Référence bibliographique: Jean-François de Bastide (Éd.): "Table", dans: Le Nouveau Spectateur (Bastide), Vol.1\016 (1758), pp. 427-432, édité dans: Ertler, Klaus-Dieter / Fischer-Pernkopf, Michaela (Éd.): Les "Spectators" dans le contexte international. Édition numérique, Graz 2011- . hdl.handle.net/11471/513.20.1792 [consulté le: ].


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Table

De ce qui est contenu dans ce Volume

Préface dans laquelle l’Auteur avoue de bonne foi, que c’est pour se procurer de l’aissance qu’il fait cet ouvrage, parce qu’il espere que cet aveu plus adroit qu’ingenu, lui procurera des Abonnés. . . . page 16.

Aventure, dans laquelle un Scélérat croit que les saveurs de toutes les filles à marier sont des pieges, & qu’on doit jouer au plus fin avec elles après les avoir séduites. . . . page 18.

Anecdote d’un homme qui avoit fait le projet insensé d’avoir toujours raison ; & à qui les mauvais plaisans pardonerrent si peu d’y avoir réussi, qu’il mourut aux Petites Maisons, victime de son auguste extravagance , . . . page 28

Conversation entre un veillard & le Spectateur, dans laquelle il est prouvé que les femmes n’ont jamais pu imaginer plus de douze grimaces au propre, & que tout ce qu’on voit & qu’on prend pour tel sur tous les visages de l’univers, ne mérite que le nom de copie. . . . page 33.

Deux scenes de Comédie, où l’on apprend qu’il faut lassier mourir la maitresse de douleur & de misere, plutôt que de violer les loix de la probité, quelque obligation qu’on ait d’ailleurs à cet objet malheureux, . . . pag. 37. [428]

Conversation dans laquelle un Métaphysicien outré prétend prouver que les remords sont impossibles, . . . pag. 65.

Histoire sous le titre du Véritable Amour, où l’on respire en effet les sentiments les plus tendres ; & qui a été insérée ici pour opposer un grand exemple, & une grande autorité à ce systême de coquetterie & de libertinage si répandu aujourd’hui, qui dégrade tant les deux sexes, & leur nuit si moralement & si physiquement ; . . . pag. 76.

Peinture abrégée des mœurs & des plaisirs d’une société de gens philosophes, . . . pag. 159.

Histoire abrégée d’un homme qui a cru qu’on pouvoit commencer à devenir heureux en ne croyant pas le mal, & qui est devenu tout-à-fait en faisant le bien, . . . p. 171.

Lettre aux Spectateur, d’un homme au lit de la mort, qui n’a jamais pensé, & qui conçoit en ce moment, que la réflexion, ainsi que les remedes, est un mal pour un bien, . . . pag. 177.

Lettre de Pline le jeune, à Quintilien, pour lui demander la permission de l’aider, dans les dépenses, pour le mariage de sa fille, . . . pag. 185.

Lettre d’un inconnu généreux au Spectateur, dont l’objet est de l’engager à recevoir un dépôt de dix mille écus pour le remettre au père d’une jeune personne intéressante & vertueuse, qui adore un amant digne d’elle, que des parens avares & cruels refusent à ses vœux, parce qu’elle n’est pas riche, . . . pag. 186.

Discours d’Eve à Adam pour amener un [429] discours non moins tendre, mais beaucoup plus spécieux, d’un amant à une jeune personne éprise, mais vertueuse, où il ose lui démontrer qu’il faut aimer, par la comparaison des fleurs, des fruits, des feuilles, qui se reproduisent par les feux du soleil, . . . pag. 188.

Lettre d’un homme de condition au Spectateur, pour l’inviter à venir admirer chez lui une marionnette allégorique qu’on amene tous les jours à sa femme ; c’est-à-dire un jeune homme fort amoureux & fort sot, comme le sont tant d’autres qu’on ne remarque pas, . . . pag. 194.

Lettre d’un Médecin, honnête homme, au Spectateur, pour sçavoir de lui s’il peut entreprendre en conscience un jeune écervelé qui ne veut guérir que pour recommencer son train de vie, . . . pag. 198.

Lettre d’un Auteur au Spectateur, en lui envoyant un nouvel ouvrage de sa composition, dans laquelle il avoue qu’ils s’attend à des injures, à des critiques passionnées, à des éclats de jalousie, partage inévitable de tout homme qui a la sottise de se faire imprimer, . . . pag. 200.

Aventure d’un homme qui avoit trouvé l’incroyable sécret d’être heureux avec une femme très-singuliere, & qui s’est perdu auprès d’elle pour avoir eu l’impardonnable imprudence de vouloir la rendre raisonnable, . . . pag. 202.

