourilles (Le Chev. André) n’avoit pas trop bonne opinion du Pr. de Condé . . . 198 François Renégat joue un cruel tour à un Castillan, . . . 422, - 424 Freeport (le Chev. André) défend la Cause des Marchans M. de Coverly, . . . 287, 291 Friandise de nos Repas modernes, . . . 399, 400 G. Gentilshommes, qui aiment mieux voir périr leurs Enfans de misere, que de les destiner au Négoce, . . . 94 Il y en a qui s’endettent mal à propos, pour soutenir leur rang, . . . 108, 109 Ceux de la campagne se divertissent à éteindre leur Raison, . . . 194 Il y en a plusieurs qui se voïent réduits à ceder leurs Heritages à de nouveaux Maîtres, . . . 291 D’autres passent leur vie à dormir, à boire, &c. . . . 343, 344 Glaphyra, Fille d’Archelaüs, Roi de Cappadoce, eut un Songe extraordinaire, . . . 100 Gosling (George) écrit une Lettre au Spectateur sur le Numéro qu’il avoit choisi dan une Loterie, . . . 375, 376 Grands Genies du premier ordre, . . . 222, - 224 du second ordre, . . . 226 Il y en a qui ne s’amusent qu’à des bagatelles, . . . 227 Italiens se sont appliquez à l’Allegorie, . . . 537 Grands Seigneurs qui donnent audience à leur lever, se produisent de differentes manieres, . . . 388 H. Hallifax (Le Marquis de) a écrit des Avis d’un Pere à sa Fille, . . . 261 Harington, Auteur d’un Livre Anglois intitulé, La RP. d’Oceana, . . . 297 Hart (Nicolas) fameux Dormeur, . . . 242, 343 Il gagne sa vie à dormir, . . . 344 On travaille à nous donner le détail de ce qu’il a vû en songe, . . . 345, 346 Herode charge son Oncle Joseph de faire mourir Marianne, en cas qu’il périsse en Egypte, . . . 275 A son retour il le fit mourir lui-même, par un principe de jalousie, . . . 276 Il est enragé de voir que Marianne le reçoit avec mépris, . . . 277 Il fit mourir Sohemus & condamner Marianne au dernier suplice, . . . 278 Herodote cité, . . . 47, 371 Heros, dont l’Auteur T. fait le Portrait, . . . 200 Quel est son veritable Caractére, . . . 283, 284 Hesiode cité, . . . 334 – 397 Historien futur pourra décrire au juste ce qui s’est passé sous la Reine Anne, . . . 56, 57 Homere cité, . . . 195, 372 C’étoit un genie du premier ordre, . . . 223 Son Illiade & son Odyssée passent pour des Allegories, . . . 336 Il avoit des Songes d’Or, . . . 345 Hommes, élevez en dignité sont exposez à la Censure & à la Flatterie, . . . 55 On rend justice à leur mérite après leur mort, . . . 55 Il est indigne des Hommes de se fatiguer pour acquerir des richesses, . . . 112 Ils doivent se tenir en garde contre leur penchant naturel, . . . & servir de contrepois aux Femmes, . . . 165 Ce que c’est qu’un Homme d’esprit, qui aime le Plaisir & la Joïe, . . . 189, - 194 Ceux qui sont formez pour le commandement des Armées, ne méprisent la Vie que par réflexion, . . . 197 Vains souhaits des jeunes Etourdis & des Vieux Débauchez, . . . 201, - 204 Ceux qui veulent être vieux long tems, doivent commencer de bonne heure à le devenir, . . . 205 Les Jeunes & les Vieillards ont à peu près les mêmes défauts & les mêmes avantages, . . . 206 Leur inconstance à poursuivre un certain but est la source de leur misere, . . . 229 Ils sont les Créatures les plus inconstantes de l’Univers, . . . 230, - 232 Ils sont industrieux à se tourmenter, . . . 255, - 256 Ils ne sauroient avoir trop de douceur les uns pour les autres, . . . 258 Ils ne doivent être estimez que par l’usage qu’ils font de leurs talens, . . . 281 Quels sont ceux qui méritent le titre de Grands Hommes & de Genies superieurs, . . . 283 Ils sont tous Esclaves de leurs Femmes ou de leurs Maîtresses, . . . 298 Ils suivent plutôt le Caprice que la Raison en certains cas, . . . 373 La plûpart dépensent au-delà de leur revenu, sur des esperances chimeriques, . . . 377 Ils contractent certains défauts, suivant le genre de vie qu’ils embrassent, . . . 411, 412 Ils sont naturellement perfides, &c. à l’égard de leurs Maîtresses, . . . 420 Ils n’ont en vûe que l’intérêt dans le choix de leurs Femmes, . . . 425, 428 Ceux qui ont trop bonne opinion d’eux-mêmes, risquent de se perdre de réputation, . . . 439 Portrait d’un Homme qui modere ses desirs par la Raison, . . . 442 Honeycomb (Mr.) se pique de connoître les Hommes, . . . 72 Quelle idée il a de ce qu’on apelle un galant Homme, . . . 189, 190 Il voudroit qu’on l’estimât à cause de ses bonnes Fortunes, . . . 192 Sa politique pour se faire aimer des pelles, 209 Horace cité, 14. 20. 43. 49. 54. 66. 77 101. 104. 107. 153. 164. 207. 221. 228. 232. 270. 308. 314. 341. 353. 359. 392. 404. 410. 418. 438. C’est le plus beau Genie qu’il y eut dans le siecle d’Auguste, . . . 335 Il a pris l’Odyssée pour une Allegorie, . . . 336, 337 Hudibras, fameux Poëme Anglois, . . . 414 Hyane, Rusée, qui affecte un air mélancholique & indolent, . . . 364 I. Ichneumon, petit Animal qui casse les œufs du Crocodile, . . . 154 Imma, Fille de Charlemagne, devient amoureuse d’Egingart, . . . 325 Elle admet de nuit à son Appartement, &c. . . . 326 Elle devient son Epouse, . . . 328 Immortalité de l’Ame prouvée, . . . 102, - 106 Incrédulité fondée sur l’inattention, l’orgeuil, &c. . . . 355, 356, 357 Indéterminées doivent faire trois refléxions, . . . 5 Instinct des Animaux est quelque chose de fort mysterieux, . . . 124, 125 Ses differens effets sur une Poule & une Couvée de Canards, . . . 125, 126 Il leur enseigne à faire usage de leurs armes, . . . 128 Irlandois, qui suborne une jeune Apprentisse de Londres, . . . 329, 330 Il est arrêté pour vol, . . . 331 Il païe 50. L. sterl. pour se tirer d’affaires, . . . 332 Il écrit de sa Prison une Lettre fort gaillarde au Spectateur, . . . 333 Irus, pour éviter la Pauvreté, donne dans une Avarice sordide, . . . 110 J. Jalousie d’un Mari est fondée sur l’Amour, . . . 261, 262 Quels en sont les tristes effets, . . . 263, 264, 275, 278 C’est une Vice qui regne le plus dans les Païs chauds, . . . 268 Il mérite que la Femme y cherche un prompt remede, . . . 269 Jesus, fils de Sirach, donne un bon Conseil aux Maris, . . . 265 Jeûne est d’un grand secours pour prévenir ou guérir les Maladies, . . . 402 Job étoti fort charitable & d’un bon naturel, . . . 306, - 308 Joseph, Historien des Juifs, cité, . . . 100. 274 Joseph, Oncle d’Herode, découvre à Marianne l’ordre secret qu’il avoit reçu de son Neveu, . . . 275 Il lui en coûta la vie, . . . 276 Juchoir (Nathan) décrit la maniere dont la Femme en use à son égard, . . . 294, - 297 Il exhorte l’Auteur T. à publier une Dissertation en faveur des bequetez de la Poule, . . . 297, - 299 Jupes garnies de cercles de baleine, critiquées, . . . 159, 164 Jupiter Ammon, consulté par les Atheniens, se déclare en faveur des Lacedemoniens, . . . 448 Juvenal cité, . . . 38. 40. 113. 273. 300. 328. 444 Il parle d’un Mari Dormeur, qui fit la Fortune en ronflant, . . . 345 L. L’Auteur, qui se désigne par cette Lettre répond à Leonor, . . . 15 Il trouve que les Dames ont beaucoup profité de ses speculations, . . . 