Histoire de l’institution d’un Promontoire, nommé Leucate, fameux dans l’antiquité. Les amans maltraités ou trompés y [430] venoient gémir tout haut des rigueurs ou des forfaits de leur inhumaine, & s’élançoient ensuite dans la mer pour en perdre le souvenir. Suit une liste de tous les fous qui firent ce saut justement aboli, . . . p. 222.

Lettre d’un fat qui a trompé & deshonoré quatre femmes à la fois, & qui a éprouvé enfin que les remords ne sont pas impossibles, . . . pag. 230.

Aventure de deux maris jaloux, qui finissent, l’un par se jetter dans la rivière, l’autre par se tirer un coup de pistolet. . . . p. 233.

Lettre d’une fille à son amant qui vouloit l’épouser en secret, . . . pag. 243.

Lettre sur la malheureuse fureur de courir après les aventures, . . . pag. 256.

Aventure qui prouve qu’un inconstant, un homme à bonnes fortunes doit nécessairement finir par ne plus rien sentir naturellement, . . . pag. 260.

Réflexions sur les devoirs des peres envers leurs enfans, . . . pag. 291.

Réflexions & aventure qui prouvent le risque qu’il y a de dire son meilleur ami même, & dans quelque occasion que ce soit, les défauts que l’on a remarqués en lui, . . . pag. 328.

Lettre sur les dînés d’Auberge, sur les nouvelles qui s’y débitent, &c. . . . pag. 342.

Caractere & aventure d’un de ces maris qui adorent leurs femmes, & ont l’impertinence de se croire obligés d’en rougir . . . pag. 350.

Lettre d’une espece de plaisant qui trouve le Spectateur trop honnête homme, . . . p. 373 [431]

Lettre du Libraire à l’Auteur, . . . pag. 366.

Réponse de l’Auteur du Libraire, . . . p.368.

Lettre d’une jeune demoiselle qu’on veut marier malgré elle, . . . pag.379.

Lettres d’amour, . . . pag. 382.

Lettre sur la façon dont les Maîtres de Maison reçoivent chez eux. . . . p.410.

Discours sur l’utilité dont cet ouvrage peut être, . . . pag. 416.

Fautes à corriger dans ce Volume.

Page 34, ligne 21, supprimez de verres.

P. 38, l. 5, supprimez où

P. 39, l. 16, supprimez des aventures simplement possibles.

P. 41, l.4, se fonda, lif. se sonda.

P. 43, l. 12, retenir, lif. retirer.

P. 53, l. 18, après j’écoute, ajoutez des points.

P. 55, l. 23, je la suis, lif. je le fuis.

P. 63, l. 10, il y a dans quelques exemplaires, de le faire, lif. de la faire.

P. 67, l. 20, supprimez donc.

P. 68, l. 4, que je vous la fais, lif. que je vous en fais une.

P. 79, l. 24, après qualités, ajoutez d’ailleurs.

P. 83, l. 3, supprimez là.

P. 89, l. 4, m’avoit donné, lif. m’avoit donée.

P. 102, l. 10, enchainée à, lif. enchainée par.

P. 103, l. 14, supprimez rien.

P. 144, l. 22, nos, lif. vos.

P. 145, l. 23, vue, lif. vu. [432]

P. 151, l. 11, & tous les égards, lif. & avec tous les égards.

P. 155, l. 20, fait, lif. Faits.

P. 160, l. 2, me charme, lif. me charma.

P. 165, l. 8, là-dessus, lif. sur tout cela.

P. 170, l. 10, les, lif. mes.

P. 172, l. 2, de bonheurs, lif. de bonheurs différens.

P. 172, l. 5, le, lif. la.

P. 172, l. 9, la, lif. le.

P. 172, l. 11, tellement que, lif. tant.

P. 172, l. 16, de croire, à tout le monde, lif. de croire ou de douter, à tout le monde.

P. 175, l. 13, c’est à qui, lif. c’est ce qui.

P. 177, l. 20, supprimez petits.

P. 180, l. 4, après j’étois entraîné, ajoutez une virgule.

P. 181, l. 4, les, lif. ses.

P. 182, l. 9, les, lif. ces.

P. 187, l. 15, supprimez jamais.

P. 190, l. 11, fais, lif. fuis.

P, 192, l. 20, irriteriez, lif. inviteriez.

P. 205, l. 17, pour la somme, lif. pour la même somme.

P. 206, l. 2, dit-elles, lif. dit-elle.

P. 211, l. 8, d’être, lif. d’en être.

P. 213, l. 11, supprimez la.

P. 216, l. 23, des sçavans, qui ont assez d’esprit, lif. de sçavans qui ont eu assez d’esprit.

P. 241, l. 24, d’un, lif. par un.

P. 427 <sic>, l. 19, voici comment, lif. voici comment. Ecoutons-le parler.

P. 253, l. 16, supprimez &.

P. 267, l. 18, traité, lif. traitée.

Fin ◀Niveau 1