18 Il a dessein d’exposer à la risée du Public ceux qui cherchent à seduire les Dames, . . . 19 Il décrit ce qu’un Historien futur pourra dire de lui, . . . 58, 59 De quelle maniere il vit à la Maison de Campagne du Chev. De Coverly, . . . 78 Il fait la description d’une Promenade voisine, où il alloit quelquefois, . . . 95, 96 Il conseille a ses Lecteurs d’aller souvent à cheval pour se bien porter, . . . 116 Il s’exerce à tirer une cloche sans batant, &c. . . . 117 Il donne un bon conseil à certains Savans, . . . 118 Ils souhaiteroit que la Societé Roïale de Londres publiât une Histoire naturelle des Animaux, . . . 131 Il est encouragé à poursuivre son dessein par le débit de ses Feuilles, &c. . . . 144 Il n’écrit pas pour les Taupes, . . . 145 Il donne ses avis à Eleonore, pour la consoler dans son affliction, . . . 237, - 239 Il cherche à satisfaire le goût de ses differens Lecteurs, . . . 314, - 316 Il forme une Allegorie sur le Plaisir & la Douleur, . . . 339, - 341 Il reflechit sur la Lettre d’un Pere irrité, . . . 367, - 369 Il justifie ce qu’il a dit dans le LI. Discours, 369, 370 Laërtes, Gentilhomme endetté par une sote vanité, 109, 110 Lecteurs Mercuriens & Saturnins peuvent se plaire à ces Discours, . . . 314, - 316 Leonilla, Fille de Leontin, fut élevée chez Eudoxe, . . . 137 Elle conçut un secret panchant pour Florio, . . . 138 Elle fut mariée avec lui, . . . 139, 140 Leontin, Ami d’Eudoxe, s’applique à cultiver son Esprit, . . . 135 Il fait un échange de sa belle avec le Fils d’Eudoxe, . . . 136 Lèpre d’un Prince Grec guérie d’une plaisante maniere, . . . 397 Lettre de Sam Hopewell à l’Auteur L. sur sa Maîtresse Indéterminée, . . .4 de Leonor au même sur le Catalogue de Livres qu’il avoit promis aux Belles, . . . 14 de M. Wimble au Chev. De Coverly, . . . 90 de M. Honeycomb à l’Auteur C. . . . 174 d’Eléonore à l’Auteur L. . . . 235, - 237 de Nathan Juchoir à l’Auteur T. . . . 292, - 299 de Celinde à l’Auteur T. . . . 308, - 311 d’un Anonyme á l’Auteur L. sur une Partie de Sifleurs, . . . 318, - 320 d’une Dame, qui s’étoit mariée sans l’aveu de son Pere, a l’Auteur L. . . . 321, - 323 d’Alix Conturier, sur un Irlandois, qui avoit suborné son Apprentisse, . . . 328, - 332 de cet Irlandois à l’Auteur, . . . 333 d’un Anonyme à l’Auteur L. sur un insigne Dormeur, . . . 342, - 346 d’un autre Anonyme à l’Auteur T. sur les Filles rusées, . . . 359, - 365 d’un Pere irrité à son Fils, . . . 366, 367 de George Gosling à l’Auteur L. sur le N° qu’il avoit choisi dans une Loterie, . . . 375, 376 de l’Auteur T. à un jeune Homme qui avoit perdu son Pere, . . . 384 d’un Mari, dont la Femme ne lui témoignoit que de l’indifference, . . . 393, - 395 d’un Ami, qui se plaint de la bizarrerie d’un autre, . . . 395, 396 de T. B. sur la Tranquillité de l’Esprit, 404, 407 de Brig. Argenson indéterminée à l’égard de ses deux Amans, . . . 407, - 410 de Statira au Spectateur à l’égard de son Amant, . . . 425, 426 de la même à son Amant Oroondates, 427, - 431 Lever des grands Seigneurs est une pure Farce, . . . 387, - 391 Livres réduits à leur quintessence n’occuperoient guère de place, . . . 142 Ce sont des Legs que les grands Genies laissent à la Posterité, . . . 250 Locke (Mr.) cité sur l’idée que nous avons du tems, . . . 27 sur l’association des Idées, . . . 97 sur le méchanisme d’une Huître, . . . 128 Louis XIV. s’est rendu glorieux pour avoir banni le faux Point d’Honneur de son Royaume, . . . 48 Lucceius a de beaux talens sans aucune ambition, . . . 442, 443 Lucrèce, croïoit l’Apparition des Esprits, . . . 99 Il est cité, . . . 292 M. Macbeth, Tragedie de Shakespear, . . . 441 Mahomet, son voyage dans les Cieux, &c. . . . 29 Malebranche cité sur les differentes idées que diverses Creatures peuvent avoir du Tems, . . . 28 Marc Antoine somme Herode qu’il ait à se rendre en Egypte, . . . 275 Marc Aurele, un des plus sages Empereurs Romains, . . . 287, - 291 Mariage mal assorti d’une Coquette & d’un Rustre, . . . 169 Celui d’Ariste & d’Aspatie est bien essorti, . . . 170 Marianne, Epouse d’Herode, étoit une charmante Princesse, . . . 274 Elle eut beaucoup de peine à calmer les soupçons d’Herode, . . . 276 Elle ne répond à ses caresses que par des airs de mépris & des invectives, . . . 277 Elle est condamnée à la mort, . . . 278 Maris jaloux regrettent beaucoup la perte de leurs Femmes, . . . 265 On peut les distinguer en trois classes, . . . 266, - 268 Ils sont vifs dans leurs applications, &c. . . . 270, 271 Ils ont de l’antipatie pour tout ce qui leur paroît mysterieux, . . . 272 Il y en a de bons, qu’on appelle bequetez de la Poule, . . . 293 Exemple d’un bon Mari, . . . 312 Les Débauchez ne doivent point attendre que leurs Femmes leur soient fidèles, . . . 313 Martial cité, . . . 26, 182 Mathematiciens ne veulent admettre que des Démonstrations, . . . 411 Mauvais Goût qui regne dans le monde à l’égard de l’usage qu’on y fait de ses talens, . . . 281, 282 Medecins sont souvent      Docteurs en Compagnie, . . . 412 Medecina Gymnastica, Titre d’un Livre Anglois, . . . 117 Mérite est toujours exposé à la Censure du Public, . . . 54 Mesnager (Marthe) écrit un Billet à son Epoux, . . . 313 Ministre d’Etat, qui faisoit de plaisantes Questions à ses Courtisans, . . . 389 Mirtoline observe une trop grande régularité dans sa démarche, . . . 400 Mirza, Voïez Vision. Modestie consiste à n’avoir qu’une médiocre opinion de soi-même. . . . 438, 439 C’est la plus desirable de toutes les qualitez, . . . 441 N. Newton (M. le Chev.) son calcul sur la Comete qui parut en 1680, . . . 56 Nigidus a fait une remarque sur les Mots Latins, terminez en osus, . . . 435 Nouveaux Convertis de toutes les sortes sont méprisez des honêtes Gens, . . . 228 Numeros que certains Personnes choisissent dans une Loterie, . . . 373, - 375 O. Oiseaux, dont chaque espèce suit un certain Plan pour la structure de son Nid, . . . 120 Il n’y a que les Males qui chantent, . . . 166 Oroondates, Amant de Statira, . . . 426 Orpheline (L’) Tragedie de Mr. Otway, . . . 420 Ovide cité, . . . 249. 269. 348. 425. P. Paiens ont cru les tourmens d’une autre Vie, . . . 9 Paradin a décrit la haute Coifure qui étoit à la mode dans le 14 Siecle, . . . 41, 42 Pédans de plusieurs sortes, . . . 74, - 77 Peres & Meres doivent pardonner les bévuës de leurs Enfans qui s’en repentent, . . . 323 – 325 Exemple d’une Pere dénaturé, . . . 366, 367 d’un Pere tendre & raisonnable, . . . 278, 378. 382 Portrait d’n bon Pere, . . . 380, 382, - 384 Perse cité, . . . 1. 158 Persans instruisoient leurs Fils de 3 choses, . . . 47 Ils ne croïoient pas qu’un Fils legitime pût être Parricide, . . . 370 Petits Maîtres en veulent à l’honneur de toutes les Belles, . . . 210 Pharamond s’entretient avec Eucrate sur les Duels, . . . 33 Il publia un Edit contre les Duels, . . . 35, - 38 Phedre cité, . . . 60. 85. 89 Philandre amoureux de Sylvie, . . . 3 Philosophes anciens ont vêcu long-tems, &c. . . . 402 Pindare tire son origine du Ciel, &c. . . . 339, - 341 Charnel dégoûte par la jouissance, . . . 428, 429 Plaisirs utiles & innocens qui peuvent servir à desenuïer les Hommes, . . . 24, 25 Platon a cru que l’Ame séparée du corps retient les passions qu’elle a eues durant cette vie, . . . 7 C’étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226 L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 357 Ce qu’il dit de Socrate, . . . 338 Il a écrit un Dialogue de la Priere, . . . 444 Plaute cité, . . . 145 Plutarque a dit qu’on ne doit pas haïr ses Ennemis, . . . 148 Poëtes modernes s’efforcent en vain d’imiter Pindars, . . . 225 Point d’honneur dans les Hommes & dans les Femmes, . . . 44 Le plus grand affront, qu’on puisse faire à un Homme, consiste à lui donner un démenti, . . . 46 Pontignan emmailloté par deux Dames, . . . 10, - 13 Priere (De la ) ou le 2 Alcibiade, Dialogue de Platon abregé, . . . 444, - 449 Celle d’un Poëte Grec & des Lacedemoniens, . . . 447 La derniere est approuvée par l’Oracle de Jupiter Ammon, . . . 448 Dominicale, comparée avec les Maximes de So-crate, . . . 450, 451 Prodicus, Inventeur de la Fable, où il supose qu’Hercule rencontra le Plaisir & la Vertu, . . . 337 Proverbe Espagnol contre les Fripons, . . . 151 Latin, Foi Carthaginoise, . . . 285, 288 Grec, sur ce que chacun engendre son fou semblable, . . . 369 Italien, sur l’esperance mal-fondée, . . . 377 Providence Divine peut se démontrer par l’Histoire naturelle des Animaux, . . . 119. 121 En particulier, par le méchanisme de la Taupe, . . . 129 Pyrrhoniens ont tort d’attribuer de la Raison aux Bêtes, . . . 122 Pythagone enseignoit à honorer les Dieux, &c. . . . 358 Q. Question ridicule de certains Scolastiques, . . . 272 Quickly Mad. Rebecca) & son Epoux s’ennuïent ensemble, . . . 51 Quicket (Mr.) Consin de Mad. Arable, . . . 176 R. Raison donné aux Hommes pour leur servir de Guide, . . . 434 Religion Catholique Romaine est un amas de Superstitions, . . . 436 Remedes ne servent qu’au défaut de l’Exercice & de la Temperance, . . . 399 Romains, généreux aux dépens des autres Nations, . . . 288 Romans, dont les Avantures roulent sur la Chasteté des Dames & de la Bravoure des Hommes, . . . 45, 46 Roxane exige de trop grands respects, . . . 440 Ruricola, plein d’esprit & de vertu, a laissé un Fils d’un caractere tout opposé, . . . 381 Il avoit eu trop de severité à son égard, . . . 382 Rusées, quel est leur Caractere, . . . 360, 361 S. Salamandres, sorte de Femmes, . . . 419 Saluste nous a donné le caractere de Cesar & de Caton, . . . 258 Scholastiques aiment beaucoup les Définitions, . . . 412 Sectes séparées de l’Eglise Anglicane ont une dose d’Enthousiasme, . . . 436 Sedition populaire à Rome calmée par le recit d’une Fable, . . . 335 Seneque cité sur le mauvais usage qu’on fait de la vie, . . . 20 Sens commun ne se trouve guères avec une haute Fortune, . . . 390 Sentry (Le Capit.) raisonne sur le courage machinal des Soldats, . . . 196, - 201 Il combat l’envie qui regne dans le monde, 286 Sa dispute avec un jeune Avocat, . . . 412, - 414 Shakespear étoit un grand Genie du premier ordre, . . . 224 Sifleurs (Partie de) à Bath, . . . 318, 319 Socrate pria ses Amis d’offri un Cocq à Esculape, . . . 358 Il se garantit de la Peste par sa Tempérance, . . . 402 Sa maniere d’argumenter, . . . 416 Son Entretien avec Alcibiade sur la Priere, . . . 445, - 449 Sohemus reçoit un ordre secret d’Herode à l’égard de Marianne, . . . 276 Il le revéle à cette Princesse, . . . 277 Il est condamné à la Mort, . . . 276 Soldats ordinaires n’ont point d’amitié les uns pour les autres, . . . 199 Sophi de Perse se donne une foule de titres pom-peux, . . . 224 Spencier, dont la Reine Enchanteresse est une Allegorie perpetuelle, . . . 337 Statira écrit une Lettre au Spectateur sur le chapitre de son Amant, . . . 425, 426 Elle en écrit une autre à son Amant Oroondates, . . . 427, - 436 Strephon, Amoureux d’une Indéterminée, . . . 3 Sublime qui se trouve dans le V.T. . . . 223 Superstition est un excès de la Religion en général, &c. . . . 435, 437 Sydenham, Médecin Anglois, conseille fort l’exercice d’aller à cheval, . . . 117 T. Tartares ont une plaisante imagination, . . . 155 Taupe a tous ses membres proportionnez à son état, . . . 129 Elle n’a qu’une seule humeur dans les yeux, . . . 130 Temperance, grand Préservatif de la Santé, . . . 398 Regles qu’on ne pourroit prescrire à l’égard du manger & du boire, . . . 401 Temple en Egypte, où l’on adoroit un petit Singe noir, . . . 163 Temple (Le Chev. Guill.) cité sur les coups qu’on doit boire dans un repas, . . . 401 Tendresse des Animaux pour leurs Petits, . . . 121, - 124 Elle ne monte pas des Petits à ceux qui leur ont donné le jour, . . . 122 Elle a le plus d’étendue dans les Hommes que dans les Bêtes, . . . 324 Celle des Peres l’emporte sur celle des Enfans, . . . 370 Terence cité, . . . 72. 225. 255. 261. 263. 378 Tersett (Mr. Henri) & son Epouse ne peuvent que s’ennuïer ensemble, . . . 51 Théodose, Amant de Constance, lui écrit un Billet d’Adieu, & part de chez lui, . . . 242 Il se fait Religieux, & prend le nom de P. François, . . . 244 Il reçoit la Confession de sa Maîtresse, . . . 245, 246 Il se découvre à elle par un Billet, & lui écrit ensuite plusieurs Lettre, . . . 247, 248 Théologiens Anglois ont fait usage d’une Idée Platonique, . . . 8 Théologiens font souvent les Docteurs en Compagnie, . . . 412 Thyrsis, Amoureux d’une Indéterminée, . . . 3 Tigellius étoit un Homme fort bizarre, . . . 233 Tilloston, Archev. de Cantorbery, cité sur les Complimens, . . . 67, 75 Tranquillité d’Esprit est le but auquel on doit aspirer, . . . 404, 407 V. Varillas est de si bonne humeur, qu’il fait toujours plaisir à la Compagnie où il se trouve, . . . 52, 53 Vertus, dont l’exercice peut garantir les Hommes de l’Ennui, . . . 22, 23 Vieillese respectable, lorsqu’elle est accompagnée de la Vertu, . . . 205 Virgile cité, . . . 7. 9. 33. 95. 118. 125. 144. 146. 152. 170. 213. 240. 321. 346. 366. 369. 385. Il a réduit en Allegories la Philosophie Platonique, . . . 9 Il étoit un grand Genie du second ordre, . . . 226 Vision de Mirza sur la Vie Humaine, . . . 214, 221 Volupteux, en quoi consiste sa punition après la mort, . . .8 W. Waller cité sur le mérite des Poëtes discrets & modestes, . . . 317 Wimble (M. Guill.) Gentilhomme d’un caractere fort singulier, . . . 91 Il prend l’Auteur C. pour un Fanatique, . . . 158 Il le soupçonne d’avoir tué quelqu’un, . . . 172 X. Xenophon donne l’idée d’un Prince parfait dans sa Cyropedie, . . . 257 Il devoit avoir lui-même beaucoup d’humanité, . . . 25 L’Allegorie étoit son genre favori, . . . 337 Il nous dit que son Prince offrit des victimes à Jupiter, &c. . . . 358 Z. Zele mal entendu est la source de mille maux, . . . 346 Il ne procede souvent que de l’orgueil, &c. . . . 347, - 349 Celui de l’Athéisme est quelque chose de monstrueux & absurde. . . . 350, 352 F i n